Afrique du Sud : Un enfant de 4 ans tué parce qu’il refusait d’appeler la compagne de sa mère «Papa» !

La théorie du genre ou la mort. Selon The StarJandre Botha, un petit garçon de 4 ans, a été battu à mort après avoir refusé d’appeler la compagne de sa mère “Papa”. Les deux femmes, Engeline de Nysschen (33 ans) et Hanelie Botha (31 ans, la mère) ont été reconnues coupables en 2006 par le tribunal : la première du meurtre de l’enfant, la seconde pour n’avoir pas réagi alors que l’enfant était régulièrement battu et pour avoir menti afin de protéger sa compagne. Elles ont été condamnées à 25 ans de réclusion criminelle. Une information à l’époque passée sous silence par les médias français.

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  • Robert , 8 novembre 2012 @ 22 h 07 min

    Bonne lecture à vous.

    BY LIFESITENEWS.COM
    Mon Apr 19, 2010
    By John-Henry Westen

    April 19, 2010 (LifeSiteNews.com) – A must-read paper produced by Human Life International Research Director Brian Clowes has closed the book on the question of whether homosexuality in the priesthood is a root cause of the clerical sexual abuse crisis. Citing numerous research studies, Clowes demonstrates that homosexuality is strongly linked to sexual abuse of minors, and that celibacy is definitely not a cause of pedophilia.

    Clowes cites studies, including:

    – Homosexual Alfred Kinsey, the USA’s preeminent sexual researcher, found in 1948 that 37 percent of all male homosexuals admitted to having sex with children under 17 years old.

    – A recent study published in the Archives of Sexual Behavior found that “The best epidemiological evidence indicates that only 2.4% of men attracted to adults prefer men. In contrast, around 25-40% of men attracted to children prefer boys. Thus, the rate of homosexual attraction is 6-20 times higher among pedophiles.”

    – A study in the Archives of Sexual Behavior found that, “Pedophilia appears to have a greater than chance association with two other statistically infrequent phenomena. The first of these is homosexuality … Recent surveys estimate the prevalence of homosexuality, among men attracted to adults, in the neighborhood of 2%. In contrast, the prevalence of homosexuality among pedophiles may be as high as 30-40%.”

    – A study in the Journal of Sex Research noted that “… the proportion of sex offenders against male children among homosexual men is substantially larger than the proportion of sex offenders against female children among heterosexual men … the development of pedophilia is more closely linked with homosexuality than with heterosexuality.”

    – A study of 229 convicted child molesters published in the Archives of Sexual Behavior found that “eighty-six percent of [sexual] offenders against males described themselves as homosexual or bisexual.”

    La traduction en français

    Homosexualité et pédophilie : le vrai rapport
    Human Life International, cité par LifeSite, publie un article de fond extrêmement équilibré et documenté – et fort important dans le contexte actuel – sur les rapports qui existent, et ceux qui n’existent pas, entre homosexualité et pédophilie. Chargé de la recherche pour la grande organisation pro-vie catholique, Brian Clowes semble bien avoir mis un terme au débat concernant le rôle joué par l’homosexualité d’une part du clergé dans les scandales qui ont fait surface aux cours des dernières décennies et qui sont aujourd’hui exploités en vrac pour dénigrer l’Eglise catholique en tant qu’institution. Son étude qui invoque, commente et critique de multiples recherches, dont une grande part émane d’organismes sans hostilité aucune à l’égard des homosexuels, permet d’établir que le célibat ne peut pas être considéré comme cause de la pédophilie, mais qu’en revanche il existe un lien fort entre homosexualité et abus de mineurs.

    La totalité de cette étude, en langue anglaise, est consultable ici sur le site de Lifesite. Elle est totalement à jour, ayant été publiée le 19 avril et comportant par exemple des références aux récentes déclarations du cardinal Bertone au Chili. Elle perçoit parfaitement le problème actuel qui interdit quasiment de faire un lien entre homosexualité et abus de mineurs sous peine d’être taxé d’« homophobie ». Pourtant il n’est pas question d’amalgames, d’exagérations ou de déterminisme. Que cela soit bien clair.

