Rafle d’une militante pro-famille pacifique jeudi matin à Marly-le-Roi (Yvelines)

où le Président François Hollande s’est rendu pour visiter une entreprise de haute technologie et “défendre l’innovation” (sic) :

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136 Comments

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  • mariedefrance , 8 août 2013 @ 20 h 56 min

    Nous avons LES preuves supplémentaires -celles la à La Roche s/Yon- que nous sommes
    en dictature socialiste.

    ONLR : çà ne passera pas.
    Il ne peut en être autrement.

  • Charles , 8 août 2013 @ 21 h 14 min

    Bravo Mr Martin pour votre courage
    et votre rigueur face au déni du réel.

    Je pense simplement que un grand nombre d’électeurs mous préfèrent garder leur petit confort intellectuel en considérant les personnes interpellées comme fautives.

    C’est tellement plus facile que de voir en face
    d’une réalité dérangeante.
    Ces 7 pouliciers finiront devant des juges.

    Vous vous rendez compte, 7 hommes
    payés 4.000net/mois pour arreter
    illégalement 1 femme….

  • Trucker , 8 août 2013 @ 21 h 16 min

    Le problème dans cette séquence est que cette femme ne fait pas ce quelle devrait faire si elle avait été dans la condition psychologique de son action.

    Elle choisie de manifester lors de la venue du président, elle devait s’attendre à une réaction, une action contre elle disproportionnée par rapport à ce que l’on peut lui reprocher.

    Elle ne pouvait pas dire “je n’ai jamais rien fait” puisque justement elle vient de faire un acte de contestation politique à la venue du président, ce que tout le monde doit maintenant comprendre comme étant interdit.

    Donc quand on affronte un interdit, on se prépare psychologiquement, et la première préparation est d’accepter l’idée que l’on va subir une répression.

    Son attitude la décrédibilise, comme on peut le constater à l’écoute des commentaires.
    Sachant qu’elle pouvait être arrêtée, l’efficacité, du point de vu médiatique de son action, aurait été de crier, par exemple :
    ” halte à la répression des non délinquants contestataires ”
    ” Honte au gouvernement et à sa police politique ”
    ” socialistes sectaires gouvernement totalitaire ”
    ” police milice dictature socialiste ”

    bref des slogans qui parlent et transmettent une information de nature à interpeller le témoin et le faire réfléchir sur ce qu’il voit.

    Là on entend …………NONNNNNNNNNNNNNN

    Je suis désolé pour elle mais on a l’impression qu’elle découvre une réalité qui pourtant depuis des mois se banalise dans le pays.
    Elle n’était pas dans l’état d’esprit du combattant qui est prêt à assumer les risques de son action.

    Je vous renvoie à la vidéo de l’interpellation des deux jeunes hommes qui ont déployé une banderole le 14 juillet, sur laquelle on pouvait lire résistance.
    Action préparée, l’interpellation est l’occasion de crier “dictature socialiste” avec contextualisation du message.

    C’est comme cela que ce fait l’action politique de contestation. A défaut de convaincre, il faut éviter de paraitre ridicule, cela sert l’adversaire.

  • angel , 8 août 2013 @ 22 h 04 min

    Votez socialiste c’est votez la fin des libertés
    Putain ,avec le mite hé rent les français n’avaient pas compris !
    il a fallut qu’ils fassent un come back
    Et celui ci nous allons y laisser des plumes
    le coq sera bien déplumé à la fin de son mandat

  • Gisèle , 8 août 2013 @ 22 h 09 min

    La solution viendra du ciel et sûrement pas des hommes !

  • Câlinou , 8 août 2013 @ 22 h 21 min

    ” je n’ai jamais rien fait ! ”
    Traduisez : je n’ai jamais rien fait de REPREHENSIBLE.

    Est-ce blâmable de manifester de la sorte ?
    Quant à juger de la conduite passée de cette femme, vous pouvez tout de même lui accorder crédit, comme on peut vous accorder crédit sur ce point, Trucker, et à moi, jusqu’à preuve du contraire

  • monhugo , 8 août 2013 @ 22 h 33 min

    Je vois quelqu’une qui crie. Et c’est tout. Si cela vous satisfait (le “vous” est un vous collectif), je dis “amen”. Il vous en faut peu, comme souvent. Quand je dis “peu”, c’est dans le sens du “peu d’information” (et non bien sûr, si on pouvait situer l’affaire autrement que par ouï-dire, sur l’arbitraire éventuel de l’embarquement de Mme x).

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