Les poissons préfèrent les eaux chaudes de la centrale de Gravelines #COP21

Triste nouvelle pour le GIEC qui nous raconte que les poissons des côtes françaises souffrent (ou vont souffrir) du réchauffement climatique, les bars n’en font qu’à leur tête et pullulent dans les eaux chaudes du système de refroidissement de la centrale de Gravelines. Il y en a tellement que certains ont organisé un trafic de poissons…

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11 Comments

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  • von Reisner , 6 novembre 2015 @ 17 h 26 min

    ça alors ! Si même la Nature refuse d’obéir aux écolos-pollueurs, où va-t-on ?

  • tonio , 6 novembre 2015 @ 17 h 34 min

    si le bar d’uranium devient comestible c’est d’une profonde gravitude très contrariante pour Ecolène Royal, on leur fera payer aussi une écotaxe s’ils continuent à pulluler dans l’océan de COP21, ça financera le champ et les petits fours de Hollande

  • Balfy , 6 novembre 2015 @ 18 h 50 min

    Ça devient dangereux de sortir avec une canne à pêche en France ! On risque trois ans de prison ! La France socialiste pays des libertés surveillées !

  • ranguin , 7 novembre 2015 @ 7 h 38 min

    Le GIEC contrarié ? Ségolène dans les choux, les verts plus vert que vert de rage.
    Je jubile !!!!

  • titiz45 , 7 novembre 2015 @ 8 h 30 min

    Mais alors notre ami Verdier a peut être raison ????

  • nauticat , 7 novembre 2015 @ 11 h 55 min

    bonjour ranguin, tout un chacun sait pertinemment que ce GIEC n’est qu’un ramassis de pseudos savants aux ordres de la pire espèce de politiciens que nous n’ayons jamais eût ! Pêcheur occasionnel en plaisance (à la voile ) je ne prends qu’à la traine ,ce qui veut bien mordre . Que les Bars apprécient l’eau plus chaude n’a rien d’étonnant ,comme ils apprécient les endroits mal pavés et à fort courant ,où je n’irais certes pas risquer mon bateau ,nullement fait pour ça !

  • Marino , 7 novembre 2015 @ 15 h 38 min

    Le GIEC, un organisme politique

    Le Sud-Coréen Hoesung Lee, économiste, prend la tête du “groupe d’experts” sur le climat

    Ismael Abdel Rahim El Gizouli passe la main.

    Cet inconnu du grand public était, depuis le 24 février dernier, le président par intérim du Groupe d’experts international sur l’évolution du climat (GIEC), suite à la démission forcée du fantasque Rajendra K. Pachauri, ingénieur des chemins de fer et docteur en économie, un peu trop trousseur de jupons pour ne pas se faire rattraper par la justice de son pays.

    C’est désormais le Sud-Coréen Hoesung Lee qui incarnera les meilleurs climatologues du monde, comme la presse aime à nous présenter le GIEC. Elle ne manquera probablement pas de nous dire qu’il est l’un d’entre eux.

    Le GIEC est une grosse machine. Les élections s’étant récemment déroulées à Dubrovnik (Croatie), lors de sa 42e assemblée, ont conduit au renouvellement ou à la promotion des nombreux membres de son bureau.

    Il n’y a qu’à voir les nationalités variées des membres du bureau pour comprendre que sa composition est avant tout politique. L’élection est le fruit des décisions gouvernementales. La nouvelle présidence du GIEC est donc le résultat d’une négociation politique, dont les tenants et les aboutissants ne sont pas divulgués, le vote étant tenu secret.

    Il s’agira, pour le nouveau président, en vue du sixième rapport d’évaluation qui sera remis d’ici cinq à sept ans, de définir les grandes orientations du travail des « experts ». Le président a par ailleurs un rôle de représentation, auprès de la société civile et notamment des médias, mais aussi un rôle d’intermédiaire auprès des politiques, auxquels il doit sa place.

    Au moins les choses sont-elles claires. Hoesung Lee, qui, en tant que vice-président du GIEC, s’occupait notamment du comité sur les conflits d’intérêt, explique que le fonctionnement de cet organisme onusien sera d’autant plus pertinent et d’une plus grande neutralité si ceux qui ont réellement le pouvoir prennent part ouvertement à son fonctionnement. En résumé, le greenwashing, l’idéologie du GGGI, entre officiellement au GIEC. Il y avait en effet de quoi rassurer les gouvernements qui l’ont élu.

    L’élection d’un économiste en dit long sur ce qui pourrait être le but premier du GIEC, ou du moins en est une conséquence directe et première.

    L’ONU, présidé par un autre Sud-Coréen, annonçait récemment que, pour éradiquer la pauvreté tout en luttant contre le réchauffement climatique, il faudra dépenser au moins 3 500 milliards de dollars par an durant les quinze prochaines années. Soit, annuellement, plus que le PIB de la France. Ce programme, nommé « Transformer notre monde, programme de développement durable d’ici 2030 » a été adopté durant l’été. À cette fin, les pays membre se sont accordés sur l’importance d’un accord ambitieux (mais très incertain) lors de la prochaine conférence internationale devant se tenir à Paris début décembre (COP21).
    On comprend, dans ce contexte, l’élection d’un économiste comme nouveau président du GIEC.

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