L’étrange transformation de la cellule de Nelson Mandela qui, après sa libération, devient de plus en plus dépouillée…

Les photos d’archives montrent une table, une étagère, un pot de fleurs, de nombreux livres (Mandela a étudié par correspondance), une grande photo de sa femme…

Petit à petit, au fil des années, la table, l’étagère, le lit, tout disparaît, il ne reste plus qu’un matelas, affirme ce site afrikaner, photos à l’appui. Pour renforcer le mythe Mandela ?

La cellule de Mandela avant :

La cellule de Mandela après :

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  • Eurydice , 9 décembre 2013 @ 23 h 41 min

    Israël n’a rien à voir dans ce cirque. D’ailleurs, Netanyahu n’ira pas au Barnum des chefs d’états , accompagnés, c’est la nouvelle mode, par leurs prédécesseurs. Jadis, les grandes dames avaient des suivantes…Les raisons économiques invoquées ne manquent pas de sens, même si elles ne sont pas exhaustives. En effet, quel gaspillage, en des temps “dits” de crise! Vive Israël, et pour mille raisons!
    Et les peuples de crier “Générosité! Symbole d’unité!” “Que nenni!” répondront ceux qui savent: Mandela fut aussi le fondateur du club des “Elders” (les aînés) un Conseil Supérieur de la Manigance Souterraine Globale, c’est à dire de l’ingérence scélérate dans les affaires de tous les pays du monde, et où siège une cohorte “d’Ex”.
    C’est lui qui ordonna à son actuelle veuve, qui fut aussi celle du dictateur communiste du Mozambique , Samora Machel, d’en inviter le plus grand nombre possible à ses obsèques , afin qu’ils puissent continuer à nouer des contacts pour de futures conférences chèrement rémunérées à travers le monde. Mandela mourut en tant que membre honoraire dudit grand conseil.
    Même un Sarkozy, qui, malgré tous ses toussotements et tentatives de se faire vomir, ne parvient pas à se défaire de la phrase, écrite pour lui par Claude Guéant “L’homme noir n’est pas encore entré dans l’Histoire.” sera de la parade. Sous le sourire narquois de Hollande.
    Tout de même! En faisant abstraction du grand Menteur-en Chef des Etats-Unis, arrivé au pouvoir grâce à des entourloupes, tricheries, cachoteries, plagiats et autres coups de fesses (quand, par exemple, il essaie de gravir la passerelle de son avion officiel à la manière de Betty Grable ou Marilyn Monroe allant encourager les soldats en Corée!), il y eut, pêle-mêle, Martin Luther King, les Ménélik I, II, et III, Haïlé Sélassié, Aline Sitoé, les pharaons noirs des vingt-quatre dynasties qui régnèrent sur l’Egypte avant l’arrivée des Ramsès, Toutmès, Cléopâtre et autres Ptolémée, les souverains des grands empires du Mali et du Ghana (Attention! Pas les roitelets trafiquants d’esclaves à leurs heures, du genre des Béhenzin du Dahomey!), etc…
    Jusqu’à Alexandre Puschkine, petit-fils d’un esclave africain affranchi par Pierre Le Grand, qui le fit étudier et devenir l’un des plus brillants ingénieurs de ses chantiers navals. Passons…
    Las! La famille et les camarades de parti du communiste Mandela, devenu jet-setter” sur le tard ( Ah! Que de vacances et week-ends dans des villas de milliardaires de tous les coins de la planète, avant que la maladie ne le clouât au lit!) rêvent de battre le record des funérailles du maréchal Tito. Dur, dur! Il y manquera la traversée de l’Afrique du Sud dans un train de la ligne Benguela. Souvenez-vous également de la dernière Coupe du Monde de football en Afrique du Sud, où on le promena autour du stade majeur en jeep, emmitouflé dans un manteau d’ours et coiffé d’une chapka du même poil: on eût dit Ceaucescu!

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