L’histoire vraie de sa vie en 1944 est un peu différente de la version officielle.
Pour éviter toute polémique, je m’abstiendrai de mentionner certaines réalités
pour une jolie fille de 17 ans qui veut survivre dans un camp allemand en 1944.
Pour ce qui est de ses regrets sur l’aspect coercitif de sa loi abortive, je remarque qu’elle avait eu tout le temps d’exprimer des réserves sur les désastres provoqués par sa loi de 1975 qui était contradictoire sur son fondement du droit de choisir.
Elle a eu plus de 40 ans pour dire publiquement que le principe de liberté de choisir invoquée comme fondement de sa loi n’était pas respecté puisque aucunes mesures légales n’avaient été prévues pour offrir un plan B aux jeunes femmes sous astreintes éducatives (scolaire et universitaire)entre 15 et 25 ans.
De nombreux témoignages concordants attestent qu’ elles étaient donc forcées d’avorter.
Une seule phrase de Madame Veil aurait suffit pour déclencher une prise de conscience.
Un Rabbin américain avait déclaré il y a quelques années qu’elle était bonne pour l’enfer…
Extrait du blog “la faute a rousseau” sur Simone veil
Une fois de plus, on nous intime l’ordre de nous taire à propos de l’ancienne ministre . Est-ce parce qu’elle est morte et que l’on ne doit pas médire des morts? C’est une maxime de bonne éducation, donc privée, et qui n’a rien à faire ici, où nous discutons de sujets politiques.
Il est vrai que Simone Veil ne voulait pas ce qu’elle a produit.
Le moins que l’on puisse dire est qu’elle n’a pas haussé le ton pour s’opposer aux dérives – prévisibles – de la loi dont elle était le promoteur.
Il est vrai que son image d’icône du féminisme et des « droits de la femme » en eût pâti. Mais la raison déterminante de son indifférence est tout autre:
Simone Veil n’avait qu’aversion pour la France de la filiation que nous vénérons.
Pour elle, l’épuisement du peuple français par la dénatalité n’avait aucune importance.
On l’a bien vu en 2009 lorsque Sarkozy, dans un souci de s’attirer les voix du FN, créa un éphémère ministère de l’identité française…et de l’immigration.
Ce n’était évidemment qu’une silhouette de carton, mais Simone Veil mobilisa l’indignation des « éclairés » en déclarant qu’il ne pouvait pas exister de ministère de l’identité française parce qu’ « Il ne doit pas exister une autre acception de la France que son acception administrative : telle est la conséquence de la Constitution de 1791.
C’est l’acquis de la révolution : la France, c’est ce que la loi décide. »
Et, pour soutenir cette campagne, le « chercheur » antiraciste Michel Wieviorka, (écrit : ) cette création « attise les crispations sur l’immigration, car l’objectif est bien de traiter d’immigration, l’essentiel des points soumis à débat concerne cette question ».
Il aurait « préféré un débat sur la façon de faire face à la crise ou de développer une politique de la ville efficace » et ajoute que l’existence d’un ministère de l’Immigration et de l’Identité nationale « est une catastrophe intellectuelle et politique ».
Voilà dans quel camp se situait Simone Veil ! Dès lors les pieux silences me paraissent de la pure sidération. •
Pierre 17 , 7 juillet 2017 @ 8 h 45 min
“Simone Veil se trouve face à son Juge et à ses victimes.” Je ne suis absolument pas d’accord. Bien des âmes sont jetées au Feu Éternel sans voir de juge. Elles ne le verront qu’au Dernier Jour…
Droal , 7 juillet 2017 @ 11 h 33 min
Lorsque le Prince de ce Monde harangue ses troupes, il a l’habitude de dire à ses collaborateurs : « Ce qui compte, ce n’est pas l’intention, mais le résultat et le Temps nous est compté».
Autrement dit, de même « qu’il n’y a pas d’amour, mais des preuves d’amour », il n’y a pas de haine, mais des preuves de haine.
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