L’urgence sexuelle aux pays des “migrants”!

 

«Je suis en état d’urgence sexuelle » ! C’est, en substance, l’affirmation d’un migrant à Vienne en Autriche pour justifier le viol d’un enfant de 10 ans. Une défense, pour le moins, atypique… que la police n’a pas voulu médiatiser. On peut les comprendre, l’histoire fait mauvaise presse à la volonté dominante d’accueillir « les pauvres réfugiés fuyant la guerre et l’oppression » ! Le chef du bureau de la police d’État de Vienne a commenté : « Si on nous le demande, nous confirmons les faits, mais ne communiquons pas de manière pro-active sur le sujet ». Par là, il faut comprendre que la police autrichienne ne souhaite pas être taxée de faire le « jeu de l’extrême droite », ou des contestations antimigrants qui fleurissent partout en Europe. C’est vous dire à quel degré de bêtise on est arrivé !

Le mensonge par omission est devenu la norme dans cette Europe qui couve une des plus grandes crises de son Histoire : une partie de son peuple est en passe de se rebeller et les migrants se font une place en bousculant tout sur leur passage, sous le regard bienveillant d’une grande majorité des intellectuels, des médias et des politiciens européens.
L’urgence sexuelle, donc, est le nouveau moyen de défense des migrants ! Gageons qu’avec nos systèmes judiciaires portant aux nues les Droits de l’Homme, il pourra profiter de tous les recours jusqu’à la Cour Européenne qui, elle-même, pourra se prononcer sur l’état d’urgence de la sexualité des migrants.

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Par extension, tous les migrants qui ont participé aux « festivités » de la Saint Sylvestre en Allemagne et en ce moment à Cologne pour le Carnaval (22 plaintes pour agressions et viols le premier jour), seraient, eux aussi, dans des états d’urgence sexuelle. Une bonne justification qui plaira sans nul doute aux plus hautes sphères de notre intelligentsia, qui appellera les bons Européens à la tempérance et la compréhension et qui tapera sur les doigts du migrant qui doit s’adapter à notre société (d’ailleurs s’il n’arrive pas à s’adapter, c’est surement votre faute, lecteur !).

L’homme, en l’occurrence, a affirmé qu’il « ne pouvait pas supporter de ne pas avoir de rapports sexuels » après quatre mois d’abstinence. Il a donc fait avec ce qui lui tombait sous la main : et c’est tombé sur un enfant de 10 ans… magnifique humanité de ceux qui sont protégés par les humanitaires !

Le jeune enfant a évidemment été gravement blessé tant psychologiquement que physiquement par ce monstre. Il en gardera des séquelles jusqu’à la fin de ses jours… L’horreur du crime ne fera pas, malheureusement, pencher la balance ! J’ai peur que nos enfants et nos femmes aient encore à subir bien des maux avant la fin de cette histoire. Et dire que l’on nous incite à être tolérants et ouverts d’esprit…

Henri d’Aramis – Boulevard Voltaire

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