Manifestation à Cologne! «Rapefugees not welcome»!

Réinformation!!!! Aucun “grand média” n’en parlant, Délit d’images décide de la relayer en direct! (9 janvier 2015)

10 Janvier 2015

«Rapefugees not welcome»! c’est en scandant ce slogan que plusieurs milliers de supporters du mouvement allemand contre l’islamisation PEGIDA se sont ressemblés devant la gare principale de Cologne pour protester contre les effrayantes agressions sexuelles  perpétrées par des “migrants” la nuit du 31 décembre 2015.
Incapable de protéger les Allemandes poursuivies par des hordes barbares en cette nuit tragique, la police allemande a utilisé du gaz lacrymogène et  des canons à eau afin de disperser les manifestants, après avoir reçu des bouteilles et des pétards, selon l’AFP… célèbre pour avoir un sens de la vérité confinant à la propagande.

Consécutivement au fait que la police n’ait pu (ou voulu?) contenir les hordes barbares et l’étrange silence conséquent, Wolfgang Albers, chef de la police de la ville a été suspendu de ses fonctions, plus d’une semaine après les faits. Mieux vaut tard que jamais. (En France, après 130 morts et plus de 300 blessés, nul ne fut limogé…)

Se refusant à tout amalgame car selon elle, rien n’indiquait que les auteurs soient des “migrants” séjournant à Cologne… La première réaction de Henriette Reker, édile de la ville, fut  d’ériger des règles de conduite pour ses concitoyennes, insistant sur des mesures de prévention, invitant les jeunes femmes à avoir un comportement «mieux adapté» aux envahisseurs, leur conseillant, entre autres, de se tenir à distance des bras d’un potentiel agresseur… Hallucinant mais véridique!

Henriette Reker n’a alors fait aucune allusion à l’origine des auteurs que pourtant de nombreux témoignages, vidéos et déclarations de police identifiaient comme étant des “migrants”.

A la suite de ces événements, le chef de la police de Cologne déclarait : «La seule chose que sache les policiers, c’est qu’il s’agit de jeunes hommes âgés de 18 à 35 ans, venant de l’Afrique du Maghreb.» Ce qui concorde avec les descriptions faites par les victimes.

Ultérieurement, sentant la colère monter, la maire de Cologne, Henriette Reker s’est étrangement mise à critiquer le chef de la police de sa ville. «En tant que maire de Cologne, je ne peux pas accepter d’apprendre l’origines des suspects par les médias. Je dois conclure que la police sait ce qui s’est passé le 31 décembre. […] La confiance envers le chef de la police de Cologne a disparu», a-t-elle précisé.
Cependant, selon le journal allemand Bild, les policiers auraient en fait reçu l’ordre de taire ces ignobles exactions «pour ne pas provoquer une explosion sociale et des manifestations».

Après plus de 150 plaintes, actuellement, sur plus d’un millier d’envahisseurs en folie, la police allemande n’a réussi à identifier que 31 suspects, dont 18 demandeurs d’asile.

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