Robin est coutumier du fait et c’est un Être (…) à qui on ne peut en aucun faire la moindre confiance.
trahi , 8 décembre 2014 @ 8 h 32 min
Si Zemmour a “plagié” c’est à dire “copié, imité,” celà veut bien dire qu’il n’est pas le SEUL à voir les choses qui ont amené la FRANCE oû elle est là aujourd’hui, donc BEAUCOUP pense comme lui et c’est tout à son avantage!!!
Si Robin pouvait arrêter de tirer sur son propre camp pour se faire de la pub, ça serait pas mal, non ?
Enoch , 8 décembre 2014 @ 9 h 54 min
Jean Robin se croit malin mais il ne fait que brouiller son image par des prises de position à contre-courant qui donne du grain à moudre au camp qu’il prétend combattre.
L’ego reste toujours le pire ennemi des hommes. Lorsqu’il est porté à de tel hauteur, l’ego devient destructeur.
C’est dommage, il y a des choses intéressantes sur son site et dans ces analyses. Mais l’image du personnage est trouble et complexe.
Ce qui empeche d’avoir de la sympathie et de l’empathie pour monsieur Robin.
A= Aristote , 8 décembre 2014 @ 10 h 23 min
UN chercheur utilise nécessairement les recherches des autres ; toute citation ne peut-être explicite . Enfin il y aurait beaucoup à dire sur le caractère individualiste du droit d’auteur en matière scientifique .
Dernière question quelle est l’officine qui paie ce M. Robin ? Le Canard ? Les RG ? …
L’histoire de la paille et de la poutre, encore une fois en somme.
Trucker , 8 décembre 2014 @ 10 h 55 min
Bon… la question à poser est la suivante : si Zemmour avait plagié Jean Robin, il eut été normal que celui-ci s’en plaigne, mais le fait de dénoncer l’acte, si tant est qu’il faille le présenter comme tel, parce que Zemmour cite des propos, y compris par phrases entières, d’autres auteurs…………….en quoi cela concerne Jean Robin ?
Est-il membre d’une quelconque autorité chargé de veiller à la défense des intérêts des auteurs, écrivains ou penseurs ?
Quel est le jeu joué par Jean Robin ?…. sachant que l’ouvrage suscite de nombreuses polémiques dans un pays qui se veut libre mais ne la tolère, sachant que Zemmour s’attaque aux dogmes de la pensée “unique” , laquelle est également dénoncée et combattue par Jean Robin par ses écrits, manifestations ou autres modalités d’expression…
( n’était-il pas présent lors des assises sur l’islamisation de nos pays pour y tenir un discours sur la liberté d’expression, appelant les journalistes à se libérer des contraintes du politiquement correct ! )
N’aurait-il pas été louable de sa part de convier Zemmour à en discuter librement, avant que de le démolir, c’est à dire en agissant comme le fait le système politico-médiatique si souvent dénoncé ?
Quant à la citation de l’intervention de Mr Henry de Lesquen, il convient de constater également que celui-ci aura produit des critiques acerbes contre l’ouvrage de Zemmour sur les ondes d’une radio que son fondateur voulait courtoise, lequel fondateur aurai lui probablement eut la courtoisie d’inviter l’auteur à son antenne pour s’expliquer.
Malheureusement pour Jean Robin, il y a des plagiés potentiels tels Jean-Yves le Gallou qui eux, parce que militants et combattants de la vraie liberté d’expression, savent reconnaitre que le mérite de ce livre, est de permettre à des idées honnies et devenues tabous de pouvoir faire ou refaire surface et de déborder les digues de la bien-pensance prétendue libre, et ce;, même s’il devait faire partis des plagiés.
Cela s’appelle savoir faire la part des choses.
Ce livre que j’ai commencé à lire est une recension des 40 dernières années, et il présente l’avantage de permettre de se remémorer un passé récent que tout cinquantenaire à vécu, sans pour autant en avoir eut une approche analytique et sans pouvoir appréhender les relations de causes à conséquences, qui ont abouties à la situations que nous connaissons à l’heure actuelle.
Le prisme analytique “Zemmourien” peut déplaire ou ouvrir la porte à contestation, mais ce travail de recension, s’il a été mené par d’autres et donc fourni matière à ce livre, n’avait pas jusqu’ici atteint l’opinion du grand public.
Rien que pour cela Zemmour mérite le succès qu’est celui de son dernier opus et je considère pour ma part, que l’accusation portée à son encontre, si elle peut se justifier du strict point de vue purement “technique” pose la question suivante :
Pour qui roule Jean Robin ?
PS : tout cela démontre une fois de plus que décidément, dans le pays de la liberté, celle de débattre et de s’opposer, de polémiquer de manière honnête et courtoise, donc de manière constructive semble relever de l’impossibilité.
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