Justice : le meurtrier d’enfant Patrick Henri bientôt en liberté

9 Comments

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  Bjam , 8 janvier 2016 @ 20 h 43 min

  Ça fait plaisir de lire cela, elle n’aura sans doute aucune réponse, mais ce serait bien que les Français connaissent sa question déjà, je me demande combien d’entre nous savent ce qui se passe dans ces contrées lointaines… qui se rapprochent… financièrement entre autre…
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  Veugeur, ,justicier, , 9 janvier 2016 @ 14 h 20 min

  Cet homme qui a assassiné un enfant de 7 ans, et qui a sauvé sa tête grâce à son avocat de l’époque, Me BADINTER, était sorti de prison il y a quelques années : dès sa sortie il est retombé dans la délinquance, en faisant du trafic de drogue : il avait été reconnu et arrêté par les douaniers, à un péage d’autoroute du sud de la France, où il venait d’Espagne, sa voiture chargée de Haschisch de contrebande. Il avait aussitôt été renvoyé en prison, pour un nouveau jugement, du côté de Louviers, d’où il est à nouveau libérable, après 40 ans de prison, où il n’a pas dû s’améliorer !!! Il ne doit pas être libéré, par mansuétude aveugle, et rester en prison jusqu’à sa mort, comme l’assassin d’enfant de Fausse repose, qui avait assassiné un enfant de 7 ans. Le père de l’enfant avait dit à l’époque, que si l’assassin de son fils, LUCIEN LEGER, sortait de prison avant sa mort, il irait lui-même faire justice, et le liquider. Ce Lucien Léger, est mort en prison, il y a quelques années, comme le père de l’enfant assassiné, donc éteignant le vengeance judiciaire. Ces 2 assassins d’enfant méritaient la guillotine, dont ils ont été sauvés par leurs avocats de l’époque, pour leur donner une seconde chance de se repentir et de se racheter en prison. Mais force est de constater que pour Patrick HENRY, il ne doit pas y avoir de remise en liberté, car lors d’une précédente tentative de remise en liberté, il y a 5 ou 6 ans, il avait aussitôt recommencé un trafic de drogue : les juges avaient dit à l’époque, “qu’il avait un problème psychologique” de “rapport à l’argent” !!! : la guillotine, point final. Pour l’affaire Philippe Bertrand de Troyes, alors que le corps de l’enfant assassiné était caché sous le lit de sa chambre d’hôtel, il s’était fait remarquer dans la foule, au premier rang, pour réclamer que justice soit faite pour l’assassin, alors que c’était lui, ce qui avait conduit à son arrestation.

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