Franck Tanguy : “En Seine-Saint-Denis, mes amis me disent : ‘On a compté les Blancs entre les transports en commun et chez toi'”

18 Comments

• 

  Siamois , 6 octobre 2015 @ 11 h 12 min

  Il n’y a pas qu’en Seine Saint-Denis.

  Poitiers, 15h. Le bus va de la gare au centre ville. 4 femmes voilées. 3 “doudous en boubous”. 5 ou 6 noirs entre 30 et 40 ans. 4 maghrébins du même âge. Visiblement personne ne travaille en ce milieu d’après midi. Je cherche des européens. Une toute jeune femme visiblement handicapée mentale. Elle a l’air perdu et bave un peu. Un cinquantenaire qui empeste le mauvais tabac et la vinasse, déjà bien “parti” car il marmonne tout seul. C’est ça, la France ? Pour les noirs, un rapide coup d’œil. Je ne suis visiblement pas assez jeune pour les intéresser. Les maghrébins me toisent avec morgue, leurs regards sont moqueurs. deux d’entre eux ont des regards qui me déshabillent. Je descends du bus avec un sentiment de grande tristesse.

  Encore Poitiers. Un tout jeune homme très blond, les yeux très bleus, marche en ville. De son col dépassent une petite croix discrète et une médaille. 4 magrébins arrivent en sens inverse : “sale petit blanc chrétien” lui lancent-ils. Et l’un d’eux fait le signe de la décapitation. Le petit jeune homme en rêvera longtemps.

  Toujours Poitiers. Je sors du bureau. Deux femmes voilées arrivent devant moi. Elles pouffent de rire puis m’interpellent : “elle est où, dis, la mosquée ?” (on notera l’excellent français et le tutoiement de rigueur). La provocation est tellement évidente que je les envoie à perpette, vers une rue Charles Martel qui n’existe pas, visiter une mosquée qui, dis-je, viens d’ouvrir mais est encore secrète. Je leur recommande d’aller vite la voir car elles seront les premières. Après un peu d’hésitation, elles partent, munies d’une explication fort claire pour cette destination fantaisiste, qui représente bien 3 kilomètres de marche. Bon voyage !

  Je sais, ce n’est pas gentil. Mais tant que nos réactions ne seront pas plus violentes que cela, les étrangers qui vivent chez nous, de nos deniers, et qui se permettent de plus en plus de nous provoquer, voire de nous menacer, n’auront pas grand chose à craindre. Cette mesure dans nos réactions durera t-elle ? N’arrivera t-il pas un moment où nous nous révolterons contre ce qui est finalement une OCCUPATION qui ne dit pas son nom ? L’avenir l’écrira. Fasse le Ciel que ce ne soit pas en lettres de sang.
• 

  Frédéric , 7 octobre 2015 @ 15 h 40 min

  Nadine Morano à tort… La France n’est plus un pays de race blanche ! De toute façon, le problème n’est plus là, tous les amoureux de la France où tous ceux qui la respectent sont les bienvenus… Quelle que soit sa couleur de peau ou ses origines ! La France est contrôlée par une mafia qui s’est donnée comme objectif de la détruire dans tous les domaines ! L’heure est au rassemblement multi patriote… Qu’on se le dise !
• 

  cmoila , 7 octobre 2015 @ 23 h 12 min

  Attends de voir ou ils vont déverser leurs flots de “migrants” et tu verras plus ta petite campagne tranquille si …. “blanche”.
  MDR, tout serra gris comme à Paris et tu voudra déménager devant tant d’irrespect et d’insécurité et de saleté, petit inconscient….
• 

  André , 12 octobre 2015 @ 13 h 01 min

  @ cmoila 7 oct 2015 à 23:12 at 23 h 12 min l==> Faire comme un ami qui m’a découvert sur internet et qui m’avait prophétisé: André, je te souhaite bon courage car les français ne te comprendront jamais. Moi aussi, j’ai reçu des messages et je construis ma cabane à des milliers de kilomètres de la France. Tu devrais quitter la France, étant donné que tu sais ce qui vient et faire comme moi. Mort tu ne leur serviras plus à rien. Il a réussi à me faire parvenir des photos sur sa cabane forestière. Voir mon billet qui je lui ai consacré:

  http://france.libre1.overblog.com/2013/11/il-a-quitt%C3%A9-la-france-et-d%C3%A9couvre-la-qui%C3%A8tude.html

Comments are closed.