    Il faut d’abord clarifier le langage, comme le fait Brian Clowes à la 4e page de son rapport pour montrer la non-pertinence d’une étude de 1994 excluant l’homosexualité comme facteur de pédophilie : cette étude concernait des enfant d’un âge moyen de 6,1 ans. Or, précise-t-il, le pédophile vrai qui est attiré par ces enfants très jeunes n’est pas attiré par les adultes de l’un ou de l’autre sexe. Les « pédophiles » évoqués dans le contexte des scandales actuels s’attaquent à des jeunes à peine pubères, des adolescents, la plupart du temps des adolescents mâles, et la plupart des agresseurs de ces jeunes sont des homosexuels qui sont de la sorte « éphébophiles ».

    Or c’est bien ce qui est en cause ici : sur les cas répertoriés depuis une cinquantaine d’années aux Etats-Unis, seuls 10 % concernaient des enfants pré-pubères âgés de 10 ans et moins.

    Il faudrait pouvoir traduire tout ce texte de 20 pages mais c’est un gros morceau. Je vous en propose quelques éléments significatifs pris au fil des pages.

    • Le rapport Alfred Kinsey (lui-même homosexuel peu suspect de pruderie ou d’homophobie), assure en 1948 que 37 % des homosexuels mâles avérés avouent avoir eu des rapports avec des garçons de moins de 17 ans.

    • Les Archives of Sexual Behavior ont établi récemmet que seuls 2 à 4 % des hommes adultes préfèrent les hommes. Mais 25 à 40 % des hommes attirés par des enfants préfèrent les garçons.

    • Les mêmes Archives évaluent la prévalence des homosexuels parmi les pédophiles à 30 ou à 40 %, à comparer aux 2 % d’homosexuels dans la population générale.

    • Une étude du Journal of Sexual Research note que « la proportion de coupables d’abus sexuel contre des enfants mâles parmi les hommes homosexuels est substantiellement plus importante que la proportion des coupables d’abus sexuel sur des petites filles parmi les hommes hétérosexuels… Le développement de la pédophilie est plus étroitement lié à l’homosexualité qu’à l’hétérosexualité. »

    Autrement dit, en chiffres absolus, il y a plus de victimes filles mais la proportion des agresseurs est plus importante chez les hommes homosexuels dont le nombre dans la population est beaucoup plus petit.

    • Une étude de 229 coupables d’abus sur des mineurs publiée dans les Archives of Sexual Behavior révèle que 86 % d’entre eux se définissent eux-mêmes comme homosexuels ou bi-sexuels.

    Brian Clowes cite l’étude indépendante « John Jay » commandée par l’Eglise aux Etats-Unis sur les allégations d’abus sexuels visant des prêtres catholiques sur plusieurs décennies. On y découvre qu’à mesure que les enfants grandissent, les agressions visent moins les filles et davantage les garçons, passant de 58,3 % de filles dans la catégorie des 1 à 7 ans à 85,3 % de garçons dans la catégorie des 11-17 ans, l’âge qui plaît aux « éphébophiles ».

    Cela contraste d’ailleurs violemment avec ce qui se passe dans la population des Etats-Unis en général : les agressions d’un homme sur un garçon ne représentent que 14,4 % des agressions sexuelles totales : 1 agression sur sept, autrement dit, tandis que parmi les prêtres agresseurs cette proportion passe à 6 sur 7 !

    Brian Clowes calcule que s’il y a plus d’homosexuels parmi les prêtres que dans le reste de la population, par exemple 10 %, les chiffres montrent qu’un prêtre homosexuel présente 52 fois de risques supplémentaires qu’un prêtre hétérosexuel d’agresser un enfant ou un jeune. S’ils sont 5 %, le risque montre à 110 fois plus.

    Le travail dans un secteur permettant d’approcher des garçons est évidemment recherché par ceux qui sont attirés par eux. Clowes cite une enquête auprès de responsables d’écoles qui font état de 13 fois plus de plaintes visant des homosexuels abusant des jeunes que des hétérosexuels. D’autres études évoquant 90 à 100 fois plus d’agressions d’enseignants homosexuels sur des jeunes que d’enseignants hétérosexuels.

    On trouvera dans l’article de Brian Clowes d’abondantes références renvoyant à une littérature homosexuelle ouvertement éphébophile et très explicite dans son affirmation que tous y trouvent leur compte – les adultes et les jeunes garçons. Un point de vue partagé par l’équipe d’Alfred Kinsey qui est également à l’origine de la fausse opinion commune selon laquelle 10 % des hommes seraient homosexuels.

