♦ Le site Breizh-info a relayé une information parue dans l’hebdomadaire L’Echo de l’Armor et l’Argoat du 30 novembre 2017, révélant que des collégiens avaient été chargés de collecter des produits d’hygiène et de première nécessité au profit des migrants et ce, dans le cadre de leur programme d’ « éducation morale et civique ».
Pour ce faire, leur professeur a fait intervenir un militant du collectif de gauche Utopia 56, un des collectifs les plus mobilisés en France, paraît-il, concernant l’accueil des migrants.
Une politique nationale
Il ne faut pas voir dans cette situation un fait divers, une toquade du chef d’établissement ou du professeur concerné.
En réalité, ces actions s’inscrivent dans le cadre de la loi de « refondation de l’Ecole » du 7 juillet 2013 pour nos enfants et sont amenées à se répandre comme autant de métastases dans notre beau pays de France de plus en plus défiguré par cette politique immigrationniste assassine.
L’ article 3 de cette loi de « refondation de l’Ecole » stipule en effet : «La nation se fixe, comme mission première à l’Ecole, de faire partager les valeurs de la République, parmi lesquelles l’égale dignité de tous les êtres humains (…) la solidarité… ». Par ailleurs, l’article 8 précise : « A l’acquisition de connaissances et instruments du savoir, substituer l’objectif de sens moral et civique… ».
Ainsi, les cours sont progressivement supprimés pour aboutir à leur suppression totale à la rentrée 2018, remplacés par des activités au cours desquelles les élèves sont endoctrinés : au nom de l’égalité et de la solidarité, les élèves sont embrigadés pour réaliser des activités qui répondent à des logiques destructrices de notre identité qu’ils ne peuvent non seulement pas contester, mais qu’ils sont dans l’obligation de servir, et de servir « au mieux » (!!!).
En effet, ces activités obligées étant notées, les élèves sont conduits à déployer un zèle particulier afin d’obtenir une bonne note.
Appréciés non plus sur des savoirs mais sur des comportements, ils sont amenés à collaborer, bien malgré eux, à entretenir une situation qui détruit notre pays.
Nous devons dénoncer cette situation et nous opposer à l’embrigadement de nos enfants dans des logiques qui n’ont rien à voir avec ce que doit être une Ecole.
Claude Meunier-Berthelot – Polémia