Pas de troupes militaires algériennes au défilé du 14 juillet 2012

Selon Le Point du 6 mai 2010, l’ambassadeur de France à Alger aurait proposé au Président de la République d’inviter l’armée algérienne à défiler sur les Champs-Élysées le 14 juillet 2012 à l’occasion de l’anniversaire de l’indépendance algérienne. “Il n’est pas envisagé d’intégrer de troupes algériennes dans la composition des formations militaires qui participeront au défilé du 14 juillet 2012 sur les Champs-Elysées” a affirmé vendredi Gérard Longuet, le ministre de la Défense, dans sa réponse à une question écrite du député non-inscrit Dominique Souchet (Mouvement pour la France). “Cinquante ans après les faits, les blessures sont encore vives pour de nombreuses familles traumatisées par la cruauté du conflit algérien. L’abandon par la France des combattants qu’elle s’était engagée à soutenir a rendu cette tragédie encore plus amère” argumentait l’élu de Vendée.

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34 Comments

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  • amirouche , 13 décembre 2011 @ 9 h 32 min

    pour que les racistes n utilisent pas mes propos a des fin de propagande.
    je suis musulman.
    et je dis que la france est un grand pays et un pays chretien .et nulle n a le doit d insulter jesus dont j y crois plus que les chretiens eux meme,ni insulter un autre prphet ou religion.le moyen age c est fini nous somme en 2011.
    la civilé et puissant et je salut ces grand chercheurs qui ont realiser le tgv le plus rapide du monde.et la grandeprouesse technologique de la A380 et plein d autre inventoons ….et je salut tout les pacifistes et humanitaires.
    c est ca la grande france dans y crois
    et c est celle la que vous devez batir.
    pour les immigrés c est pas avec le racisme et la provoque ou repression vous vous reussirez.mais en recuperant vos pions generaux placés par vous en algerie.et cessez vos interventions d ingerance ds leur pays.je vous garanti que tous retourneront chez eux.

    ps:desolé pour les fautes je suis anglophone

  • bourdon , 9 janvier 2012 @ 19 h 53 min

    j’ai honte d’etre français otre meoireuem
    je vote fN les valeures de mes anciens n’avez vous pas honte de vous .. et de la memoire de vos anciens qui se sont battus pour vous
    pauvre france et ses polliticiens sans scrupules
    vous pouvez revoir l’histoire de france

  • Robert , 9 janvier 2012 @ 20 h 52 min

    Amirouche,
    Si vous commenciez par pratiquer vos belles propositions chez vous en Algérie?
    Cela paraîtrait plus crédible, non?

  • Robert , 9 janvier 2012 @ 21 h 12 min

    Encore pour Amirouche,
    Vos affirmations historiques sont quasiment toutes fausses.
    En 1830, l’Algérie n’existait pas, n’étant composé que de comptoirs au mains du Bey D’alger sous le pouvoir de l’empire Ottoman. Les pirates partaient vers les pays occidentaux pour razzier et piller jusqu’a ce que l’expédition y mette fin ainsi qu’à l’esclavage qui régnait.
    Le développement de ce qui est devenu l’Algérie est le fait des coloniaux. le droit romain, malgré la préservation du droit coranique, a fait progresser le droit.
    Les maladies endémiques ont été vaincues par les médecins coloniaux, le pays bâti grâce aux colons, souvent des prisonniers exilés.
    Les pillages et le fatalisme ont été vaincus par la civilisation française.
    Tout cela a repris depuis l’indépendance malgré les richesses pétrolières du Sahara, qui ne faisait pas partie du territoire algérien mais dont De Gaulle a préféré faire cadeau à l’Algérie.
    Sétif s’est révolté à l’annonce de la défaite nazie. Car si des milliers de musulmans, malgré leur statut qui ne les y obligeaient pas, avaient choisi de servir la France, les nationalistes étaient plutôt favorables au nazisme.

