Connu pour ses engagements, très à gauche, sur le plateau d’ONPC, l’acteur Pierre Arditi a manifesté une émotion certaine quant aux traitements infligés à François Fillon. Il ignorait peut être alors que Frigide Barjot ( Virginie Tellene), LMPT et une pétition, recueillant à cette heure presque 15 000 signatures, volaient au secours du candidat: ” que celui qui a été élu par plus de 3 millions de Français à la primaire de la droite sur le respect de la filiation et de la famille ne pâtisse pas unilatéralement, et à 70 jours de la présidentielle, de cette façon familiale et bénéfique de travailler. Surtout tant que la justice ne s’est pas prononcée. Car c’est le socle de son programme sur la famille dans toutes ses manifestations mais avec une seule filiation que nous voulons. Et c’est pour cela que ce programme protectionniste de la personne donc de la famille est attaqué.
Si la pression médiatique libérale et mondiale impose un autre candidat, c’est pour mieux détruire notre programme. Aucun autre candidat à droite ne pourra rassembler sur ces bases-là. Le plan B, pour nous, n’existe pas.”
Nous citoyens en colère face au désastre démocratique qui se profile, demandons d’urgence un rassemblement de soutien au programme pour lequel nous luttons depuis 2013, et pour lequel nous avons voté à plus de 3 millions d’électeurs en novembre 2016.
Jusqu’à preuve du contraire, ce soutien doit se faire derrière François Fillon, sa personne, sa femme, et sa famille. Ils incarnent notre combat pour la filiation, sans laquelle François Fillon ne serait jamais parvenu à être notre candidat aujourd’hui.
François Fillon défend la famille et la filiation. Et il a pour cela, mieux que quiconque, pu fonder sa réussite politique sur la réussite de sa propre famille. Il était donc légitime qu’il s’entoure de sa femme et de ses enfants dans sa vie parlementaire, encore plus que beaucoup d’autres, pour incarner cette conviction. Oui ses assistants furent aussi son épouse, et ses enfants. La loi le permet.
De la réussite de sa famille et de sa proximité avec elle a dépendu celle de sa carrière politique fondée sur la défense de la famille. Cela est donc pour nous, citoyens défenseurs de la filiation, parfaitement légitime. Et la justice devra en rendre compte.
Certes, François Fillon n’a pas voulu que cela se sache. Certes sa communication laisse à désirer, et nous le pressons ici de s’exprimer. Car il le paye avec sa femme et sa famille – et nous donc – très chèrement.
Aujourd’hui le compte-à-rebours est enclenché : cela doit impérativement s’arrêter avant son éventuelle disparition de l’élection. Car rien alors n’arrêterait la reconduction aux affaires de l’équipe de François Hollande, avec Emmanuel Macron, Pierre Bergé, Benoît Hamon et tous ceux qui ont nié la réalité sociologique de la France depuis cinq ans.
Mais la discrétion de cette situation n’était-elle pas celle de sa famille, et d’abord de sa femme, pour qu’elle soit préservée afin de réussir au mieux sa mission d’assistante, d’épouse et de mère au foyer? Ne fallait-il pas préserver ainsi son action pour qu’elle devienne ce soutien intime et public indispensable à un responsable politique arrivé au sommet ? Son mariage fructueux précéda de quelques mois une carrière impressionnante.
Voilà bien une parfaite illustration de la fonction vitale, sociale et politique de la famille dans notre société. C’est donc bien le salaire distribué de 1981 à 2013 à celle qui est l’assistante comme la femme au foyer, surtout quand il est le cœur d’un programme et d’une certaine vision de la famille, qui est contesté ici par les attaques médiatiques contre l’argent “indûment” gagné par Pénélope Fillon. Or les tâches multiples étaient réelles, cet argent était légal, il pouvait être réparti à discrétion, et revenait de toute façon au parlementaire Fillon. Sans une femme s’occupant de son mari public et de la vie privée de ses enfants, sa réussite politique au plus haut niveau ne serait jamais advenue de la même façon.
Tant d’autres élus font travailler leurs proches. S’il faut revoir une loi qui choque les Français, qu’elle le soit. Et que, comme il l’a initié à Charleville-Mézières, ou sur cette vidéo, François Fillon s’exprime clairement sur ses choix de distribution de l’argent de ses mandats. Et éventuellement, pour apaiser la colère des citoyens, qu’il annonce consigner l’argent le temps que la justice rende sa décision.
Mais de grâce, que celui qui a été élu par plus de 3 millions de Français à la primaire de la droite sur le respect de la filiation et de la famille ne pâtisse pas unilatéralement, et à 70 jours de la présidentielle, de cette façon familiale et bénéfique de travailler. Surtout tant que la justice ne s’est pas prononcée.
Car c’est le socle de son programme sur la famille dans toutes ses manifestations mais avec une seule filiation que nous voulons. Et c’est pour cela que ce programme protectionniste de la personne donc de la famille est attaqué.
Si la pression médiatique libérale et mondiale impose un autre candidat, c’est pour mieux détruire notre programme. Aucun autre candidat à droite ne pourra rassembler sur ces bases-là. Le plan B, pour nous, n’existe pas.
Devant cet abandon en rase campagne, c’est Emmanuel Macron, programmé par Hollande et financé par Bergé, qui sera président.
Et cela, après 5 ans de combat, nous n’en voulons en aucun cas.
Notre colère aussi est froide : on ne nous volera ni notre vote, ni nos valeurs.
Et encore moins nos convictions.