Avec la mise en place d’un réseau d’un millier de villes volontaires, maisons et appartements sont déjà mis à disposition. D’autres logements attendent encore quelques menus travaux de rafraîchissement, aux frais des contribuables il va de soi.
Évidemment, tout cela ne se fait pas à l’aveuglette et Kléber Arhoul, préfet en charge des réfugiés, veille à ce qu’un rural ne soit pas abandonné en milieu urbain et vice versa. Mieux : le MEDEF fait circuler les CV des migrants, afin de s’assurer que ces nouveaux arrivants trouvent au plus vite un emploi.
Efficacité, tel qu’écrit plus haut, mais également générosité. Comme quoi lorsque l’État veut, l’État peut. Simple petite question : pourquoi de tels trésors d’ingéniosité ne sont-ils pas déployés pour de simples Français ? Car en matière de logements sociaux, nous apprend Le Figaro, c’est près de deux millions de nos compatriotes qui sont toujours sur liste d’attente depuis des années… Et encore, on vous épargne d’autres millions, millions de chômeurs, pour lesquels le moins qu’on puisse dire est que le MEDEF ne déploie pas une folle énergie…
Et, toujours pour parler de chiffres, 30 % de ces demandeurs d’asile qui arrivent via l’Allemagne ne seraient même pas syriens ou irakiens, puisque ne parlant pas un traître mot d’arabe. Pour tout arranger, la moitié de ces derniers seraient de jeunes célibataires. Soit des hommes parfaitement capables de prendre les armes pour défendre leur pays.
Comparaison n’est pas raison, mais durant la Seconde Guerre mondiale, les seuls Français ayant fui la France se sont réfugiés en Angleterre. Mais pas pour y profiter des minimas sociaux ou y ouvrir un pub. Tout simplement pour s’engager dans les Forces françaises libres.
On attend donc que le premier de ces réfugiés daigne s’engager dans cette armée française dont les soldats versent leur sang dans des guerres qui ne sont pas forcément les siennes, mais qui sont un peu les leurs, à ces migrants. Il est à craindre qu’on n’ait pas fini d’attendre.