Un prêtre catholique encense des imams dans une église de Rome !

 

On aurait pu croire que l’assassinat, dans son église, du Père Jacques Hamel allait ouvrir les yeux des autorités ecclésiales sur la dangerosité d’une religion dont l’impérialisme est fondée sur le djihad, c’est-à-dire la guerre de conquête par le couteau et la soumission sans conditions.

On aurait été en droit d’attendre de nos pasteurs, français comme romains, une nette dénonciation des dérives interreligieuses issues du Concile Vatican II.

On pouvait espérer que devant les souffrances des chrétiens d’Orient le Pape allait, au moins, compatir et reconnaitre l’impasse, pour ne pas dire la terrible erreur, de Nostra Aetate !

Au lieu de ces signes d’espérance, nous avons eu droit à des imams invités à assister à des messes catholiques, à des prêtres béats encensant des mahométans méprisants, à un Souverain Pontife déclarant “si je parle de violence islamique, je dois parler de violence catholique.” Et, de conclure par cette affirmation qui a horrifié les chrétiens d’Orient qui sont massacrés comme du bétail : “Je crois qu’il n’est pas juste d’identifier l’islam avec la violence, ce n’est pas juste et ce n’est pas vrai. J’ai eu un long dialogue avec le grand iman de l’université Al-Azhar et je sais ce qu’ils pensent. Ils cherchent la paix, la rencontre.”

« Malheureux, ces gens qui déclarent bien ce qui est mal, et mal ce qui est bien, qui font des ténèbres la lumière et de la lumière les ténèbres, qui rendent amer ce qui est doux et doux ce qui est amer ! » (Isaïe, 5, 20).

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