C’est ce que l’on a envie de répondre à ce fatras idéologique. Ces féministes excitées ne vont jamais au bout de leur “logique”… “Osez le clitoris” ont-elles écrit sur toutes chaussées et jamais on en a vue une les fesses à l’air dans Paris. Elles veulent absolument causer vagin 90 mn mais dans un théâtre subventionné, se dissimulant derrière le texte (indigent) d’une autre. Elle n’ont pas l’aplomb d’en parler haut et fort dans les coquetèles germanopratins et restos macaronés qu’elles fréquentent assidûment.
C’est regrettable. J’adorerai entendre Marlène Schiappa converser vagin, clitoris avec de séduisants énarques masculins.
“Courageuses” mais pas téméraires! Quand il faut se placer, l’on emploie un langage adéquat, l’on ne va pas choquer le fils de bonne famille qui n’apprécierait pas du tout.
L’on pourrait dire que les féministes parlent à leur cible mais en l’occurence: à quelle cible?
Caroline de Haas ne parle qu’à ses copines journalistes qui la relayent idiotement!
Et après?
Elles hurlent quant aux différences salariales mais qu’ont-elles faits en 50 ans pour changer les choses pour les plus démunies?
“Dégenrer” l’orthographe ne fera pas avancer la cause des plus précaires!
Quant aux autres, il y a fort longtemps qu’elles bénéficient d’émoluments équivalents.
Je n’ai jamais noté de différence d’honoraires entres mes avocats et mes avocates.
A défaut, tant pis pour elles, elles étaient armées pour se défendre.
A un certain niveau de culture et de confort, ëtre victimisée, se laisser victimiser c’est s’humilier.
C’est du masochisme.
Je n’ai pas la corpulence de Hulk mais les rares obscènes qui ont osé “m’attaquer” verbalement ont reculé.
Le pire truc qui me soit advenue, c’est une proposition de fellation dans une rue du XVII ème, par un vieux maghrébin alors que j’étais enceinte de sept mois…
(je ne suis pas raciste: il était maghrébin, l’anecdote put certes advenir avec un vieux franchouillard…)
J’ai fait semblant de ne pas avoir entendu et j’en ai ri car il y a toujours des obsédés, des cinglés, des malotrus, etc., partout, dans le monde entier.
Des deux sexes.
Pour en revenir à cette vidéo grandiôse, il faut évidemment se débarrasser des hommes qui pourrissent nos villes, dont la madame parle, sans jamais les appeler par leur nom, ils ne nous manquerons pas!
Un chef d’oeuvre que cette vidéo! Où ne sont jamais pointés les véritables problèmes… que sont l’islam et l’invasion migratoire. Le genre expliqué aux migrants, ça va être rigolo.
A quand la prochaine vidéo?
Sybilline Bavastro