Philippe Verdier : mon licenciement de France 2 “est une discrimination passible du pénal”

15 Comments

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  paul63 , 7 novembre 2015 @ 10 h 33 min

  Je ne suis pas surpris car une semaine avant ce fameux onze janvier où ils étaient tous “Charlie”, Mrs Valls et Caseneuve affirmaient sur les ondes que Mr Eric Zemmour ne pouvait plus faire les plateaux de télévision et l’émission que je suivais depuis dix ans sur itélé “ça se dispute” a été supprimée.
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  penelope , 7 novembre 2015 @ 11 h 54 min

  encore une fois de plus que pour travailler dans le public,il faut savoir caresser dans le sens du poil et lécher les bottes;la liberté de parole de janvier,stupidité;certains peuvent dire et faire ce qu’ils veulent,surtout si on ne comprend pas leurs langages;ce monsieur n’est pas le premier à mettre en doute le réchauffement de la planète,d’autres l’ont dit avant lui et le disent toujours;de tout temps il y a eue des variations de climat touchant une partie de la planète om une autres;le Groëland verdoyant à une période de l’histoire,est devenu un bloc de glace;oui,il y a pollutions de l’air,est cela est normal ,vu les avancées techniques en tout;plus d’autos,de téléviseurs,appareils électro ménagers etc…Au temps où les ménagères lavaient au bassin avec du savon de Marseille et faisait sécher leur linge au soleil et non au sèche-linge,cela était différent;les fusées,les satellites et autres n’étaient pas envoyés dans l’athmosphère avec leur tonnes de métaux,matériel électronique où des carburants;il se peut que nous payons le modernisme,mais dans ce cas pourquoi culpabiliser la population;et en revenant à ce monsieur,ne pas lui permettre de donner son avis,tout simplement.
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  zézé , 7 novembre 2015 @ 15 h 07 min

  D’accord avec votre commentaire.. seulement cela c’était avant ! quand la justice était juste. Je n’en dirai pas autant aujourd’hui.
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  Marino , 7 novembre 2015 @ 15 h 48 min

  Verdier, climatosceptique malgré lui

  « Je me suis mis sur la route de la COP21, qui est un bulldozer, voilà le résultat »

  Philippe Verdier, chef du service météo de France Télévisions, découvre le blacklistage suite à la sortie de son livre Climat Investigation.

  Très critique vis-à-vis du traitement réservé au réchauffement climatique, tant par le GIEC (Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat) que par les médias et les politiques, le livre sorti le 1er octobre dérange, à deux mois de la COP21, la conférence internationale sur le climat devant se tenir cette année à Paris

  À quoi donc aura servi le petit déjeuner de travail organisé par Laurent Fabius au Quai d’Orsay le 3 juin 2014 ? Presque tous les présentateurs météo avaient été conviés pour écouter le ministre chargé malgré lui de faire de cette COP21 un succès. 500 jours ! avait martelé M. Fabius, 500 jours avant la COP21, pour trouver un accord international et éviter ainsi le « chaos climatique », expression forte qu’il souhaitait mettre en avant. Certes, pour souligner l’importance du message auprès du public, on savait que l’on pouvait compter sur Évelyne Dhéliat, madame « c’est bon pour la planète ». Mais on ignorait que Philippe Verdier, déjà chef du service météo de France Télévisions, portait, sur ce qu’il faut bien appeler une mascarade, un regard sévère car lucide. Cette réunion allait marquer un tournant.

  S’il peut laisser sur sa faim un connaisseur dissident du « réchauffement climatique anthropique », le livre met tout de même les pieds dans le plat sur un certain nombre de points du dossier et attaque sans détour « des scientifiques manipulés » (ou manipulateurs, comme Jean Jouzel), « des ONG mercantiles »

  Ainsi peut-on lire page 43 :

  « L’information climatique de référence est aujourd’hui complètement verrouillée par les gouvernements » ;

  Les coups bas n’ont pas manqué, puisqu’il lui a fallu aussi se défendre d’avoir publié son livre chez Ring, éditeur que Vincent Coquaz, journaliste à Arrêt sur images, au prétexte que Laurent Obertone en est un auteur phare, a classé à l’extrême droite. Certains connaissent les mots-clés censés déclencher les réflexes pavloviens mettant le cerveau en arrêt immédiat. Au bien nommé Petit Journal, face à un Yann Barthès lui faisant ce reproche, Philippe Verdier s’est défendu en expliquant qu’il est lui-même issu d’une famille juive et en rappelant qu’il est gay, ce qu’il avait déjà dévoilé en 2013.
  À malin, malin et demi ?

  Une chose est certaine, il n’y va pas avec le dos de la cuillere, et l’on comprend l’irritation du chef de l’État et de son gouvernement, dont le storytelling autour de la énième chance de sauver la planète est quelque peu écorné.

  Mais, qu’elle émane de ces gens ou de la seule hiérarchie de France Télévisions, sa mise à pied tend à prouver que ses propos ne sont pas si outranciers et que l’on a affaire à un dogme, qu’il est risqué de critiquer, même superficiellement.
  « Je me suis mis sur la route de la COP21, qui est un bulldozer, voilà le résultat », témoigne l’auteur : son livre – Climat Investigation-
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  Pierre , 7 novembre 2015 @ 16 h 12 min

  S’il va au pénal, tout dépendra des juges, si ce sont les juges du syndicat politique connu, il est bon pour le chômage.
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  Le royaliste , 7 novembre 2015 @ 20 h 07 min

  Mieux que la Social(iste) Démoncratie : Nationale Socialiste
  Démoncratie …..
  Cela ne vous rappelle rien?….
  NSDAP…….Adolph H……Nazis…
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  duroc , 8 novembre 2015 @ 0 h 45 min

  J’y compte bien … haut et court !

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