Affaire Mehdi Nemmouche : la faute aux Évangiles, selon Bernard Cazeneuve

Eric Martin
5 juin 2014
Latest Update: 28 août 2018 11 h 13 min
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Interrogé lundi matin dernier par Jean-Pierre Elkabbach sur Europe 1, Bernard Cazeneuve a osé déclaré : « Oui, une pensée radicale se diffuse en prison et les détenus radicaux s’emploient à évangéliser d’autres détenus. »

Le ministre de l’Intérieur a tellement peur de prononcer le mot islam et d’établir un lien entre islam et terrorisme qu’il préfère laisser penser, par son choix sémantique, que le christianisme serait responsable des assassinats perpétrés par Mehdi Nemmouche…

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Tonio , 6 juin 2014 @ 16 h 42 min
C’est tout simplement parce que Hollande n’a pas besoin du Vatican pour son pitroul … sous la place St Pierre il n’y a que des vestiges romains; alors autant faire ami-ami avec ceux qui ont de la galette à revendre.

Mais pourquoi l’Éternel a-t-il donné des biscuits à des gens qui n’ont pas de dents ?
Martine , 6 juin 2014 @ 18 h 16 min
Ce Cazeneuve est aussi inepte que mécréant. Comme tout bon socialo il est imperméable à la religion (quelle qu’elle soit) et ne reconnait que l’islam puisque ce n’est pas une religion mais une idéologie rance comme le socialisme.
Robert , 6 juin 2014 @ 20 h 08 min
Franc mac socialiste un jour, malhonnête toujours !
Charles , 7 juin 2014 @ 9 h 57 min
tests
Agathon , 8 juin 2014 @ 8 h 13 min
Qui a dit: ” évoquer les racines chrétiennes de la France, c’est « faire une relecture historique frelatée » qui a « rendu la France peu à peu nauséeuse »”?

réponse: non ce n’est pas Goebbels, c’est B. Cazeuneuve, ministre de l’intérieur et du culte, nationalement socialiste.

Je lui conseille d’écouter le ” Cantique de Jean Racine” écrit par Gabriel Fauré, compositeur athée , qui , il est vrai avait suffisamment de talent pour s’exprimer sans invective…..
lhemeu , 13 juin 2014 @ 8 h 42 min
Savons-nous la liste de ceux qu’il faut appeler : frères ?
Tonio , 15 juin 2014 @ 11 h 27 min
Cause toujours, Cauzeneuve! tu ne l’emporteras pas en paradis!
Rira bien qui rira le dernier.. (Tertullien, Épître aux païens, XV,4)