Il y avait une bonne raison de boycotter les Rendez-vous de l’histoire de Blois, mais ce n’était pas celle invoquée par de jeunes gauchistes en mal de publicité. Cette bonne raison, c’est que les rendez-vous de l’histoire de Blois reçoivent, une fois de plus, toute la gauche, rien que la gauche, incarnant ainsi parfaitement le sectarisme de cette nébuleuse politique, et comptant dans ses rangs tant d’anciens pédophiles, négationnistes, racistes et antisémites (entre autres).
« Si l’on peut douter de l’existence des chambres à gaz, c’est qu’elle ne tient que sur des récits de témoins (aveux, mémoires, témoignages aux procès) et que ces récits sont contradictoires en eux-mêmes et entre eux, comme je l’ai montré à propos de Kremer ».
Savez-vous à qui on doit cette formidable prose ? A Gabriel Cohn-Bendit, invité des Rendez-vous de l’histoire de Blois le vendredi 10 octobre 2014. La source : L’intolérable intolérance, Question de principe, publié aux éditions de la Différence en 1981. Et savez-vous à qui on doit celle-ci ?
« Il m’était arrivé plusieurs fois que certains gosses ouvrent ma braguette et commencent à me chatouiller. Je réagissais de manière différente selon les circonstances, mais leur désir me posait un problème. Je leur demandais : ‘Pourquoi ne jouez-vous pas ensemble, pourquoi m’avez-vous choisi, moi, et pas d’autres gosses ?’ Mais s’ils insistaient, je les caressais quand même”. “J’avais besoin d’être inconditionnellement accepté par eux. Je voulais que les gosses aient envie de moi, et je faisais tout pour qu’ils dépendent de moi. »
A Daniel Cohn-Bendit, dans “Le Grand Bazar”, publié en 1975 chez Belfond. Ah oui, j’ai oublié de vous dire que ce charmant ex-pédophile est également invité des Rendez-vous de l’histoire de Blois le vendredi 10 octobre 2014, pendant la même conférence que son frère. Il avait été déjà l’invité en 2008 et avait pu s’exprimer devant des centaines de personnes. Lire la suite sur Enquête et Débat !
4 Comments
Comments are closed.