    Voyez cette citation de Mgr Richard Sniezyk sur son expérience de séminariste et de jeune prêtre pendent les années 1960 à 1980 (années où se concentrent la plupart des abus) : personne ne se préoccupait alors en apprenant qu’un prêtre avait des relations avec de jeunes hommes, « tout le monde pensait que c’était OK ».

    Brian Clowes s’intéresse également à l’affirmation selon laquelle un acte sexuel impliquant un homme et un jeune garçon n’est pas un acte homosexuel, comme le veut la criminologue Margaret Smith. C’est absurde sur le plan du langage et aussi contrevenu par les faits puisque des études ont montré que les hommes attirés par des jeunes garçons le sont généralement aussi par des hommes de tous âges, ou au moins par des hommes n’ayant pas plus de 24 ans mais donc adultes.

    Y a-t-il un lien entre célibat et pédophilie ? Non, répond encore Biran Clowes en rappelant que les prêtres, respectés et admirés de manière générale, ont plus facilement accès aux femmes que les hommes dans la population en général. Selon une étude du Pr Philip Jenkins de Penn State, entre 0,2 % et 1,7 % des prêtres catholiques sont des pédophiles, contre 2 à 3 % des membres du clergé protestant qui sont libres de se marier.

    Conclusion : « Un homme qui a adopté un style de vie homosexuel, ou qui éprouve des tendances homosexuelles, ne devrait jamais être ordonné prêtre. Le danger pour les vies et pour les âmes est simplement trop grand, ainsi que l’a amplement démontré la crise des abus sexuels au sein de l’Eglise. »

    J’y ajouterais plusieurs réflexions personnelles pour clarifier le débat.

    1. On ne peut pas dire que l’homosexualité et la pédophilie se confondent, notamment dans le cas de la pédophilie vraie, particulièrement révoltante, visant des enfants de 10 ans ou moins, surtout des filles d’ailleurs : c”est un désordre précis qui est très loin d’être l’apanage des homosexuels et je comprends qu’ils puissent se sentir insultés si c’est cela qui est affirmé.

    2. On ne peut pas dire que tous les homosexuels sont des éphébophiles, même si la proportion d’homosexuels qui se disent attirés ou qui avouent un passage à l’acte sur un garçon de 11 à 17 ans est important ; de 25 à plus de 40 % selon les études et dans un domaine où la sincérité peut être difficile.

    3. En revanche les éphébophiles (l’essentiel des cas répertoriés dans l’affaire de « pédophilie dans l’Eglise » telle que la désignent les médias) sont dans leur écrasante majorité des homosexuels exerçant leur abus sur des garçons.

    Toutes les références aux études citées sont données par Brian Clowes sont explicitement données et la plupart des pages invoquées reproduites en fin de document.

  • Robert , 8 novembre 2012 @ 22 h 11 min

    Je n’ai nulle part relativisé ni justifié quelque crime que ce soit, mais vous avez uniquement mis l’accent sur les prêtres pédérastes et j’ai remis les choses en perspective, preuves à l’appui.
    Aussi, je ne relève pas vos accusation certainement sous le coup de l’émotion. je comprends, la vérité est toujours pénible à entendre quand on n’est pas habitué.

    Bonne lecture!

  • toubib16 , 9 novembre 2012 @ 19 h 01 min

    C’est toi qui parle de pudeur!!!???
    L’hôpital qui se fout de la charité.
    Allez, dégage du forum

  • Kogamo Saturnin , 11 novembre 2012 @ 15 h 55 min

    @ Jejomau.

    Rapport très sérieux en effet…
    Un papier, rédigé par un certain Brian W. Clowes, et publié non pas dans une revue scientifique, mais… sur un site de propagande chrétienne (www.lifesitenews.com, émanation de Campaign Life Coalition).

    De plus, ce monsieur est un ancien militaire dont la spécialité professionnelle n’est ni la médecine, ni la psychologie et pas davantage la criminalité : c’est un ingénieur spécialisé dans la théorie des systèmes (http://www.hli.org/index.php/news/238-brian-clowes).

    Pour donner un exemple de la compétence — ou du peu de probité intellectuelle — de ce monsieur, il affirme que, dans une certaine étude (“Heterosexuality, homosexuality, and erotic age preferences”, Freund, Watson, Rienzo, 1989) on peut lire la phrase :
    “the proportion of sex offenders against male children
    among homosexual men is substantially larger than the
    proportion of sex offenders against female children
    among heterosexual men”.