    Un article sur ce sujet;

    “Le 8 mai 1945, le jour même de la victoire alliée sur le nazisme, de violentes émeutes éclatent à Sétif, en Algérie.

    Origines du drame
    Quand la victoire de la démocratie sur la barbarie nazie est apparue imminente, certains musulmans d’Algérie ont espéré que serait enfin mis en application le droit des peuples à disposer d’eux-mêmes.

    Parmi eux Messali Hadj, chef du PPA (Parti Populaire Algérien), interdit depuis 1939. Mais celui-ci est jeté en prison par les autorités françaises et 20.000 de ses partisans défilent le 1er mai 1945 à Alger en sa faveur.

    Le matin du 8 mai, une nouvelle manifestation survient à Sétif aux cris de «Istiqlal [Indépendance], libérez Messali». Les militants du PPA ont la consigne de ne pas porter d’armes ni d’arborer le drapeau algérien mais un scout musulman n’en tient pas compte et brandit le drapeau au coeur des quartiers européens.

    La police se précipite. Le maire socialiste de la ville, un Européen, la supplie de ne pas tirer. Il est abattu de même que le scout. La foule, évaluée à 8.000 personnes se déchaîne et 27 Européens sont tués dans d’atroces conditions. L’insurrection s’étend à des villes voisines, faisant en quelques jours 103 morts dans la population européenne.

    La répression est d’une extrême brutalité. L’aviation elle-même est requise pour bombarder les zones insurgées. Après la bataille, les tribunaux ordonnent 28 exécutions et une soixantaine de longues incarcérations (*).

    Officiellement, les autorités françaises estiment que le drame aura fait 103 morts chez les Européens et 1.500 chez les musulmans. Les autorités algériennes parlent aujourd’hui de 45.000. Les historiens spécialistes évoquent quant à eux 8.000 à 20.000 morts.

    Une opinion indifférente
    Le drame passe inaperçu de l’opinion métropolitaine qui a la tête ailleurs du fait de la capitulation de l’Allemagne, le même jour. Le quotidien communiste L’Humanité ne l’évoque que pour insinuer que les émeutiers seraient des sympathisants nazis !

    Les émeutes de Sétif consacrent la rupture définitive entre les musulmans et les colons d’Algérie et annoncent la guerre d’indépendance.

    Concernant tous les faits historiques que vous mettez en avant, il existe différentes versions, seule la vérité des faits établis comptent. Et de ce point de vue-là, les musulmans et le FLN sont très mal placés pour donner des leçons de morale à quiconque.
    Parlons, un exemple parmi tant d’autres de Melouza;
    “C’est en 1956 que le douar de Melouza, gros bourg assez riche au nord de M’Sila, était passé au F.L.N. Et cela à la suite d’une opération de représailles menée par l’armée française. Un capitaine avait été tué dans une embuscade tendue par un groupe rebelle. Un lieutenant-colonel avait appliqué une méthode qu’il perfectionnera plus près d’Alger. Il fit fusiller quelques suspects arrêtés à la suite de cette affaire, puis disposa leurs cadavres sur le toit d’un car auquel il fit parcourir les routes et pistes praticables de la région de Melouza. A titre d’exemple du sort qui attendait désormais ceux qui aideraient le F.L.N. et se rendraient ainsi responsables d’assassinat. Ce lieutenant-colonel s’appelait Antoine Argoud.
    A partir de Melouza, le F.L.N. essaya de gagner à sa cause l’importante population des Beni-Illemane. Mais la population arabe qui voyait d’un mauvais oeil ces fellaghas kabyles lui imposer un impôt et une aide qui la désignerait immanquablement aux coups de l’armée, se rebella. Et avec quelle violence ! Successivement un officier F.L.N. et plusieurs sous-officiers furent donnés aux forces de l’ordre. Puis trois agents de liaison envoyés par la wilaya 3 à la wilaya 6 furent abattus. Un sergent et son secrétaire qui avaient demandé asile furent exécutés à coups de hachette.
    La situation, qui devenait critique pour le F.L.N., provoqua la réaction du chef de la wilaya kabyle, Mohammedi Saïd. Il résolut de montrer sa fermeté et donna ordre au capitaine Arab d’encercler les villages du douar Beni-Illemane, de mesurer les réactions de la population et, en cas de riposte, d’en abattre les habitants. Arab, un ancien chauffeur de taxi parisien d’une cinquantaine d’années, réunit tous les hommes disponibles de sa région et se mit en route à la tête de trois cent cinquante hommes armés de fusils, pistolets mitrailleurs, F.M. et fusils de chasse.

