Manifestations PEGIDA dans tout l’Occident

28 Comments

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  Gisèle , 7 février 2016 @ 16 h 21 min

  Vous lisez trop vite !
  J’ai écrit : certains humains .
  De plus, non je ne suis pas naïve . Je suis même très remontée contre tous ces médias vendus .
  Mon commentaire était suivi d’un ( sourire ) .
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  Marie-Thérèse , 7 février 2016 @ 18 h 25 min

  Je confirme.
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  Keram , 7 février 2016 @ 21 h 23 min

  La doctrine politique du paradoxe et LA chienlit
  Le paradoxe est un raisonnement apparemment sans faille, simpliste souvent, mais qui comporte une ou des contradictions et aboutit à une absurdité. Le paradoxe confine à l’absurde.
  Nous devons en France, à ce candidat président qui se prétendait capable de défier la théorie des limites de compétences, élu pour résorber le fléau de notre société aujourd’hui -le chômage – et alors qu’il n’a jamais réellement lui-même travaillé- l’instauration du système de pourriture constitutionnelle qui culmine maintenant et tel qu’aucune autre de nos républiques n’en a encore jamais connu. Comme Monsieur Jourdain qui faisait de la prose sans le savoir, ce conlà nous impose depuis sa consécration et sans en avoir conscience (!), la sécrétion de son incompétence: la politique du paradoxe érigée en doctrine, bientôt une de plus de ces « nouvelles philosophies ». Puisque c’en est devenu une doctrine du fait de sa “cour en pension de graisse” (cf. le code rural)… comme les courtisans dans ce conte d’Andersen, qui n’osent jamais dire à leur empereur qu’ils le promènent tout nu, lui faisant se croire paré du plus beau paletot qu’il aurait seul le privilège de ne pas voir. Un syndrome, une doctrine, LA chienlit!

  Notre impétrant n’ignorait pourtant pas plus que tout un chacun, que l’envergure d’un personnage, qui plus est au niveau de sa charge, s’apprécierait à la qualité des gens dont il s’entourerait.
  Tenez par exemple le ministère de l’Éducation Nationale dévolu pour la pluralité visible à une femme mignonne et presque angélique, dite de la diversité, Najat Belkacem, d’origine maghrébine, de nationalités toujours marocaine et aussi française, qui fut nommée membre du Conseil de la Communauté Marocaine à l’Étranger par le roi du Maroc. N.Belkacem a déclaré en avril 2012 n’en avoir été membre que de décembre 2007 à décembre 2011. Une assertion plusieurs fois mise en doute: par le journaliste Ali Amar, qui la qualifie d'”espionne du roi” en février 2012; par le site Yabiladi qui souligne fin avril 2012 qu’elle n’en a jamais démissionné; et encore en août 2014
  par le site Nouvelles du Sahara.
  Pour nos enfants et de la part d’un ministre de l’Éducation Nationale, de l’instruction publique, de l’école laïque, sa position à l’égard des religions en général et de l’islam en particulier, est on ne peut plus paradoxale.
  Sa personnalité tout comme celle de Vincent Peillon son prédécesseur, témoigne clairement de la détermination politique présidentielle de détruire l’équilibre des traditions de culture et d’éradiquer la cellule familiale.
  Ailleurs à l’un des postes clefs du gouvernement qu’il offre à Christiane Taubira. Curieux charisme de synthèse: cyclopédique, pélagique, tauromachique. Sociologue prétendument économiste, de son passé judiciaire subversif et terroriste, voire familial, indépendantiste guyanaise (se croit-elle aussi une de plus au gouvernement, de double nationalité -clandestinement !), et finalement puisée dans les mailles du B.Tapie… C.Taubira Garde des sceaux de la République, ministre de la Justice. Rien moins, Monsieur le président et chers concitoyens!
  Choisie pour qu’elle instaure le mariage paradoxal, dit “pour tous sauf pour son président”. Ce n’est pas comme l’abolition de la peine de mort, ce n’est pas une réforme partielle du code pénal. C’est plus grave qu’une modification du code civil. C’est un bouleversement social en perspective qu’elle instrumentalise et inflige autoritairement aux fondements de notre civilisation. Et elle l’impose avec violence, au mépris de l’esprit de notre constitution qui fait droit implicite à l’autodétermination référendaire populaire. Elle n’est pas juriste, mais le faut-il pour concevoir quelques notions de “l’esprit de la loi” ?!
  Et comme ça, un jour elle peut s’en prendre sans retenue aux représentants de la nation – élus ceux-là – à l’Assemblée Nationale en leur vociférant avec une arrogance sauvage, leur ignorance coupable selon elle, que “la France est en train de changer de culture ” –Pourquoi pas de civilisation, dites-moi! …Taubira un jour ministre de la culture? Pas vraiment le profil d’une dame patronnesse, mais pour qui la culture est au personnel politique ce que sont les plumes au paon, sait-on jamais!
  Le paradoxe qu’elle personnifie écrase même le débat sur la déchéance de la nationalité aux terroristes (eut-elle été ministrable). A tel point qu’on a l’impression inquiétante qu’elle voudrait donner de regarder passer le train.
  Le président n’eût-il pas été plus judicieusement inspiré et clairvoyant des priorités sociétales en assignant pour mission au ministre en charge de la
  justice de conduire la réforme du code de procédure pénale et plus particulièrement du moderniser fondamentalement le système pénitentiaire et carcéral. D’autres pays ont su accomplir cette mutation, telle la Finlande qui modestement donne l’exemple tant en terme d’efficacité sociale que d’économie de ses deniers publics. Nos prisons anciennes sont indignes et même celles que l’on reconstruit ici ou là, parcimonieusement, sont les redites modernes d’un archaïsme éculé. Certes il en faudra longtemps encore, voire toujours. Mais cessons-là l’hypocrisie de ce système suranné, dépassé et vermoulu qui, par exemple accepte officieusement les approvisionnements de stupéfiants au bénéfice de sa paix carcérale… Les drogues dans les prisons y sont répandues, faciles et moins chères qu’à l’air libre et, outre d’entretenir et renforcer leurs addictions, leur circulation exacerbe entre détenus dominations et soumissions. Or des moyens de contrôle existent. Qu’on les mette en œuvre ! Que les détenus y soient soumis à des analyses toxicologiques de la même façon que durant leurs temps de probation à l’extérieur et que, en cas de résultats positifs ce soient les fonctionnaires employés à leur surveillance qui prennent place avec eux dans leurs geôles. Qu’il soit alors imposé à leurs familles, amis et proches de ces fonctionnaires de venir aussi leur rendre visite, avec les cabas de petit linge bien identifiables, attendre sur la voie publique devant la prison, livrés à l’opprobre, la honte ressentie et la promiscuité… au gré des intempéries… attendre dehors les murs… un temps variable, un quart d’heure, dix minutes ou trois quarts d’heure… que pour eux s’entrouvre et se referme sur eux la porte de prison. Avec le sentiment que leur proche qu’ils visitent, purge sa peine à l’abri -caché, lui- mais que eux, pourtant pas justiciables sont désignés à l’indignité sur la voie publique -à chaque visite ! C’est indigne d’une démocratie aujourd’hui ! La Finlande n’est ni un Etat policier ni particulièrement laxiste. C’est un pays froid, certes pas celui des grands carnavals et des grandes rigolades. La répression de l’ivresse publique par exemple… Ce pays place immédiatement les condamnés en situation de se responsabiliser en milieu ouvert, tout en leur imposant de se conformer à une hygiène de vie et de sociabilisation rigoureuse. Faute de quoi c’est alors l’alternative purement carcérale. Or les taux des échecs et des récidives sont très faibles -d’où réel bénéfice social, mais encore ou accessoirement, une charge au budget de l’État bien inférieure au “prix-derevient-par-écrou” en France. J’ai connu au début des années 80 un honnête homme journaliste qui, bien que n’étant pas en recherche d’emploi, était allé s’assoir avec des chômeurs tout un après-midi dans une salle d’attente au sein de bureaux affectés à l’administration des A.S.S.E.D.I.C. pour ressentir… et pouvoir écrire ensuite. Mais cela, cela quotidien de nos magistrats, cela leur paradoxe aussi auquel ils participent sourdement, sans ni grève ni même le droit réserve -le courage du doit humain! – comment faut-il entendre que personne n’en débatte ? Paradoxe sémantique, factuel ou politique ?
  (A suivre…) Kleram.
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  C.B. , 8 février 2016 @ 12 h 16 min

