Négociations autour de la Loi Travail : aucun des acteurs en présence n’a travaillé en entreprise…

Négociations Loi Travail : aucun des acteurs en présence n'a travaillé en entreprise

Posted by Aurelien Veron on Wednesday, April 6, 2016

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13 Comments

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  • Marino , 7 avril 2016 @ 14 h 11 min

    Loi travail : à qui profite le crime ?

    Le projet de loi de la Ministre portant sur la refonte du code du travail est, si l’on en croit nombre de ses détracteurs, sinon une dérégulation totale du droit du travail du moins une remise en cause évidente de l’équilibre fragile des rapports sociaux dans l’entreprise.

    Notamment par cette détermination affichée d’inverser la hiérarchie des normes régissant les relations professionnelles.

    Cette inversion se caractériserait, si le projet de loi était voté, par le rôle central donnée à l’entreprise dans la création de ses propres normes sociales indépendamment de celles édictées par la branche professionnelle dont elle relève … et de celles élaborées par le législateur.

    Le code du travail, ainsi rénové, devrait, d’après ce projet, s’articuler autour de trois axes.

    D’abord, celui de la loi dont on peut penser que les 61 principes essentiels et « aseptisés » issus des travaux de la commission Badinter formeront vraisemblablement l’ensemble de l’ordre public social s’imposant à tous.

    Puis, celui de l’ordre public conventionnel qui se réfèrera aux accords collectifs de branches ou d’entreprises.

    Et enfin, celui des dispositions supplétives, normes élaborées par le législateur qui, à défaut d’accords collectifs de branches ou d’entreprises, s’appliqueront aux entreprises.

    Si l’idée de modifier le code du travail pour en simplifier l’usage et en réduire l’épaisseur est la priorité du gouvernement, on peut raisonnablement s’interroger sur la pertinence et l’efficacité d’un tel édifice.

    Pour autant, avant de comprendre les raisons d’un tel acharnement contre le code du travail et d’identifier ces acteurs qui réclament ardemment le droit d’écrire leur propre permis de licencier, il convient au préalable de s’interroger sur deux points :

    • Renforcer la décentralisation de la négociation d’entreprise est-ce une idée nouvelle du législateur ou la réaffirmation d’une volonté politique constante ?

    • Le patronat, porteur de cette démarche, est-il convaincu de l’adhésion des entreprises à une telle disposition ?

  • berserk , 7 avril 2016 @ 18 h 28 min

    en tout cas chacun est prêt à utiliser son smart phone

  • Gisèle , 7 avril 2016 @ 23 h 07 min

    Des gesticulations pour amuser le peuple, pendant que le scénario du destin terrible de la France se tisse inexorablement .
    Réveillons nous, pendant qu’il en est encore temps .
    Les veilleurs debout, eux, dorment debout, hypnotisés qu’ils sont par l’extrême gauche .

  • DAUGENN , 8 avril 2016 @ 1 h 56 min

    Donc l’entreprise qu’il faut réduire à son plus commun dénominateur : l’intérêt commercial des investisseurs dans l’âpreté au gain va comme sous Zola faire sa loi sur la subordination sans aucun arbitrage extérieur.

    Sans aucun glaive l’obligeant à une éthique et la nécéssaire occupation du bien être de ses sujets comme tous bon prince qui se respecterait ……devant dieu .

    Son maître qui lui à donné les principes de vie .. Le cervage, ou l’esclavage salariale est donc réinventé avec en plus la sentiment de précarité que n’avaient pas les esclaves appartenant à un maître qui les faisaient comme part de lui. même cheptel ou patrimoine. Ils étaient sous une responsabilité et sous le regard et le jugement de dieu observant le maître et ses sujets .

    De la l’expression “a tous seigneur tout honneur” qui n’a rien à voir avec la flatteries de privilégiés mais des devoirs liés aux privilèges …..

    Les privilèges donnant charge devant dieu et c’est ainsi que les projets de donner une meilleur vie, de meilleurs moissons assèchement des marais et réduction des “fièvres ” envoyait duc et barons de province à la cour chercher moyens pour le royaume que les courtisans corrompus , jouisseurs et sots avilissaient …..la révolution en à raccourcis quelque s’ un qui s’en plaindrait ?.
    Donc le capitalisme par le truchement de l’entreprise, alibi grotesque et grandiose à réussi à faire des esclaves de salariés assujettis qui se pensent libres organisent eux même leur misère jusque dans la révolte libérale qui en France est organisé pour réduire les velléitaires ‘l’auto entrepreneuriat’…. liberté liberté chérie LOL . Les lois pour le travail sont bine les lois pour le passage au “tripalium” livrées à eux mêmes et l’on se projette directement dans un futur en boucle de 350 années en arrière ” l’avance en boomerang” avec la différence que le seigneur et les rois il y à 350 ans étaient sérieusement comptables devant dieu de la santé l’intégrité la prospérité du peuple ou des servants ….. d’ou les magasins du roi puis de l’état et l’interdiction de spéculer sure le blé le pain et les denrées de base en empêchant les marchands d’acheter des stocks au marché du village ou des villes recevant la production de plusieurs centaines de village , etc et avant la population et ainsi de créer la rareté en achetant autre chose que les surplus ….. de même manière qu’il à été possible de spéculer durant les trente glorieuses uniquement avec les surplus de économie et non pas les moyens de la populations puis ses besoins en hypothèse il à fallu le travail de ce cher Necker qui à permis d’organiser la manipulation des prix par la rareté et l’organisation de la misère des humbles qui à débouché immédiatement la révolution à succédé faute de pain dans paris ..ALLONS NOUS DEVOIR REPRENDRE LA LUTTE A CET ENDROIT ou l’entreprise devient une mauvaise seigneurie qui ne rend compte à dieu de la joie des âmes en responsabilité.
    Nuit debout réagissons a cette absolu crétinisme politique rétrograde … le progrés est bien la paix de trous avec tous et pour cela il faut bien être économiquement autonome ce que le système abhorre car il aime les dépendants ….CQFD.

