Depuis le 1er octobre, la mention photoshopée doit accompagner toute photo retouchée mais la directive ne s’appliquant qu’à celle de mode… Macronella y a donc échappé. Pourtant elle le mériterait, elle a toutes les caractéristiques d’un top model. Elle est au service d’une marque (Vuitton), se flatte de parer sa minceur en 34, perchée sur douze centimètres de talon, elle frôle le mètre soixante-quinze, ses perruques sont toujours impeccablement brushées et surtout, elle a, selon Karl Lagerfeld, “les plus belles jambes de Paris”.
Oubliant sa fonction de potiche de l’Elysée, le kaiser a dû le lui répéter un peu trop et depuis, Macronella, bientôt 65 ans, qui ignore que tout flatteur vit… les fait filmer et photographier partout jusqu’à mi-cuisses: lors de l’hommage rendu à Simone Veil, dans tous les pays où elle va… à l’ONU. Sauf quand elle les habille du slim Scarlett d’Acquaverde (135 euros).
Micro-robe ou jeans, d’aucuns se sont offusqués de son look “inadapté”, salué par la presse étrangère en termes de cagole péroxydée”, “à la limite de l’indécence”, et deux mois après la première contre son statut, vient de surgir une autre pétition contre ses fringues, son inélégance, etc.
Le smartissime Karl a omis de lui apprendre à ne pas croiser haut ses jambes lorsqu’elle s’assoit et surtout, en mini-robe, ce qui a fait les délices du Corriere della serra, zoomant sur sa lingerie…
Au lieu de recevoir en fausse catimini Bernadette Chirac à l’Elysée, elle devrait y convier Carla Bruni, laquelle pourrait enfin à lui apprendre à marcher sur ses échasses, sans s’arrimer (de façon visible) à son jeune époux et probablement, lui enseigner les nombreuses notions de savoir-vivre lui faisant défaut.
Certes, si Macronella était restée prof de français à la retraite, Elle et le Figaro Dadame ne serait pas tombés en pâmoison, la couvrant d’éloges, accumulant les adjectifs laudatifs, à l’instar de la presse people,.. A se demander si ce n’est pas pour la ridiculiser?
A la place de ses conseillers en com, nous serions beaucoup plus vigilants avec ces hagiographies permanentes et ce culte de la personnalité.
Jeunisme ambiant et inculture aidant, le staff de la start up France ne sait rien de la dictature roumaine. cependant, la future reine Brigitte avait déjà 36 ans quand les Causescu se sont faits descendre, elle n’a pu oublier ce qui précéda…
Dans Point de vue, se confiant – “en toute franchise” et “avec émotion”, elle annonce dès la Une: “Les Français doivent savoir ce que je fais”.
Il y a ceux qui s’en doutent, ceux qui s’en foutent et pour ceux que ça intéresse, on ne leur livre que des bobards macronisés et un agenda publié a posteriori: bien suffisant pour cette populace d’ illettrés-fainéants-qui ne sont rien et foutent le bordel… mais l’entretiennent somptueusement et salarient plus encore son Macronix malappris.
Toutefois si vous tenez à savoir vraiment ce à quoi elle occupe son temps, la directrice de la rédaction de Point de vue, Adelaïde de Clermont-Tonnerre, le résume ainsi : “Etre l’ornement de la république en se montrant gracieuse et élégante”… “en représentant les femmes du XXIe siècle”. Quel programme! On dirait du Macron.
Puis l’on apprend qu’elle a mené un combat de libération majeur, jamais médiatisé: “J’ai surtout voulu libérer les fenêtres d’un trop-plein de tentures épaisses qui assombrissaient les salons. La lumière y pénètre désormais beaucoup plus et la vue sur les jardins est moins occultée”.
Auraient-ils été brisés lors d’une fort onéreuse et fracassante scène à la Trierweiller?
Récemment, Le Figaro Dadame titrait: Brigitte Macron: “c’est un rêve pour elle”.
Et nous de conclure: Les Macron, c’est un cauchemar pour nous!