    A 2 heures du matin, le 28 mai 1957, Abdelkader Sahnoun, à qui le capitaine Arab a donné ordre d’abattre tous les hommes de Beni-Illemane, commence l’encerclement du douar à la tête de six sections de l’A.L.N. L’alerte est donnée à 8 heures alors qu’ils sont encore sur les collines avoisinantes. Au village, c’est l’affolement. Quelques hommes tentent d’organiser la résistance. Ils stoppent l’avance des hommes du F.L.N. Mais les munitions s’épuisent. A midi, le dernier défenseur armé tombe à l’entrée du village. Et c’est la ruée sauvage. De tous côtés les djounoud font sortir les hommes des misérables gourbis où, terrorisés, ils se sont réfugiés. Les femmes hurlent. C’est la panique. Les hommes qui résistent sont abattus. Une heure plus tard, trois cent quatre hommes du village sont rassemblés, misérable troupeau, accroupis sur la place de la mechta, mains sur la tête. Hébétés. A coups de crosse, au milieu des gémissements des femmes et des cris des enfants, les hommes du F.L.N. les obligent à se lever et les font avancer par un sentier de chèvres en direction de Mechta­Kasba, petit hameau d’une dizaine de familles, situé non loin du village… Abdelkader Sahnoun et le capitaine Arab ont décidé de frapper les esprits et de massacrer leurs prisonniers dans cette mechta.
    A 14 heures, c’est l’arrivée à Mechta-Kasba, d’où les femmes et les enfants ont déjà été chassés par un groupe avancé. Une dizaine d’hommes ont été gardés et voient arriver la malheureuse caravane. Alors, tout va très vite. Dans ce petit village aux maisons basses faites de pierres entassées à tel point que, de loin, elles se confondent avec le paysage de rochers et d’éboulis, les hommes d’Arab entassent les trois cent quinze hommes dans les gourbis. Plus de trente par maison ! Et c’est le massacre, la folie sanguinaire. Au fusil, au couteau, à coups de pioche, les fellaghas taillent en pièces leurs prisonniers. Ceux qui tentent de s’échapper sont abattus d’une rafale de mitraillette. Des flots de sang s’écoulent maintenant des maisons transformées en abattoirs humains. Le massacre dure une demi-heure à peine. Aux cris, aux supplications, aux coups de feu, aux hurlements des djounoud déchaînés succède un silence pesant. Abdelkader Sahnoun réunit ses hommes. Il faut fuir. Maculés du sang de leurs victimes, les yeux égarés, ils regagnent la zone de leurs refuges.”

    Vous voulez qu’on parle de la régence d’Alger, avant le débarquement français?;

