“La réaction a été immédiate et pour le moins tranchée de la part des quatre pays visés par cette mesure et qui étaient réunis à Prague”, explique le journaliste Valéry Lerouge sur France 2. “La Pologne demande s’il ne s’agit pas d’un poisson d’avril en retard tant cette mesure n’est pas sérieuse et met à mal la souveraineté nationale. La Hongrie estime qu’il s’agit d’un chantage inacceptable et non européen, même tonalité chez les Slovaques ou les Tchèques”, continue-t-il. La mesure n’enthousiasme pas non plus les autres États membres. “La France notamment estime que la Commission fait là un peu de bons sentiments et d’autoritarisme et que la mesure ne pourra jamais être adoptée par les chefs d’État ici, car trop coercitive et trop clivante” :
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