Kenya / Un agent de stérilisation dans des vaccins antitétaniques de l’ONU!

 

Les évêques catholiques du Kenya ont demandé aux femmes de ne pas se laisser vacciner contre le tétanos à l’occasion de la campagne en cours dans le pays, affirmant qu’il s’agit d’une « campagne destinée à contrôler les naissances », comme l’a explicitement affirme le cardinal John Njue de Nairobi.
Un communiqué de l’association des médecins catholiques du Kenya publié mardi affirme que cette organisation a trouvé un antigène qui provoque des fausses couches dans un vaccin antitétanique actuellement administré à 2,3 millions de femmes et de jeunes filles par l’OMS et l’UNICEF. Le programme de vaccination national est soutenu par le gouvernement kenyan.
L’association dit avoir fait analyser six vaccins en provenance de diverses régions du Kenya dans un laboratoire sud-africain. « Ils contenaient tous l’antigène HCG », l’hormone de la grossesse, sous forme synthétique. Provoquant une réaction immunitaire, l’administration de l’hormone de synthèse a pour conséquence la création d’anticorps qui est ensuite déclenchée si la femme tombe enceinte et fabrique son propre Beta HCG, la fabrication d’anticorps se déclenche aussitôt, et la fausse couche suit.
Plusieurs éléments ont déclenché l’inquiétude des médecins catholiques qui travaillent dans les 54 hôpitaux, 83 centres de santé et 17 écoles de médecins et d’infirmières qui forment l’important réseau de soins proposé par l’Eglise catholique au Kenya : le fait que le vaccin comporte quatre rappels, soit cinq piqûres sur deux ans, qu’il ne soit proposé qu’aux femmes en âge de procréer, et qu’il ne soit pas accompagné de l’habituelle publicité gouvernementale. Seule quelques agents gouvernementaux sont habilités à l’administrer : « Ils viennent accompagnés d’une escorte policière. Ils emportent les vaccins avec eux quand ils s’en vont. Pourquoi ne pas laisser les personnels médicaux sur place l’administrer ? », demande le Dr Muhame Ngare – comme cela se fait pour les vaccins anti-polio par exemple.
Le vaccin antitétanique comporte normalement trois piqûres sur deux ou trois ans et il est donné à tous ceux qui arrivent à la clinique avec une plaie ouverte, hommes, femmes et enfants, a souligné le Dr Muhame Ngare dans un entretien à LifeSite. Il ajoute que « le vaccin antitétanique n’a jamais été administré en cinq doses que dans les cas où il comporte le HCG de synthèse développé par l’OMS en 1992 ».
« Nous savons que la dernière fois que cette vaccination par cinq piqûres a été utilisée, c’est au Mexique en 1993 et au Nicaragua et aux Philippines en 1994. Il produit des fausses couches seulement trois ans plus tard », a-t-il précisé.
Le gouvernement et les médias kenyans prétendaient apporter la preuve que le vaccin était libre de tout agent anti-fertilité en assurant que des femmes vaccinées l’an dernier sont actuellement enceintes.
Le gouvernement a également soutenu que la vaccination des femmes en âge de procréer visait à vacciner leur enfant in utero – c’est d’autant plus bizarre que les nouveau-nés peuvent être vaccinés très tôt contre le tétanos.
Il a démenti la présence de HCG dans les vaccins et assuré qu’ils étaient « sûrs ».
Le Dr Ngare rétorque : « Soit nous mentons, soit le gouvernement ment. Mais posez-vous la question : “Quelle raison pourraient bien avoir les médecins catholiques de mentir ?” L’Eglise catholique procure des soins de santé et des vaccinations ici au Kenya depuis cent ans – bien avant que le Kenya n’existe comme pays. »
Brian Clowes, de Human Life International, explique l’affaire en un mot : « Racisme. » « En outre, les pays développés aimeraient s’emparer de leurs ressources naturelles. Et pour finir, dernièrement, il y a toute cette supercherie sur le réchauffement global. »
Les évêques du Kenya avaient déjà mis en garde plusieurs fois cette année contre la campagne, posant notamment des questions rapportées par Radio Vatican le 9 octobre dernier.

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