Les «Gay Games» à Paris, NKM toute contente !

51 Comments

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  V_Parlier , 9 octobre 2013 @ 14 h 02 min

  L’emploi volontaire de ce qualificatif d’initié (qui signifie lui-même “branchouille, aware, fashion, in, tendance”, enfin “mouton à la mode qui se dit d’avant-garde”, en Français) a pour unique but quelque vilaine moquerie, croyez le. Prononcez donc “haïpeu”…
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  monhugo , 9 octobre 2013 @ 16 h 40 min

  Ayez l’honnêteté de dire que le sport n’a rien à voir dans l’affaire, mais que c’est une nouvelle occasion à propagande, prise en charge par le contribuable qui plus est. Ce qui est intolérable.
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  Tarantik Yves , 9 octobre 2013 @ 20 h 00 min

  Pour dire la chose poliment : i
  Il faut l’envoyer se faire voir chez les grecs ! Cette sotte à déjà compromis dix fois les chances de la Droite de récupérer la Mairie !
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  monhugo , 9 octobre 2013 @ 20 h 21 min

  Oui, oui, les Umpéistes, abstenez-vous ! Pas qu’à Paris – ville perdue de toute façon. Les électeurs FN vont voter, eux (voir Brignoles à cet égard). Les électeurs PS et autres cocos, abstenez-vous aussi. Notre système électoral (Européennes mises à part) favorise le candidat en tête, et ne comptabilise pas le vote blanc (ou nul), d’ailleurs. Fantoche 1er s’est ainsi retrouvé élu, même en ne tenant pas compte de l’abstention (toujours limitée à la présidentielle), alors que plus de 2 millions de votants avaient opté pour le “nul” ou le “blanc” au 2ème Tour. Ce qui fait qu’il était minoritaire, en tenant compte de tous les votants. Et pourtant bien installé, parce que “démocratiquement” désigné.
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  MP , 9 octobre 2013 @ 21 h 34 min

  « Pour pouvoir devenir le maître, le politicien se fait passer pour le servant. » (citation attribuée à Charles de Gaulle)
  Nous sommes insuffisamment protégés contre les abus de pouvoir car nous élisons des maîtres qui prétendent abusivement être nos représentants.

  Nous devons faire le constat de notre impuissance politique : nous ne sommes que de simples électeurs, notre avis sur la politique nationale ne doit être pris en compte qu’une fois tous les 5 ans. Entre temps, le référendum est laissé à l’initiative des dirigeants et il n’existe aucune possibilité légale de faire annuler leurs décisions si le peuple les conteste (hormis le contrôle de constitutionnalité, mais de nombreuses lois conformes à la constitution de la Ve République ont fait l’objet de contestations populaires). En outre, les mandats ne sont pas impératifs et donc les programmes des candidats ne sont pas des engagements solides.

  « Dès qu’on se laisse gouverner, on est mal gouverné. » (Alain). Dans le système actuel, nous sommes dépossédés de tout rôle politique quotidien : notre implication est l’exception au lieu d’être la règle. Nous sommes ainsi éloignés de la politique alors que c’est elle qui est susceptible de protéger nos services publics et nos salaires, de réduire le chômage, la pauvreté, les conflits avec son employeur… Brefs, nos problèmes de tous les jours, qui intéressent forcément chaque individu, même celui qui prétend que la politique ne le concerne pas !

  « Le secret d’une autorité, quelle qu’elle soit, tient à la rigueur inflexible avec laquelle elle persuade les gens qu’ils sont coupables. » (Raoul Vaneigem). Au-delà de la légitimation de l’action des élus au détriment de toute contestation extérieure au processus électif, l’élection permet d’attribuer à l’ensemble des électeurs la responsabilité des erreurs des élus. Si les actions de l’élu sont mauvaises, les électeurs sont supposés avoir une part de responsabilité : ils auraient fait un mauvais choix, ils n’auraient pas été capables de prévoir les trahisons possibles dans le futur mandat ! Mais la liberté du choix (qui autorise le blâme postérieurement) ne commence qu’à partir de l’instant où l’on fait la différence entre ce qui dépend de nous et ce qui ne dépend pas de nous.

  http://lavraiedemocratie.fr/7-i-a-notre-impuissance-politique.html
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  Manuel Atréide , 9 octobre 2013 @ 21 h 37 min

  On va encore le répéter une fois de plus, certaines et certains ne l’ont pas encore assimilé :

  on ne choisit pas plus son orientation sexuelle qu’on ne choisit la couleur de ses yeux ou son physique. Dès lors, faire de la “propagande” n’a aucun sens, il n’y a personne à convertir.

  Ce n’est dès lors pas non plus une “habitude de vie”, pas plus que ne l’est le fait d’être droitier ou gaucher.

  En revanche, les valeurs d’un mouvement se partagent. La charité et l’humanisme du Secours Catholique se partagent et s’appliquent à toutes et tous, telle est la conception que cette organisation a de sa mission.

  Idem pour la fédération des Gay Games : elle n’est pas là pour faire de la “propagande” ou du prosélytisme, elle promeut simplement les valeurs de respect, d’ouverture à la différence et de joie d’être réunis que les LGBT ont reconnus comme être des valeurs universelles.

  Vous pouvez avoir la vision terrifiante des homosexuels que vous voulez, cela ne fera pas d’eux les monstres que vous croyez. Cela fait de vous cependant des gens qui vivent dans la peur, le mépris voire la haine de l’autre. Je n’aimerais pas être à votre place, elle ne me semble pas enviable.
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  Manuel Atréide , 9 octobre 2013 @ 21 h 52 min

  Aucun coup de griffe aux catholiques Gisèle. Je loue d’ailleurs l’existence du Secours Catholique dont l’action soulage bien des souffrances. Ils ne regardent pas qui ils aident, ils aident.

  Si, par cette action, ils contribuent à donner une image positive du catholicisme, je ne vais pas m’en offusquer, bien au contraire. Vous devriez cesser de voir le mal partout, le bien est discret mais bien présent.

  Idem MP, laissez Lucifer à sa place, nous sommes en train de parler d’hommes et de femmes qui n’ont d’autre envie que de vivre dans un monde respectueux de toutes et tous.

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