    “La Régence d’Alger, capitale du corso barbaresque sème la terreur sur les mers du XVI ème au XIX ème siècles. C’est une vassale très remuante de l’Empire ottoman, un nid de pirates, un marché d’esclaves, principalement blancs, et une ville ingouvernable habitée par une population très hiérarchisée se décomposant comme suit :
    Les Turcs, arrogants et brutaux, sont recrutés parmi les pires brigands de Turquie et tiennent le haut du pavé à Alger ; ils sont en général célibataires, à la fois parce que Constantinople décourage leur mariage et parce que les femmes turques refusent de venir en Alger ; leurs amours se déroulent soit avec des esclaves chrétiennes, soit entre hommes ; s’ils viennent à épouser des femmes musulmanes indigènes, leurs enfants, les Kouloughlis, conservent un statut inférieur ; dans le contexte d’Alger, les Turcs sont bien entendu libres, mais ils ont tous le statut de Janissaires (même ceux qui, de fait, ont des fonctions civiles) ainsi que la solde (il en va donc autrement qu’en Turquie, où les Janissaires sont des esclaves recrutés parmi de jeunes chrétiens enlevés à leur famille ) ; les Turcs de l’Odjak (la milice) des Janissaires, sont les vrais maîtres d’Alger, puisqu’à toutes les époques le principal souci du Régent, qu’il soit Pacha, Agha ou Bey, sera d’assurer leur solde ; cependant, et paradoxalement, à partir de la période des Aghas, Alger se veut indépendante de Constantinople ;
    Les “Maures”, “naturels du pays” selon d’Arvieux, n’ont aucune part dans le gouvernement ; probablement faudrait-il distinguer ici entre Arabes et Berbères, mais les auteurs d’autrefois ne le font pas, et l’on se gardera d’avancer sans sources sur ce terrain ;
    Les Juifs autochtones occupent le bas de l’échelle sociale et sont soumis à des mesures vexatoires (habits noirs, quartier réservé) ; les juifs étrangers se livrant au commerce international, appelés “juifs chrétiens”, ne sont pas soumis à ces mesures ; ils s’habillent à l’européenne, vivent où ils veulent, font juger leurs litiges par le Consul de France et sont les maîtres du commerce international ; les prises des raïs sont vendues dans toute l’Europe par l’intermédiaire de leurs cousins de Livourne (port franc près de Pise en Italie, capitale du recel et de l’argent noir pour les pirates des deux bords) ; certains juifs ont été expulsés d’Espagne à l’occasion de la Reconquista, et partagent le désir de vengeance des Morisques ;
    Les Morisques gardent le souvenir du temps d’avant la Reconquista, quand ils habitaient l’Espagne ; ils sont particulièrement haineux envers les chrétiens, particulièrement avide de vengeance, et capables de l’exercer puisqu’il connaissent les côtes d’Espagne et peuvent indiquer où opérer des razzias ; leur processus d’expulsion de l’Espagne s’étend sur deux siècles et la haine se capitalise en boucle : plus ceux restés en Espagne (ou récemment immigrés en Alger) servent d’indicateurs pour les razzias, plus les expulsions se multiplient par représailles (ou par simple mesure de sécurité), plus la haine envers l’Espagne augmente, plus elle incite les Morisques des deux rives à aider aux razzias (ici, la boucle est bouclée et l’on repart : les razzias entraînent de nouvelles expulsions).
    Les Européens constituent une part considérable de la population d’Alger, soit comme esclaves, soit comme renégats (“Turcs de profession”) ; ces derniers, paradoxalement, constituent (plus au début qu’à la fin tout de même) l’essentiel de la piraterie algéroise (voir les biographies de Hassan Veneziano , Simon Dansa, Ali Bitchnin ) ; il s’agit souvent d’esclaves qui ont réussi à sortir de leur condition, mais aussi, plus souvent qu’on pourrait croire, d’immigrés volontaires ; pour un gredin doué pour la navigation, Alger est pleine de promesses ; l’Européen qui se convertit à l’Islam est considéré comme Turc, ce qui lui donne le statut le plus élevé possible dans la Régence d’Alger ; aucun poste ne lui est fermé, pas même celui de Régent ; à ces stratégies individuelles, on ajoutera des phénomènes politiques ayant entraîné des immigrations par vagues en provenance de certaines origines à certaines époques (Corses préférant être musulmans que Gênois ; Anglais et Hollandais à l’époque où Alger était le meilleur point de départ possible pour attaquer les galions espagnols ; anciens Chiens de Mer d’Elisabeth première d’Angleterre) ; la composante européenne de la ville n’est en rien marginale ou passagère ; l’Islam n’est pas particulièrement un obstacle, au moins pour les immigrés du bord de la Méditerrannée (le cas des Anglais et Hollandais étant différent, voir l’article dédié) ; des caractéristiques telles que l’esclavage ou la polygamie ne sont pas répulsives pour tout le monde (tout dépend si l’on s’identifie au prédateur ou à la victime) ; le capitan renégat, qui risque gros s’il est jugé en Europe, a vocation à rester à Alger, contrairement au janissaire turc venu pour faire fortune rapidement (s’il le peut) et repartir ; les Européens sont partout, y compris au coeur de la structure familiale algéroise, à condition de ne pas oublier de voir les femmes (ni leurs amants) : le janissaire dissuadé d’épouser une musulmane du pays fait souche avec une esclave chrétienne ; l’esclave domestique chrétien, supposé invisible, rencontre librement les femmes des familles musulmanes les plus fermées à leurs voisins, et fait plus d’une fois souche sous le nom de son maître ;