    C’est exact, sauf que… il s’agit d’une *citation* !

    Voici un extrait plus complet et significatif :
    “The results of the present study suggest that the
    erotic attractiveness of male children (or pubescents)
    for androphiles is not greater than the erotic
    attractiveness of female children (or pubescents)
    to gynephiles.
    Thus, there must be another reason for the finding that
    the proportion of sex offenders against male children
    among homosexual men is substantially larger than the
    proportion of sex-offenders against female children
    among heterosexual men (Cameron, 1985)”.

    Autrement dit, l’assertion sur les homosexuels qui seraient prétendument sur-représentés parmi les pédophiles doit être attribuée à un certain Paul Cameron (notoire faussaire par ailleurs), dont Freund/Watson/Rienzo s’étonnent que leur étude
    à eux ne confirme pas l’affirmation de Cameron !
    Vous suivez ?

    Du reste, l’article de ces trois-là commence ainsi (abstract) :
    “Homosexual males who preferred physically mature
    partners responded no more to male children than
    heterosexual males who preferred physically mature
    partners responded to female children.”
    Ce qui annonce que l’étude citée dit en fait *le contraire* de ce que Brian Clowes voudrait qu’elle dise…

    On comprend mieux que Clowes préfère diffuser sa « science » sur les sites chrétiens militants plutôt que dans les revues ayant pignon sur rue.

  • Kogamo Saturnin , 12 novembre 2012 @ 6 h 09 min

    Je ne vous cache pas le peu de bien que je pense de ce M. Clowes (voir plus haut) ni de ses écrits, qu’il serait indécent de qualifier d’« étude ». Le terme « pamphlet manipulateur » conviendrait davantage…

    http://www.lifesitenews.com/ldn/2010_docs/Homosexuality_Church_Crisis2.pdf

    J’ai déjà donné un exemple de citation tronquée, qui fait dire à des auteurs le contraire de ce qu’ils ont écrit.

    Deuxième exemple.
    Clowes cite la phrase :
    « the development of pedophilia is more closely linked with
    homosexuality than with heterosexuality ».

    Dans sa totalité, il s’agit de :
    “Perhaps, the negative result of the present study supports an
    alternative hypothesis which focuses on homosexual pedophilia
    instead of androphilia, namely, that the development of pedophilia
    is more closely linked with homosexuality than with heterosexuality
    (Freund et al, 1984).
    However, since this explanation is still speculative, research needs
    to continue in this direction.”
    Avouez que ce n’est pas du tout la même chose…

    Troisième exemple.
    Clowes extrait sauvagement de “Fraternal Birth Order and Sexual Orientation in Pedophiles” (Ray Blanchard & al.) les phrases suivantes :
    “The best epidemiological evidence indicates that only 2-4% of
    men attracted to adults prefer men. In contrast, around 25-40% of
    men attracted to children prefer boys. Thus, the rate of homosexual
    attraction is 6-20 times higher among pedophiles.”

    Or, dans la même étude, les auteurs — qui ont, avec raison, craint les exploitations idéologiques que certains propagandistes sans scrupules pourraient faire de leurs travaux — prennent la peine d’insister :
    “A few closing comments are necessary to preclude any
    misunderstanding or misuse of this study.
    First, the statistical association of homosexuality and pedophilia
    concerns developmental events in utero or in early childhood.
    Ordinary (teleiophilic) homosexual men are no more likely to molest
    boys than ordinary (teleiophilic) heterosexual men are to
    molest girls.”
    (Téléiophile = attiré par des adultes.)

    On peut se demander alors pourquoi ces deux extraits de Ray Blanchard (& al.) apparaissent contradictoires.
    La réponse est simple, et bien connue des psychologues. Mais l’objectif inavoué de Clowes étant de créer un amalgame entre homosexualité et pédophilie, ne comptez pas trop sur lui pour vous le faire savoir.
    Il se trouve que les « pédophiles homosexuels » ne sont pas « homosexuels » au sens usuel, c’est-à-dire attirés par des adultes de même sexe ; ainsi l’expression « attirance homosexuelle » employée par Blanchard au sujet des pédophiles est une commodité de langage (hélas exploitée par des malveillants qui extraient des propos de leur contexte) et n’implique nullement que ces pédophiles soient des homosexuels au sens usuel (c.-à-d. téléiophiles).

