La ministre de la Culture et de la Communication est revenue sur le conflit social créé par Radio France depuis bientôt trois semaines. Mais la fashionista socialiste s’est mise à discriminer les radios publiques et privées. “Quand on écoute France Inter, on n’écoute pas RTL”, a-t-elle sottement lâché, en spécialiste socialiste de la fracture sociale. Malgré tout le respect que j’ai pour RTL ou Europe 1, il y a une mission spécifique de décryptage de l’information, d’accès à la culture,” a-t-elle estimé, étalant les préjugés sectaires de cette gauche de la détestation. S’agissant de culture, la pauvrette qui ne lit pas Patrick Modiano, prix Nobel français de littérature, n’a toujours pas réussi à faire le tour de son indigence personnelle.
Les journalistes insultés des stations concernées n’ont pas tardé à dire leur façon de penser à la futile “fashion victim” illettrée. Considérant sa stigmatisation active des radios privées, d’un côté, et sa passivité, de l’autre, face à la gestion irresponsable des attentats meurtriers des djihadistes français contre l’hyper-casher de la Porte de Vincennes à Paris, le 9 janvier dernier, par BFMTV qui a mis la vie des otages en danger, au calme du studio, l’énarque par protection de la République de la parité et de la diversité a-t-elle atteint son seuil d’incompétence ?