    L’ensemble compose une population des plus étranges, dont une majorité a vocation à mourir rapidement (esclaves de rame, femmes répudiées jetées à la rue, fillettes accouchant à 11 ou 12 ans), à vivre en célibataires (esclaves, janissaires), à séjourner provisoirement (pachas triennaux, esclaves de rachat), ou à ne faire souche que dans des conditions irrégulières (esclaves domestiques, janissaires dissuadés de se marier sur place). L’homosexualité est à peu près institutionnalisée et pratiquée bien au-delà de la minorité de personnes qu’elle attire naturellement. Mais, à Alger, les femmes sont absentes ou enfermées, les janissaires sont souvent célibataires, et les esclaves, que leurs maîtres oublient souvent de nourrir, cherchent des ressources où ils peuvent. Ces circonstances créent à la fois une offre et une demande de prostitution masculine.

    On peut continuer très longtemps si vous voulez.

  • Nadir , 20 avril 2012 @ 16 h 21 min

    Honte à toi, regarde toi pauvre femme c’est toi la soumise ose tu nous traiter de barbare et d’esclave ? qui à colonisé l’Algérie ? l’Algérie n’a rien demander mais sa seul erreur POUR VOUS est d’avoir refusé la colonisation par les glorieux français ? pauvre de vous, vous faites pitier, aussi notre armée s’appel L’ANP et non FLN petite illettré et vous avez encore la rage et le sentiment amère d’avoir reçue un bottage de cul exemplaire, même vos généraux ne sont pas fidèle a votre pays , il lui tourne le dots à l’occasion venus, L’Algérie à vaincus ! et elle à repris SES TERRES ! maintenant votre soumis d’homme politique qui nous propose de déflité sur votre ville pleine de PUTES et qu’après sa votre premier ministre viens dire non comme des gamins,
    EMPRENNEZ VOUS QU’à VOUS MÊME bande de cons.

  • arasan , 28 mai 2012 @ 0 h 15 min

    je pense que t’es une idiote et surtout une blonde..Conseil: Quand tu vas aux toilettes, penses à te laver le cul avec de l’eau. Car le papier toilette ne suffit pas!! Les barbares et les descendants d’esclavagistes, eux, se lavent les fesses chaque fois qu’ils y vont!

  • Consterner , 5 juin 2012 @ 22 h 28 min

    Et avant par les turcs, l’Algérie c’est presque 5 siècles de colonisation alors pays souverain tu me fais rire puisque vous faisiez partie de l’empire Ottoman. Voilà pour toi amirouche le haineux et donneur de leçons. Ensuite, l’islam 99% des Français en ont rien à faire. C’est juste un bédouin qui a écrit des textes et loi tirées de textes qui existaient déjà bien avant lui. Rien de divin. Et pour terminer, tu t’inclineras devant la tombe de De Gaule car c’est lui qui a donné la souveraineté à l’Algérie et au FLN complètement écrasé par l’armée française et les harkis.

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