Renaud Camus : Pourquoi je suis candidat à l’élection présidentielle ?

Renaud Camus est un des plus brillants intellectuels Français… et il est candidat à l’élection présidentielle de mai 2017. Celui qui aime à se présenter comme un chevau-léger de la politique et qui a pour seules armes l’humour, la dérision et la cocasserie, veut profiter de ce rendez-vous politique crucial pour appeler ses compatriotes à la révolte. Avec talent et élégance, il évoque son envie d’hurler, de crier pour réveiller un peuple qui « marche tout droit vers le précipice » happé par les conséquences du « Grand remplacement ». Renaud Camus, dans l’entretien accordé à TVLibertés, évoque ses relations avec Eric Zemmour, Robert Ménard ou Marine Le Pen. Il revient sur ses engagements en faveur de l’Europe et présente ses derniers ouvrages : son Journal de l’année 2015 et une anthologie de ses tweets joliment intitulée “Entre vivre ensemble, il faut choisir”. Imperturbablement, il poursuit son travail de prise de conscience de la nécessité de mener une « guerre de libération » du sol national :

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2 Comments

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  • Alam , 6 octobre 2016 @ 21 h 04 min

    Le courage, l’amour de la patrie, la culture et la fermeté d’âme de Renaud Camus, sans compter son talent, sont incontestables. Hélas, toutes ces qualités ne feront pPourquoi faut-il qu’il se trompe aussi obstinément sur

  • Droal , 7 octobre 2016 @ 10 h 30 min

    On comprend que Renaud Camus soit tant soit peu désespéré.

    L’€urope fondée sur l’€ est une organisation, une espèce d’entreprise privée qui ne concerne pas les peuples européens. L’espace Schengen est un bordel immonde qui est en train de sombrer dans le néant de sa cupidité et de son envie initiales.

    Ceux qui on organisé ce chaos sont en train de dégager lentement… mais surement.

    C’est un autre « régime » qui fera l’Europe de l’Atlantique à l’Oural et non pas la « République », la « démocratie » et toutes ces vieilles choses défuntes.

    Non pas Dieu – mais Sa Mère – annonçait en 1846, sur la montagne de la Salette que « les nouveaux rois seront le bras droit de la sainte église ».

    Des « nouveaux rois » bras droit d’une « nouvelle église »…

    Pour lors, laissons les morts enterrer les morts.

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