Vous ne le savez que trop, on ne choisit pas chez qui naître.
Un mauvais hasard m’a conduit chez ces gens là…
Je ne vous dirais pas de qui il s’agit ni qui je suis.
Quand celui de mes parents est mort, dès le lendemain , c’était dans le Figaro (avec force détails?!) et partout ailleurs, évidemment, y compris la presse étrangère… je ne l’ai pas su tout de suite mais… Toutes les télés étaient brutalement tombées en panne… et pressentant un truc très grave, au nom de l’amitié, j’ai “torturé” quelques petits camarades, jusqu’à ce qu’ils m’avouent ce que la France savait et que l’on m’avait caché.
Quand on souffre, en général, on en parle peu ou pas .
Quand la presse et la notoriété ravivent la douleur, c’est un peu plus difficile…
Il suffit de ne pas lire, de ne plus lire.
Si je témoigne, alors que je me suis tu pendant si longtemps, c’est par rapport au cirque fait sur la notoriété, les problèmes engendrés… etc.
Ce ne sont que des bobards!
Mon parent survivant ne m’a absolument pas protégé, profitant de la notoriété du conjoint disparu… pour lancer sa carrière.
J’avais beaucoup souffert dans les lieux publics de voir ce parent connu qui, sincèrement, de temps en temps… voulait s’occuper de moi, m’acheter une glace… être happé par son fan club,
J’en ai piqué des crises de rage et de jalousie… contre toutes ces nanas qui envahissaient nos rares vacances ensemble.
J’ai été élevé normalement, très confortablement car j’appartenais par ailleurs à une famille aisée de province, donc ne nécessitant pas le fric “de la gloire”.
La gouvernante ne leur suffisait plus…
Mes parents, pour mieux festoyer à Paris, m’avaient confié à eux , ouf pour eux et ouf pour moi, merci à mes grands parents!
Je ne veux pas vous abreuver de ma vie.
Tout ce que je souhaite dire: c’est quand on le veut, on se planque, par divers moyens, très simples.
La notoriété n’ayant qu’un temps, rapidement, on est tranquille.
Certains enfants de gens connus, faute d’être eux, en font un fond de commerce et le font perdurer.
Je suis moi et moi je suis!
Rassurez-vous nul me poursuit, nul ne sait, ou à peu près, etc.
Alors quand les enfants de gens célèbres se plaignent: rigolez!
NB J’ai choisi de publier cet article en exclusivité sur Délit d’images car je fais confiance à leur discrétion, que c’est le seul site un peu diversifié, pas politiquement obsédé, même si politiquement et catholiquement très clair et puis, parce qu’ils sont très pro, très ouverts et très marrants. dites le à vos copains. Ils ont pour base line “Délit d’images, il faut le voir pour le croire!” et c’est vrai!