Deux mois après les attentats de Paris le gouvernement a décidé de prolonger les niveaux “alerte attentats” pour l’Ile-de-France et les Alpes-Maritimes et “vigilance renforcée” pour le reste du pays. Cependant le coût du dispositif est très élevé et il devient de plus en plus difficile de gérer les effectifs, à la limite du surmenage. “Les collègues sont à bout de souffle. Ils ont un rythme de travail qui est très élevé et on arrive à des difficultés par rapport à la prise de repos et aux congés”, explique Olivier Varlet, secrétaire général adjoint UNSA police.
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