ras le bol 8 déc 2015 à 17:19 at 17 h 19 min L==> Merci ami de l’avoir découvert. Voilà 4 oui 5 ans que je suis au courant, mais pas pas le gars qui parle dans la vidéo, par divers archives Je me répète, je suis devenu révisionniste depuis 2007. A force d’entendre des pieds noirs qui ont fui l’Algérie en 1962 de dire que De Gaulle fut un grand salopard et un grand criminel, je suis donc parti à fouiner pour tout savoir sur ce bison rusé. Sinon, il y a dix encore pour moi des pieds noirs sont restés en Algérie et d’autres sont partis, je n’y voyais aucune différence. Mais quand on découvre le pot aux roses la lumière se fait. De Gaulle fut un très grand visionnaire, les américains ont voulu coloniser la France, mais papa De Gaulle n’a pas voulu. C’est exactement ce qui s’est passé avec l’Algérie. En combattant les sauvages musulmans dans la Méditerranée et ensuite en Algérie, d’abord les berbères furent heureux de voir des français les libérer des sauvages musulmans, mais ensuite ils furent désenchantés quand les français firent de l’occupation..Trop long pour rappeler toute l’histoire…… Maintenant,il y a des pieds noirs dangereux. En voici un exemple qui n’a pas la conscience tranquille. Cet exemple éprouve toujours le besoin de me menacer. Mais ses menaces sont équidistantes des deux pôles de mon indifférence. Quand on est innocent, pourquoi essayer de vouloir se disculper. Je cite:
marie france,sorti des drapeaux
8 déc 2015 à 17:01 at 17 h 01 min
André ,soyez aimable ,arrêtez de nous emmerder avec les PN ,ils ont autre chose à penser qu’à votre petite insignifiante personne ,arrêtezde vous faire du cinéma ,vous ,vous faîtes du mal pour rien .
ras le bol , 8 décembre 2015 @ 20 h 22 min
André, marie France ne profère aucune menace à votre endroit, elle considère comme quelques-uns parfois sur ce blog, que la longueur des commentaires peuvent être pesants à lire… D’où quelques réactions…
La période de 40 est particulière. Difficile de la juger. D’autant plus lorsqu’on n’a pas vécu l’occupation. Annie Lacroix-Riz disait dans une de ses vidéos que les archives de cette période n’étaient pas accessibles, que certaines s’étaient ouvertes début 90 je crois et que Paxton par exemple qui est la référence de certains, n’a pu écrit son bouquin sur Vichy qu’en s’appuyant sur les archives américaines… Les françaises n’étaient pas ouvertes à cette époque.
La loi française ne voulant pas nuire à ceux qui sont actuellement au gouvernement ou dans les partis politiques et qui ont eu leur(s) parent(s) impliqué(s) dans une collaboration avec les nazis, plus ou moins poussée…
C’est plus difficile pour les entreprises…
Quant à de Gaulle, en 40, il a été déclaré déserteur. Condamné. Selon Adrien Abauzit il aurait manigancé en Afrique du Nord pour prendre le pouvoir en France dès la libération, se débarrassant des gêneurs ? En contre partie, aidé par les américains, aurait-il fait quelques concessions qui touchaient l’Afrique du Nord ?? Qu’y a t-il sous roche ? Je l’ignore.
Toute guerre n’est pas propre. Il est évident que la politique de l’époque était la fermeture des frontières au moment des événements d’Algérie. Aujourd’hui, depuis Sarkolland nous avons ouverture béante des frontières en faveur d’une migration pour laquelle aucun contrôle n’est apporté avec sérieux.
Gisèle , 8 décembre 2015 @ 23 h 00 min
Bonsoir @ras le bol et André .
De la période de cette guerre , nous avons chacun reçu les témoignages contés de nos parents et grands – parents .
Pour ma part , ma famille de l’Aisne et des Ardennes vivait au cœur des évènements qui l’ont marquée et blessée .
Ma grand mère , suite au plan ( bien réfléchi …) d’évacuation , a du partir en Dordogne avec ses 8 enfants . Les routes , les bombes , les gares , les trains …..