    Par exemple, l’article de Freund & al. déjà mentionnée le montre bien. Il a été procédé à l’expérience consistant à montrer des séries d’images de nudité (hommes, femmes, enfants des deux sexes) à des hommes, et à mesurer leur degré d’excitation grâce à un pléthysmographe pénien.
    Ces test n’ont trouvé aucune corrélation entre « pédophilie homosexuelle » et homosexualité ; du moins pas davantage qu’entre « pédophilie hétérosexuelle » et hétérosexualité.
    “Homosexual males who preferred physically mature partners
    responded no more to male children than heterosexual males who
    preferred physically mature partners responded to female children.”

    De même, quand Clowes utilise des données du John Jay College pour, à l’issue d’un calcul de proportions, affirmer qu’un prêtre homosexuel présente 52 fois plus de risques d’agresser un enfant qu’un prêtre hétérosexuel, on observera que les rédacteurs du JJC se gardent bien d’employer la terminologie trompeuse de Clowes.
    Plutôt que de lire le torchon de Clowes on se référera avec profit directement au rapport du JJC :

    http://www.usccb.org/issues-and-action/child-and-youth-protection/upload/The-Nature-and-Scope-of-Sexual-Abuse-of-Minors-by-Catholic-Priests-and-Deacons-in-the-United-States-1950-2002.pdf

    Et, pour terminer je vous soumettrai à mon tour deux citations de Nicholas Groth, médecin qui a dirigé le “Sex Offender Program” à la prison de Somers (Connecticut), qui a étudié quelques centaines d’agresseurs d’enfants (et non un ancien militaire spécialisé dans la systémique et la propagande religieuse).

    Dans un article où il a examiné 175 cas d’agresseurs d’enfants il écrit ceci :

    “All regressed offenders, whether their victims were male or female
    children, were heterosexual in their adult orientation. There were
    no examples of regression to child victims among peer-oriented,
    homosexual males.
    The possibility emerges that homosexuality and homosexual pedophilia
    may be mutually exclusive and that the adult heterosexual male
    constitutes a greater risk to the underage child than does the adult
    homosexual male.”

    Et aussi :
    “The child offender is a relatively young adult either who has been
    sexually attracted to underage persons almost exclusively in his
    life or who turns to a child as the result of stresses in his adult
    sexual or marital relationships.
    Those offenders who are sexually attracted exclusively to children
    show a slight preference for boys over girls, yet these same
    individuals are uninterested in adult homosexual relationships.
    In fact, they frequently express a strong sexual aversion to adult
    males, reporting that what they find attractive about the immature
    boy are his feminine features and the absence of secondary sexual
    characteristics such as body hair and muscles.”

    http://link.springer.com/article/10.1007/BF01542377

    Moralité : allez directement aux sources, et ne vous fiez pas aux citations tronquées.

  • Riax , 12 novembre 2012 @ 22 h 55 min

    Les motifs pouvant justifier des poursuites judiciaires sont :

    – mise en danger des enfants adoptés par des pseudo parents homosexuels.
    – mise en danger de la famille, fondement de la société ; famille dont le principe, duel et unique (un homme, une femme – un père, une mère), sera légalement nié, autrement dit rendu illégal.
    – mise en danger des homosexuels, notamment la majorité d’entre eux dévaroble au prétendu mariage homosexuel, mais aussi la minorité favorable : tous auront inévitablement à pâtir d’un nouveau motif de rejet ou de défiance par la majorité hétérosexuelle attachée à la famille.
    – mise en danger de la société entière, désormais constituée d’individus ayant à subir au moins l’un des trois préjudices précédemment mentionnés. Bien plus, mise en danger de la société, jusqu’en son principe, la famille.

    Ces motifs forment donc un ensemble pour le moins consistant. Les poursuites judiciaires qu’ils justifient doivent donc être au moins sérieusement envisagées et étudiées, à la différence de l’abrogation qui, quant à elle, ne pourra que s’imposer absolument.

  • Marre des gauchistes , 13 novembre 2012 @ 7 h 02 min

    Ça fait le savant…et ça cite des phrases incomplètes en anglais en accusant les autres de le faire :

    “there must be another reason for the finding that
    the proportion of sex offenders against male children
    among homosexual men is substantially larger than the
    proportion of sex-offenders against female children
    among heterosexual men ”

    than what?????

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