  Gisèle, vous semblez ignorer que les manifestations organisées par PEGIDA en Allemagne se répètent chaque lundi depuis le mois d’octobre 2014 (source https://fr.wikipedia.org/wiki/PEGIDA), ce qui n’a rien à voir avec les activités franco-françaises d’un parti politique hexagonal.
  Ouvrez les yeux! (et les oreilles)
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  Jeanne E , 13 février 2016 @ 18 h 28 min

  Que pensez-vous du dernier “bloc-notes” d’Ivan Rioufol, où il déclare au sujet du Général Piquemal, qui s’est lamentablement déballonné après une arrestation qui n’en reste pas moins honteuse :
  “La centaine d’extrémistes fascistoïdes de la section française de Pegida, mouvement né en Allemagne d’un refus de l’islamisation de l’Europe, a été, ce samedi-là à Calais, l’alibi pour déshonorer le vieux soldat. Il a passé le week-end en garde à vue et sera jugé le 12 mai. Le général a certes fait preuve de légèreté dans sa démarche “apolitique”, en se laissant déborder par une poignée de crânes rasés. Pour autant, rien ne justifie la violence policière qui s’est abattue sur lui. ”

  C’est fini, l’information sur l’islamisation, qui avait commencé par la dénonciation du blâme subi par Louis Chagnon, pour avoir dit dans son cours sur l’islam que le prophète avait fait tuer entre 600 et 900 juifs Quoraïza en un jour à Médine…

  Maintenant ceux qui protestent contre l’invasion migratoire sont des “extrémistes facistoïdes”…

  Ayant fait le rapprochement, en disant “après Piquemal, Rioufol ?” j’ai été d’abord brièvement publiée, puis censurée…

  La nasse se referme-t-elle sur les patriotes ?
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  Jeanne E , 13 février 2016 @ 18 h 37 min

  Tiens, je suis republiée…

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