Mensonge, mensonge, mensonge. Sur un air de Dalida… nous sommes entrés dans cette ère nouvelle du mensonge, où tout est parole d’évangile à condition que, justement, cela n’ait rien à voir avec les saintes Écritures !
Et des mensonges, quotidiennement on les reçoit en pleine figure. Ils envahissent notre cerveau à tel point qu’ils nous formatent et nous interdisent de penser autrement. Et, en même temps, comme le dirait notre nouveau Président, ils nous imposent des contre-vérités qu’un peu de jugeote nous permettrait de contredire.
Par exemple, nous sommes appelés à rejeter la politique de Trump et celle de Poutine. Par la même occasion, et pour le même prix, nous devons croire que notre bien trop aimé Président a su leur tenir tête.
Quant à la COP21, dont le Président a dit qu’elle allait sauver la planète Terre, nous voilà face à une gigantesque manipulation, effectivement, planétaire à laquelle seul Donald Trump a su répondre par des arguments « pragmatiques », pour employer un adjectif cher à notre nouvel élu.
Et que dire de cette désinformation criminelle qui confine, à ce stade-là, au mensonge, pratiquée par ceux censés nous protéger, nous défendre ? Désinformation qui touche non seulement à l’islamisation de nos pays occidentaux, sorte de croisade inversée et perverse, mais à son pendant terroriste contre lequel aucun pouvoir n’ose prendre la vraie solution : celle que les Américains ont prise contre les Japonais vivant aux États-Unis, lors de la Seconde Guerre mondiale. Ne sommes-nous pas en guerre contre cet ennemi invisible, spirituel et démoniaque ?
Alors, on combat ces terroristes à coups de gerbes de fleurs, de discours fleuves, d’odes au « vivre ensemble », sans jamais rappeler contre qui nous sommes en guerre et que, dans les populations musulmanes, plus de 20 % approuvent la guerre que les terroristes islamistes nous mènent. Et 20 %, cela fait beaucoup, beaucoup de monde. Un dernier mensonge par omission : la semaine dernière, l’État islamique a diffusé un appel, détaillant sur huit pages comment tuer du Français, et que nulle part nous ne serons désormais à l’abri. Avant ces futures attaques, nos médias ont appris à tuer l’information.
Floris de Bonneville – Boulevard Voltaire