Une première! le 7 septembre 2016, sept personnes atteintes de trisomie 21 ont défendu leur droit à s’exprimer devant le Conseil d’État. Leur requête vise à faire annuler une décision du CSA de 2014 qui estimait qu’une vidéo mettant en scène des enfants trisomiques heureux était susceptible de « générer un trouble » chez les femmes qui pourraient décider d’avorter d’un bébé porteur de trisomie 21.