Grèce : le “non” au référendum n’est pas forcément une mauvaise nouvelle

8 Comments

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  eric-p , 6 juillet 2015 @ 10 h 54 min

  Incroyable !
  Hier, toute l’intelligentsia bobo-médiatique nous expliquait qu’il ne fallait surtout pas lacher la Grèce, qu’un sondage (si si ils en ont trouvé un !) montrait que les français voulaient continuer à remplir un trou sans fond….
  Aujourd’hui, on nous explique que, finalement,un grexit n’est pas si mal, blablabla…

  Lenglet : Toujours égal à lui même…
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  Trahi , 6 juillet 2015 @ 11 h 06 min

  Ce sont dans ces instants que l’on s’aperçoit qu’il existe un monde à part, celui des merdias au service des politichiens qui se la racontent entr’eux et se font grand plaisir dans leurs discours et analyses des affaires du monde! Un monde orchestre manipulé par des cordelettes venant de làhaut, tirées par les ombres cachées des finances!!!Un véritable monologue ou pièce de théatre que le bon peuple écoute sans ne rien comprendre, sauf celui de subir les “conneries” de ces grands stratèges qui se prennent pour DIEU le père! Le père fouettard!!!!
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  Vincent , 6 juillet 2015 @ 11 h 36 min

  Ces agents des médias agréés du pouvoir qui passent d’une radio à une autre, d’une TV à une autre, d’un journal à un autre sans difficulté, en nous assénant toujours leurs vérités aussi malléables que du chewing-gum, pointent régulièrement à la cellule de propagande de la présidence pour se maintenir sur la scène du PAF, comme le font Francois Lenglet et Emmanuel Le Chypre de BFM !
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  Tite , 6 juillet 2015 @ 15 h 25 min

  Grèce, pays démocratique et peuple souverain.
  Bravo.

  Union Européenne… soviétisme, totalitarisme, dictature ; lois décidées par des gens non élus, contre l’intérêt des peuples, qui font revoter les récalcitrants (ex : l’Irlande) jusqu’à ce qu’ils votent dans le “bon sens” et… que mort s’ensuive.

  Merci les Grecs.
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  peripathos , 7 juillet 2015 @ 7 h 05 min

  “Pas forcément” une mauvaise nouvelle

  comme le dit le titre de l’article .
  En effet la basse-cours politique rouée , y compris le néo fn gauchisé , essaye de se féliciter ou du moins de tirer un profit d’un “NON” qui est , au fond , une protestation de dignité et d’indépendance , une affirmation , a contrario , d’identité et un refus de l’ingérence abusive de l’UE , du FMI , de Washington .

  D’ailleurs on ne sait pas trop si Tsipras , qui s’empresse de retourner “à table” ou à la table des négociations , n’est pas en train de rouler le peuple grec comme les podemos , les merlanchons de tout poils ou les marine philipot de toutes plumes alors que , dans toutes ses “discussions” et négociations , la question de l’immigration incontrolée n’est JAMAIS abordée .
  Or l’immigration “sauvage” en Grèce aurait été récemment plus importante qu’en Italie
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  rovigo , 7 juillet 2015 @ 8 h 16 min

  C’est curieux, personne , aucun journaliste, aucun homme politique n’a dit avant le référendum, que OXI, qui était la réponse souhaitée par Tsipras, avait en Grèce valeur mythique de résistance à l’envahisseur, c’est la réponse que fit Metaxas à l’ultimatum de Mussolini. Certes Metaxas était un “dictateur” mais sa réponse fut emblématique de la résistance grecque qui suivit (et de la pâtée que prirent les italiens, qui durent appeler Hitler à la rescousse, retardant ainsi les plans d’invasion de la Russie, avec le résultat que l’on sait) Le jour de OXI est toujours fêté en Grèce. Certes ce fait à lui seul n’aurait pas entraîné 61% des votants, mais il a joué son rôle que l’ignorance de nos “élites” n’a pas vu. Tsipras lui, bien que marxiste, connait l’histoire de son pays.
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  rovigo , 7 juillet 2015 @ 8 h 47 min

  Correction à mon commentaire J-G Malliarakis vient de parler du NON de Metaxas, c’est vrai qu’il est plus cultivé que la plupart de ses confrères.

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