Dire aujourd’hui que nos élites européennes nous ont abandonnés ne relève vraiment plus d’une idée farfelue. Affirmer que nos dirigeants déconstruisent patiemment nos territoires charnels, au nom de l’utopie multiculturaliste, ne peut plus être considéré comme une ineptie. Il faut que nous prenions conscience que le changement ne peut plus venir de ceux qui nous trahissent.
Au niveau du « grand foutage de gueule », nous pouvons reconnaître que l’année 2015 fut un excellent cru ! Les attentats à Paris n’ont fait que confirmer l’échec cuisant de notre « vivre ensemble » symbolisé par un communautarisme de plus en plus sectaire et par une islamisation de plus en plus forte des sociétés européennes. Le mensonge des autorités européennes sur l’invasion de masse que subit notre continent, en faisant passer des clandestins pour des réfugiés, n’est que l’aboutissement d’une logique mise en place depuis plus de trente ans par notre classe politique hors-sol. Assister, sans que cela n’éveille un début d’indignation, au lynchage médiatique du Front National, considéré par certains comme la principale menace pour notre pays et considéré par d’autres comme une formation politique proche de Daesh, fut un moment assez troublant pour comprendre finalement que l’État français est réellement entré en guerre. En guerre non pas contre l’islamisme comme il le laisse trop souvent entendre, mais contre son propre peuple qui a osé voter massivement pour un parti patriote !
Ce fut aussi une année pour comprendre que notre démocratie s’est bien éloignée de ses principes, car aujourd’hui la souveraineté de notre pays n’appartient plus au peuple. Cette souveraineté a été confisquée par une oligarchie mondialiste, capable de balayer d’un revers de main, au nom d’une morale liberticide, toute réaction citoyenne contraire à leurs intérêts. Pour confirmer mes dires, je ne prendrai que l’exemple du Front National devenu en 2015 le premier parti de France, ne disposant pour représenter ses électeurs que de deux députés sans avoir pu remporter aucune région alors qu’il fut en tête dans 6 d’entre elles !
2015, ce fut aussi la réaction citoyenne d’Ajaccio. Comme je l’ai déjà dit précédemment, ce fut une bouffée d’oxygène de voir des Européens encore capables de dire non à la loi des racailles. Dans cette affaire, nos politiques ont été fidèles à leurs convictions. Ils ont préféré traiter les citoyens de racistes pour empêcher toute liberté d’expression de peur de voir voler en éclat leur sacro-saint « vivre ensemble ». Cette année fut celle aussi de la justice républicaine partisane, capable de relâcher des multirécidivistes au nom de l’égalité des chances. Ce fut aussi celle des agressions racistes contre les Européens de souche, agressions physiques et verbales en constante augmentation, agressions non reconnues par le système, car, pour celui-ci, le Blanc ne peut être que coupable. Cette réalité, qui n’est pas née du fantasme de cerveaux malades et névrosés, comme le laisse entendre la propagande officielle, s’est encore exprimée avec une grande brutalité à Cologne, Hambourg et Stuttgart, en Allemagne, où plus d’un millier d’hommes, issus de l’immigration récente ou plus ancienne, ont donné la chasse à toutes les femmes allemandes qu’ils rencontraient dans la rue. Avec ces multiples agressions sexuelles dans la même soirée, nous franchissons désormais un nouveau cap !
Face à ces scandales à répétition, quelle est la réponse du système ? Les Européens, égoïstes et racistes, selon nos moralisateurs, doivent impérativement apprendre à vivre avec l’étranger, sans cesse encensé, innocenté, en changeant si possible radicalement leurs habitudes pour ne plus le stigmatiser. L’étranger est venu s’installer chez nous pour notre bien et nous devons, sans aucune condition préalable, lui faire une place au sein de nos sociétés, pour ne pas dire tout simplement lui laisser la place. C’est pour cette raison que les Identitaires et les patriotes dérangent. Pour nos dirigeants, ils doivent disparaître d’Europe, car leur logique de résistance enracinée dans une histoire et une mémoire n’est plus compatible avec le modèle communautariste tant promu par l’élite du moment.