Exclusif : le sénateur Jean-Pierre Michel demande à François Hollande d’empêcher l’Ouganda de voter une loi réprimant le militantisme LGBT

54 Comments

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  Tonio , 8 juillet 2013 @ 18 h 43 min

  Nul n’est n’est en sécurité dans un pays où tout le monde peut contaminer tout le monde; où rien n’est fait pour empêcher les contagieux de répandre la contagion et l’infection à qui ils veulent; on n’a plus aujourd’hui la pétoche que provoquaient les pandémies de syphilis, maladie qu’on devait détecter et juguler par tous les moyens dont l’Etat disposait souverainement; aujourd’hui un malade du SIDA peut contaminer qui il veut, du moment qu’il tait sa maladie: est-là la sécurité dont l’Etat se porte garant et qu’il fait payer cher à tout un chacun ? Il n’y a plus de dépistage systématique comme pour la syphilis, mais des prélèvements, indiscrets à l’insu du patient le plus souvent… beau courage de l’administration sanitaire et des ses mercenaires..
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  Tonio , 8 juillet 2013 @ 19 h 04 min

  Merci, je m’associe pleinement à ce message lucide et courageux; d’où viendra donc la lumière que la France était censée diffuser “.. à tous les peuples à tous les temps..” si ses “soi-disant élites” donnent des leçons de bêtise au monde entier ?
  Encore Merci!
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  monhugo , 8 juillet 2013 @ 23 h 58 min

  La majorité spéciale pour les relations homos, confondue avec celle de la majorité civile, est due à une législation de Vichy (1942), maintenue à la Libération, et jusqu’en 1982 : 21 ans donc de 1942 à 1974, puis, mécaniquement, 18 ans de 1974 à 1982. Les relations homos entre adultes sont licites en France depuis le Code pénal du Droit intermédiaire (1791). Ces messieurs-dames adorent se poser en victimes !
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  Denis Merlin , 9 juillet 2013 @ 2 h 28 min

  Ne pas confondre licite avec non incriminé.

  La notion de “majorité sexuelle” est une notion forgée tout exprès par les homosexualistes comme ces autres notions artificielles de “homophobie” (notion opposée aux droits universels de l’homme) et “hétérosexuel” (comme le faisait observer un intervenant).

  Fascinantes ces tentatives (réussies pour l’instant) qui font penser à la novlangue…
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  monhugo , 9 juillet 2013 @ 3 h 27 min

  En droit, quand le droit pénal n’interdit pas, c’est que c’est permis, donc licite. C’est comme cela en France, en tout cas. Pour l’instant. Tout ce qui n’est pas expressément interdit est permis. On ne vit pas (encore) sous l’empire du “halal” et du “haram”. Et il y a bien une majorité civile (18 ans). Et une majorité “sexuelle” (15 ans), qui sert en droit pénal, pour les victimes mineures et les auteurs majeurs. Et une majorité pénale (13 ans), qui sert en droit pénal, pour les auteurs mineurs. Ce n’est donc pas là de la “novlangue”.
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  monhugo , 9 juillet 2013 @ 3 h 46 min

  Ce qu’on n’appelait pas encore “l’homosexualité” était bel et bien punissable sous l’Ancien régime. Quand “bougrerie”, car le saphisme était toléré, comme pouvant d’ailleurs donner du piquant à certaines combinaisons de base “hétéros”, avant l’heure. Mais le dernier “bûcher de Sodome” remonte à 1750, sous le règne de Louis XV, et le 1er Code pénal (1791) entérine une disparition de la répression de l’homosexualité déjà ancienne. Il n’y a eu cependant que 38 exécutions capitales pour crime de sodomie entre 1317 et 1750 (pour 73 procès de ce chef). Et 12 des 38 condamnés au bûcher s’étaient rendus coupables par ailleurs de viols, enlèvements ou même homicides. Il y avait des prisons attitrées pour les sodomites condamnés, mais aussi des lieux de drague, comme certains cabarets ou certains lieux à ciel ouvert, et même des confréries “homosexuelles” (ancêtres des LGBT !).
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  Denis Merlin , 9 juillet 2013 @ 7 h 58 min

  Le mensonge est illicite, être irrespectueux envers ses parents est illicite. Ces actes ne sont pas toujours sanctionné par la loi pénale. Employer “licite” dans le sens non incriminé par la loi pénale est bien de la novlangue.

  La majorité pénale se confond aujourd’hui avec la majorité civile. Je maintiens qu’il n’y a pas de “majorité sexuelle”, concept forgé pour déclarer “licites” des actes qui ne le sont en aucun cas. C’est donc bien de la novlangue.

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