«Je prends note que, dans le monde où nous vivons, on peut défendre des belles idées mais on ne peut pas les défendre en faisant abstraction de la brutalité du contexte. L’Italie a aujourd’hui indéniablement souffert (…) dans le contexte d’une très forte pression migratoire» dans lequel «elle vit depuis des mois et des mois» a-t-il ajouté. «Pour ce qui concerne la France, nous continuerons à défendre cette Europe qui protège, cette Europe de l’ambition que je promeus depuis mon élection» a-t-il terminé.
Le Mouvement 5 Etoiles (M5S), représentant les forces anti-système, eurosceptiques et d’extrême droite, est devenu le premier parti avec plus de 31 % des voix, tandis que la coalition formée par le Forza Italia (FI, droite) de Silvio Berlusconi et la Ligue de Matteo Salvini (extrême droite) obtiendrait elle 37 %.