Pierre Cassen revient sur l’agression, à Toulouse, du reporter Vincent Lapierre, par une dizaine d’antifas (Black blocs), lors de la manifestation des Gilets Jaunes du 2 février 2019. Il dénonce le silence complice des journalistes et du pouvoir, pourtant prompts à dénoncer des fantasmagoriques “groupuscules d’extrême droite”.