Arrivés là bas , ils ont été accueillis par des insultes , de la méfiance , un surnom : les boches du nord . Ils ont du au départ dormir dans des granges , des étables …il y avait des poux , des puces …Pourtant , ils étaient chez eux .. en France !
Puis ils ont bénéficié de maisons sans commodités , sans eau courante , sans salle de bain .
Revenus chez eux , ils ont découvert une maison saccagée , pillée , des draps de ma grand mère , séchaient dans le jardin des voisins …* on * avait fait ses besoins dans la vaisselle …
Puis , mon père , qui avait 17 ans , faisait partie de la croix rouge . Il a du participer aux recherches après le grand bombardement de Laon par les américains . Les bombes destinées à la gare , sont tombées sur l’hôpital et autour … imaginez !
Parmi les tués , le curé , qui est sorti de son abri pour porter secours .
Il y a eu aussi la faim , les privations , les restrictions , les rutabagas , les topinambours , le pain bis ..
Puis les chaussures aux semelles de bois ..
Ma maman , elle au moment de la débâcle a été mise en joue par un allemand devenu fou .
Ma grand mère est décédée d’un cancer en 50 . Trois de mes tantes sont allées en sanatorium …
En ce qui concerne Pétain , j’ai eu une version bien différente de celle que les incultes cultivés racontent avec haine .
ras le bol , 9 décembre 2015 @ 0 h 39 min
@Gisèle, Merci pour ce témoignage Gisèle. Sachez que côté confort, les régions de l’Est étaient beaucoup plus en avance que le reste de la France, notamment en ce qui concerne l’eau courante et les toilettes situées à l’intérieur des maisons. Peut-être est-ce l’influence allemande ?
Il m’a été dit que dans le Nord de la France des toilettes avaient été communes dans une rue au milieu de corons, encore après guerre ??? Comme des maisons de mineurs avaient eu la pièce de toilette à l’extérieur du logement au fond du jardin. Par contre à la campagne, au centre de la France, je l’ai vu dans les années 70, chez des personnes âgées, les toilettes étaient toujours dans le jardin, c’était une planche percée…
Le confort était bien loin de celui d’aujourd’hui !
C’est pourquoi il est facile de critiquer les français qui ont vécu cette époque. La vie était très différente. Les quelques voitures étaient réquisitionnées. Parfois les vélos. Le téléphone n’existait pas dans chaque logement. Les femmes cousaient et tricotaient. Les villes, villages étaient distants… Il fallait que les familles se débrouillent…. autant pour l’activité professionnelle que pour le ravitaillement… Il ne faut pas oublier qu’il y avait près de deux millions de soldats ou d’officiers prisonniers en Allemagne objet de pression sur Pétain. Certains “occupants” habitaient chez l’habitant dont le logement se trouvait réquisitionné… Ce n’était pas aussi simple que certains aimeraient le faire croire aujourd’hui. Il fallait survivre bien souvent au lieu de vivre. Et quand vous entendez “des intelligents qui savent mieux que ceux qui ont vécu la période” qu’il fallait désobéir, qu’il fallait refuser de travailler, qu’il fallait partir… au lieu de “collaborer”. C’était impossible. Ce qu’une simple demande ne peut obtenir, l’autorité et la violence peuvent l’avoir…. ainsi que le chantage et toutes les pressions possibles sur les individus, leurs familles…
Alors dans un pays occupé, en guerre, la méfiance des “gens de l’intérieur” vis à vis des compatriotes qui fuient l’Alsace, la Lorraine, la Belgique… qui arrivent avec un accent qui rappelle celui de l’occupant. Evidemment les réticences durent être difficiles pour ceux qui les subissaient…
Le problème avec cette guerre, c’est que chaque coin de France a vécu sa guerre, différente d’une zone à l’autre. Mais on en a fait aussi des généralités.
