Le discours d’Emmanuel Macron au Louvre

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  André , 8 mai 2017 @ 16 h 01 min

  Je ne communiquerai que la lettre d’une amie. Nous nous connaissons via internet de puis 2008. Je n’ai pas encore répondu, mais je vais le faire en rappelant certains détails parus dans mon blog fermé:
  De : marie
  Envoyé : lundi 8 mai 2017 13:58
  À : Olivier LECHAT
  Objet : Re: TR: de Marie

  Je veux ajouter que pour nous sauver, on peut imaginer un missile frappant l’Elysée, détruisant tout Paris et tout le bassin parisien. Des millions de morts, certes, mais plus de pouvoir, la nécessité de créer une autre capitale, plus centrale sans doute, une autre élite, un pouvoir moins centralité et plus d’autonomie partout, et une guidance contrôlé ainsi que le renvoi des qui on sait par celui qui aurait lancé ce missile, et évidemment, comment ne pas songer à papa Poutine ?
  Sans ce sacrifice partiel de la France, sans cette amputation, on ne sauve pas le reste du corps.
  De toute façon, avec les charters qu’il va nous ramener en pont aérien continu d’Algérie selon son plan, le nombre de djihadistes va d’un coup imposer, et Pris sera à feu et à sang, les enfants découpés en morceaux et violés devant leurs parents comme ils le font actuellement au Kosovo aux familles chrétiennes… Mieux vaut que le missile arrive, hélas…
  Pour l’Aïd-al-Kébir, étnt enfant nous étions logés en petites maisons HLM ayant chacune un bout de pré. Sans la maison en face, ily avait des Algériens, et ils amènent un mouton dans le pré. Tous les gamins algériens, plus les adultes caressent ce mouton. Imaginez qu’à ce moment le mouton caressé se sent bien, aimé, etc… d’un coup, du sang partout et hop, le mouton n’a plus de tête. Horrifiée, m mère nous fit rentrer vite fait, mais trop tard, car nous avions vu cette horreur. Les Français sont comme ce mouton, et soudain ils baigneront dans leur ssng, sans tête. Tant pis pour eux. Je ne veux plus faire quoi que ce soit pour ces gens.
  J’appartiens à la vraie France, celle qui est déjà morte. Je suis un dinosaure, c’est tout, mais combien sommes-nous ainsi ? C’est déjà bien de savoir qu’on n’est pas seul(e) !
  Je t’embrasse André et je prie pour l’avènement à présent.
  Marie

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