Puy-de-Dôme : 12 boulangers poursuivis par la CGT pour avoir trop travaillés

Nos brèves

Eric Martin
7 septembre 2016
Latest Update: 7 septembre 2016 16 h 23 min
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La CGT souhaite poursuivre 12 boulangeries car elles ont fait le choix d’ouvrir 7 jours sur 7. Et certains de ces artisans ne comprennent pas pourquoi : “C’est aberrant, explique l’un d’eux, nous on pense à travailler et il y a des personnes en France qui pensent à empêcher les personnes de travailler”. Et la clientèle partage elle aussi cette incompréhension : “S’ils ont envie de travailler, il faut comme ils veulent, non ?”

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Marcus , 7 septembre 2016 @ 17 h 49 min
“Militer plus pour voler plus” : voici la vraie devise de la CGT.
Le syndicat le plus caricatural et le plus déconnecté des réalités du travail, mais aussi le plus riche : subventions maxi d’argent public, malgré le nombre toujours en baisse d’adhérents, et 1% des recettes de l’EDF versé à la CGT depuis environ 40 ans.
La CGT fait partie des 5 plus grandes fortunes de France.
J’ajouterai que c’est l’organisation malfaisante qui a détruit le plus d’emplois en France, notamment les chantiers navals de La Ciotat, pour prendre un exemple que j’ai vécu moi-même.
Je finirai par une phrase méchante mais que je pense vraiment : pour faire partie de la CGT avec tout ce que l’on sait de nos jours, il faut être soit un profiteur du système, soit un idiot utile dénué de cerveau…
batman15 , 7 septembre 2016 @ 17 h 59 min
mais d’où, un syndicat peut faire la loi. Il faut que ces boulangers se mettent ensemble, prennent un bon avocat et déposent plainte contre la cgt pour abus de pouvoir, tout en demandant force dommages et intérêts. il FAUT ABSOLUMENT S’AFFRANCHIR DE CE CANCER, DE CETTE SALOPERIE QU’EST LA cgt
servoir , 7 septembre 2016 @ 18 h 10 min
Ce qui est dommage c’est que le syndicat n’est pas pu s’exprimer dans le reportage… parti prit de TF1 assez limite ! mais bon, on sait pour qui il roule.

En réalité c’est simplement l’application d’un accord signé avec les organisations patronales sur le département. Et l’employeur interviewé est certainement un très bon financier mais n’a pas grand chose à voir avec un petit artisan qui eux ferment un jour par semaine car ils n’ont pas le choix.

La CGT a donc bien raison de faire respecter la loi !
HuGo , 7 septembre 2016 @ 18 h 22 min
détruire les emplois, profiter du système,….c’est pas un syndicat de défense des conditions du travail !
Peuvent-ils se permettre de faire la loi contre les indépendants ?
yves Tarantik , 7 septembre 2016 @ 18 h 26 min
La CGT veut simplement nous rappeler qu’elle à toujours été un repère de bons à rien, destructeurs d’emplois !
Karella , 7 septembre 2016 @ 19 h 48 min
Bah non, travailler 7/7, c’est débile, dangereux et triste. Bravo la Cgt.
On commence par ce genre d’initiatives et on termine par la généralisation du travail sans arrêt
borphi , 7 septembre 2016 @ 20 h 57 min
La fermeture obligatoire d’une journée par semaine des boulangerie-Pâtisseries a été réclamée jadis par les artisans indépendants eux-mêmes afin de pouvoir appliquer les nouvelles lois sociales de repos hebdomadaire et aussi de préserver une concurrence loyale entre professionnels.
Les syndicats de la boulangerie-pâtisserie avaient en leur temps demandé aux législateurs de prendre toutes dispositions à cet effet.
Idem de la fermeture annuelle qui consistait dans sa pratique à se renvoyer , entre professionnels , les clients tout bien tout honneur.
Alors oui aujourd’hui des blaireaux nous font croire que travailler 7/7 et 12/12 crée des emplois ,ce qui est faux .
Et il est même constaté que ce délire libéral déglingue davantage les familles et la santé des professionnels qui s’y soumettent.