Et c’est le problème quand “certains” viennent dire, écrire notre Histoire, surtout comme Paxton né après guerre, les Français étaient collabos, dénonciateurs, etc… Certes il y en a qui furent des salauds, qui se sont enrichis, qui ont tués, collaborés, qui sont passés entre les mailles de l’épuration, qui se sont vengés… mais je reprendrai une phrase de Mitterrand, pourtant pas spécialement une référence répondant à un journaliste : “j’aurais bien voulu vous y voir !”. L’allemand n’était pas le saint qu’on veut bien nous faire croire…
C’était une drôle de guerre !
Et prions Dieu que la France ne revit plus jamais cette époque de destruction…
scaletrans , 9 décembre 2015 @ 9 h 04 min
Paxton ? Même pas dans mes toilettes !
Un jeune homme de grand courage a fait tout seul son travail de ré-information sur le gouvernement du Maréchal Pétain et lui rend hommage. Ce jeune homme s’appelle Adrien Abauzit, écoutez-le.
ras le bol 8 déc 2015 à 20:22 at 20 h 22 min l==> Pas grand chose à retrancher, De Gaulle j’ai voulu le connaître à fond quand les pieds noirs qui ont fui en 1962, le décrivaient comme salopard grand criminel !! Rien que cela. J’ai découvert que ce Charles dans les années 1930 connaissait le plan américano-sioniste. Pendant un instant, j’ai eu des soupçons qu’il tenait avec Hitler en 36-37 qui réanimait l’Allemagne en coupant les ponts avec l’Amérique. De Gaulle graciera Pétain condamné à mort. Je découvre que Pétain, en cachette aidait Jean Moulin.
Après l’indépendance, ma venue en Algérie, je fus très vite chouchouté par les autochtones après m’avoir demandé si j’étais un français de France. J’ai immédiatement adoré mes mômes qui venaient pieds nus dans ma classe, de leur gentillesse, de leur obéissance et de leur soif de vouloir s’instruire. Mes mômes pour la plupart ont fait des études tertiaires. Je fus saisi par les cadeaux que les gens m’apportaient, ils m’offraient de leur pauvreté, des galettes et autres friandises. Je n’ai jamais vu un français de souche donner de son superflu.
J’avais des échos que des pieds tentaient de faire avec les algériens le même sort qu’aux amérindiens.Je n’y ai pas cru. Puis finalement, cette puce à l’oreille m’oblige à faire des recherches et quand on cherche on trouve. J’ai une lettre de Jean Marie Schmitz Président des harkis de France, et je suis membre. Je vais d’ailleurs lui envoyer dix pages de mes conclusions de la manière dont me traitent les pieds noirs fuyards. Les français de souche n’ont rien à voir avec les harkis. Les harkis ne sont pas venus en France pour chasser les américains, ils ont sacrifié leur vie pour les pieds noirs, c’est donc aux pieds noirs de leur venir en aide.
Pour en revenir à De Gaulle, il était caractériel et même parfois un peu soupe au lait. J’ai du mal à croire à l’attentat du Petit Clamart, je crois plutôt à une mise en scène. Mais alors pourquoi, ce jeune colonel de 34 ans, Bastien Thiry fut fusillé en cachette le 11 mars 1963 au Fort d’Ivry ? http://france.libre1.overblog.com/2015/08/islam-algerie-pied-noir.html
Oh oui ! J’ai vu le jour entre deux bombardements dans une cabane à la frontière belge, non loin de Tournai pour le ch’ti. J’ai donc énormément de souvenirs et d’anecdotes. On pouvait encore se ravitailler en Belgique en cachette en passant par la forêt, mais attention à la douane volante qui était parfois intraitable à moins d’avoir des connaissances. Ma mère n’a jamais eu de problème avec les boches, par contre quand les américains sont arrivés, elle a failli se bagarrer avec un canadien. Il pensait qu’au pillage, c’est la guerre madame. Autoritaire elle est allée voir son officier au camp qui s’était implanté et elle l’a fait mettre aux arrêts. D’ailleurs je suis submergé par des souvenirs depuis au moins l’âge de deux ans. Je trouvais cela particulièrement étrange. Mais maintenant je sais pourquoi et chaque individu va bientôt le découvrir. Donc inutile que j’en parle.
54 Comments
Comments are closed.