Le national-libéralisme résumé par Henry de Lesquen

Eric Martin
9 février 2016
Latest Update: 9 février 2016 10 h 53 min
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"Quand on est national-libéral, on vire les immigrés et on brûle le code du travail." @HenrydeLesquen sur @radiocourtoisie

— H. de Lesquen 2017 (@Lesquen2017) 1 Février 2016

.@matheewofthehil @DUMOUCHRodolphe @doumeo @khilafahinfos34 National-libéral : je vire les immigrés et je brûle le code du travail.

— Henry de Lesquen (@HenrydeLesquen) 8 Février 2016

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Delaforest , 9 février 2016 @ 20 h 08 min
LESQUEN 2017 !!!
Pacific , 9 février 2016 @ 21 h 15 min
Ah non, pas lui ! surtout pas lui !
orldiabolo , 10 février 2016 @ 9 h 54 min
Ecoutez Radio Courtoisie le lundi à partir de 18h, et vous aurez une superbe démonstration du narcissisme mégalomane d’HdL : il sait tout sur tout, au point que l’on se demande pourquoi il invite des gens au micro, puisqu’il leur coupe sans arrêt la parole pour les reprendre à la façon d’un pion sentencieux !
sarcastik , 10 février 2016 @ 12 h 53 min
La situation est en réalité fort différente : HdL est l’invité permanent du lundi soir 18h. Seulement, il épuise le présentateur qui, en conséquent, doit être changé à chaque émission.

Blague à part, on ne peut pas reprocher à HdL d’incarner une sensibilité qui soit à la fois réellement de droite et différente du national-socialisme d’un Philippot ou d’un Soral.
orldiabolo , 10 février 2016 @ 15 h 29 min
Non, c’est tout le contraire, HdL est bien le “patron d’émission” du lundi soir : c’est lui qui invite et qui mène les débats…. quand il peut y en avoir un ! ;-)
orldiabolo , 10 février 2016 @ 15 h 33 min
HdL “réellement de droite et différent(e) du national-socialisme d’un Philippot ou d’un Soral”, c’est indéniable, mais il est d’une droite absolument étatiste, ce qui n’est pas illogique de la part de quelqun qui a été fonctionnaire toute sa vie.
Ampelius , 11 février 2016 @ 8 h 29 min
Un sommet de maladresse, de morgue, de suffisance,nuisible à la cause qu’il prétend défendre,ce type est définitivement hors-jeu. Le nombre de ce qu’il croit encore ses “amis” avec un tel moi( on n’a pas d’amis, pas de place pour eux dans l’encombrement d’un égo surdimensionné).En revanche ce pantin collectionne les ennemis qu’il s’est créés lui-même et la vengeance étant un plat qui se mange froid,ceux-là sont en passe de le lui servir à brève échéance. Il veut virer les émigrés mais n’a jamais mis les pieds dans les banlieues à risque, couardise et fanfaronnerie sont les principaux attributs de ce personnage, il parle depuis son hôtel particulier de Versailles après avoir échoué lamentablement à prendre une mairie prenable, extrême en parole impuissant dans les actes,les seules victoires qu’il ait jamais remportées c’est d’anéantir les associations dont il s’emparait, Renaissance 95, la voix des Français et même le club de l’horloge qui aurait mérité un autre rayonnement. A tenir à distance !