  • DAUGENN , 8 avril 2016 @ 2 h 00 min

    Donc l’entreprise qu’il faut réduire à son plus commun dénominateur : l’intérêt commercial des investisseurs dans l’âpreté au gain va comme sous Zola faire sa loi sur la subordination sans aucun arbitrage extérieur.

    Sans aucun glaive l’obligeant à une éthique et la nécéssaire occupation du bien être de ses sujets comme tous bon prince qui se respecterait ……devant dieu .

    Son maître qui lui à donné les principes de vie .. Le cervage, ou l’esclavage salariale est donc réinventé avec en plus la sentiment de précarité que n’avaient pas les esclaves appartenant à un maître qui les faisaient comme part de lui. même cheptel ou patrimoine. Ils étaient sous une responsabilité et sous le regard et le jugement de dieu observant le maître et ses sujets .

    De la l’expression “a tous seigneur tout honneur” qui n’a rien à voir avec la flatteries de privilégiés mais des devoirs liés aux privilèges …..

    Les privilèges donnant charge devant dieu et c’est ainsi que les projets de donner une meilleur vie, de meilleurs moissons assèchement des marais et réduction des “fièvres ” envoyait duc et barons de province à la cour chercher moyens pour le royaume que les courtisans corrompus , jouisseurs et sots avilissaient …..la révolution en à raccourcis quelque s’ un qui s’en plaindrait ?.
    Donc le capitalisme par le truchement de l’entreprise, alibi grotesque et grandiose à réussi à faire des esclaves de salariés assujettis qui se pensent libres organisent eux même leur misère jusque dans la révolte libérale qui en France est organisé pour réduire les velléitaires ‘l’auto entrepreneuriat’…. liberté liberté chérie LOL . Les lois pour le travail sont bine les lois pour le passage au “tripalium” livrées à eux mêmes et l’on se projette directement dans un futur en boucle de 350 années en arrière ” l’avance en boomerang” avec la différence que le seigneur et les rois il y à 350 ans étaient sérieusement comptables devant dieu de la santé l’intégrité la prospérité du peuple ou des servants ….. d’ou les magasins du roi puis de l’état et l’interdiction de spéculer sure le blé le pain et les denrées de base en empêchant les marchands d’acheter des stocks au marché du village ou des villes recevant la production de plusieurs centaines de village , etc et avant la population et ainsi de créer la rareté en achetant autre chose que les surplus ….. de même manière qu’il à été possible de spéculer durant les trente glorieuses uniquement avec les surplus de économie et non pas les moyens de la populations puis ses besoins en hypothèse il à fallu le travail de ce cher Necker qui à permis d’organiser la manipulation des prix par la rareté et l’organisation de la misère des humbles qui à débouché immédiatement la révolution à succédé faute de pain dans paris ..ALLONS NOUS DEVOIR REPRENDRE LA LUTTE A CET ENDROIT ou l’entreprise devient une mauvaise seigneurie qui ne rend compte à dieu de la joie des âmes en responsabilité.
    Nuit debout: réagissons à cette absolu crétinisme politique, rétrograde. … Le progrés est bien la paix de tous avec tous et pour cela il faut bien être économiquement autonome ,ce que le système abhorre, car il aime les dépendants ….CQFD.

  • DAUGENN , 8 avril 2016 @ 2 h 13 min

    JE SOUHAITERAIS PRECISER QUE JE NE SUIS PAS :Royaliste ni Catholique pratiquant ou intégriste mais ai écouté attentivement mme Sigaud Qui nous a donné à comprendre ce que morale du pouvoir et éthique signifiait du devoir des princes envers les humbles qui n’était pas charité…. mais équité . Que les valeurs de la foi chrétienne entre les hommes pour le commerce me semblent une opportunité qui peut faire une monde meilleur et plus juste et n’es absolument pas désuet.
    la démocratie donnant lieu a la république des ronds de cuir et des énarques ne vaut pas mieux que celle des juges ayant achetés leurs charge sous l’ancien régime.

    la corruption est avide de nouvelle formes pour se travestir l’ ENA L’élection majoritaire, le privilèges de charge et la haute administration sont biens les nouveaux fléaux de la démocratie manipulée par l’argent des coteries entrepreneuriales .

  • Boutté , 8 avril 2016 @ 7 h 26 min

    Il en va de ce Code comme de la guerre. Inéluctable de réformer l’un et d’entreprendre l’autre. Mais dans les deux cas ceci va finir, comme toujours avec Hollande, par un vague compromis qui ne règlera nul problème. C’est grave pour le Code mais c’est dramatique pour la guerre dont on n’a pas même défini l’ennemi, car pourquoi améliorer un texte hyperconfus si nous venons à disparaître ?

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