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L’immigration de masse est un phénomène dont les causes sont habilement dissimulées par le système et que la propagande multiculturelle essaye faussement de nous faire apparaître comme inévitable. Dans cet article nous avons l’intention de prouver une fois pour toutes que ce n’est pas un phénomène spontané. Ce qu’on veut nous présenter comme l’issue inévitable de la vie moderne est en réalité un plan conçu depuis des décennies, pour détruire complètement l’apparence de ce continent.
Le pan-européanisme.
Peu de gens savent que l’un des instigateurs du processus d’intégration européenne est aussi celui qui a élaboré le plan du génocide des peuples d’Europe. C’est un personnage sombre, peu connu du public. Cependant les élites le considèrent comme le fondateur de l’union européenne. Son nom est Richard Coudenhove-Kalergi. Son père était un diplomate autrichien du nom de Heinrich von Coudenhove-Kalergi (de la famille byzantine des Kallergis) et sa mère était Mitsu Aoyama, une japonaise. Kalergi, grâce à ses contacts personnels avec les aristocrates et politiciens européens qu’il devait à son père et à son travail de l’ombre, manoeuvra de façon à faire adhérer à son projet les plus importants chefs d’état, ceux-ci devenant des soutiens et des collaborateurs du “projet de l’intégration européenne”.
En 1922, il fonda le mouvement “Pan-Européen” à Vienne, qui avait pour ambition de créer un Nouvel Ordre Mondial, basé sur une confédération de nation dirigées par les Etats-Unis. L’intégration européenne serait la première étape dans la création d’un gouvernement mondial. Parmi les premiers soutiens, on trouve les politiciens tchèques Tomas Masaryk, Edouard Benes et le banquier Max Warburg qui a financé les 60 000 marks de départ. Le chancelier autrichien Ignaz Seipel et le futur président autrichien, Karl Renner, eurent la responsabilité de diriger le mouvement “Pan Européen”. Plus tard, les politiciens français, comme Léon Blum, Aristide Briand, Alcide de Gasperi, etc, proposèrent leur soutien.
Avec la montée du fascisme en Europe, le projet fut abandonné et le mouvement “Pan Européen” obligé de s’auto-dissoudre, mais après la seconde guerre mondiale, Kalergi, grâce à une activité frénétique et inlassable et au soutien de Winston Churchill, de la loge maçonnique juive B’nai B’rith et des grands journaux comme le New York Times, réussit à faire accepter son plan par le gouvernement américain. La CIA achèvera plus tard le projet.
L’essence du plan Kalergi
Dans son livre “Praktischer Idealismus”, Kalergi indique que les résidents des futurs “Etats-Unis d’Europe” ne seraient plus les peuples du Vieux Continent, mais une sorte de sous-hommes, issus du métissage. il expose clairement que les peuples d’Europe doivent se mélanger avec les asiatiques et les races colorées, créant ainsi un troupeau multinational, sans qualités et facilement contrôlable par l’élite dominante.
Kalergi proclame l’abolition du droit à l’autodétermination et ensuite l’élimination des nations grâce à l’utilisation de mouvements séparatistes et des migrations de masse; pour que l’Europe puisse être contrôlée par une élite, il veut transformer le peuple en un mélange homogène de métisses blancs, noirs et asiatiques. Quelle donc est cette élite? Kalergi nous éclaire particulièrement sur ce point: l’homme du futur sera le produit de différentes races. Les races et classes d’aujourd’hui disparaîtront progressivement par l’élimination des espaces, du temps et des préjugés. La race eurasienne-négroïde du futur, similaire en apparence aux anciens égyptiens, remplacera la diversité des peuples et celle des individus. Plutôt que de détruire le judaïsme européen, l’Europe, contre sa volonté, éduque ce peuple et le conduit à son futur statut de leader de ce processus artificiel. Ce n’est pas surprenant que le peuple qui s’est échappé des ghettos-prisons devienne la noblesse spirituelle de l’Europe. Ainsi cette attention particulière de l’Europe a donné naissance à une nouvelle race d’aristocrates. Cela est dû à l’anéantissement de l’aristocratie féodale européenne qui s’est effondré au moment de l’émancipation des juifs [En raison de la révolution française].
Bien qu’aucun livre d’histoire ne mentionne Kalergi, ses idées sont les principes directeurs de l’Union Européenne. La croyance que les peuples européens devraient être mélangés avec les Africains et les Asiatiques, pour détruire notre identité et créer une seule race métissée, est la base de toutes les politiques communautaires ayant pour but de défendre les minorités. Non pour des raisons humanitaires, mais à cause de directives édictées par ce régime impitoyable qui organise le plus grand génocide de l’Histoire. Le prix européen Coudenhove-Kalergi est remis tous les deux ans aux européens qui ont excellé dans la promotion de ce plan criminel. Pami ceux à qui a été remis ce prix on trouve Angela Merkel et Herman Van Rompuy.
L’incitation au génocide est aussi la base des demandes constantes de l’ONU, qui demande que soient accueillis des millions d’immigrants pour remédier à la faible natalité en Europe. Comme le dit un rapport publié en janvier 2000 dans “classement de population”, une revue de l’ONU à New York, sous le titre “Immigration de remplacement: une solution contre le déclin et le vieillissement de la population”, “l’Europe aura besoin avant 2025 de 159 millions d’immigrés.”
On pourrait se demander comment ils peuvent être si précis dans leur estimation du nombre d’immigrés si ce n’était un plan prémédité. Il est certain que le faible nombre de naissances pourrait être inversé grâce à des mesures appropriées pour soutenir les familles. Il est aussi très clair que l’apport de gènes étrangers ne protège pas notre patrimoine génétique mais que cela favorise sa disparition. Le but unique de ces mesures est de déformer totalement notre peuple, de le transformer en en un groupe sans cohésion nationale, historique et culturelle. En gros, les politiques du plan Kalergi étaient et sont toujours à la base des politiques officielles qui visent au génocide des peuples d’Europe, à travers une immigration de masse. G. Brock Chisholm, ancien directeur de l’OMS, prouve qu’il a bien retenu les leçons de Kalergi quand il déclare: “ce que les gens doivent appliquer partout c’est une limitation du taux de natalité et une promotion des mariages mixtes (entre différentes races), dans le but de créer une seule race au monde, cette dernière pouvant être dirigée par une autorité centrale.”
Conclusions
Si nous regardons autour de nous, le plan Kalergi semble se réaliser parfaitement. Nous faisons face à la fusion de l’Europe avec le Tiers Monde. Le fléau des mariages interraciaux engendre chaque année des milliers d’enfants métissés: “Les enfants de Kalergi”. Sous la double pression de la désinformation et de la stupéfaction humanitaire, les Européens apprennent à renoncer à leur origine, à leur identité.
Les serviteurs de la mondialisation essayent de nous convaincre que renier notre identité c’est un acte humanitaire et de progrès, que le “racisme est mauvais”, car ils nous veulent tous comme des consommateurs aveugles. Il est urgent, aujourd’hui plus que jamais, de montrer les mensonges du système pur réveiller l’esprit révolutionnaire des Européens. Chacun doit voir cette vérité: l’intégration européenne s’apparente à un génocide. Nous n’avons pas d’autre choix, l’alternative est un suicide national.