Monsieur Berard…Excellent reportage…
En revanche ,si vous permettez un “petit conseil”…faudra ,à l’avenir ,si vous ne voulez pas vous retrouver avec une”tronche” en compteur à gaz… éviter les rues sombres en solo,et bien raser les murs ….
ranguin , 5 janvier 2016 @ 14 h 33 min
ça c’est sur, ils ne vont pas le rater !
La gauche n’aime pas que l’on agisse comme elle !
Elle seule a le droit à infiltrer les autres partis, surtout le FN !!!!!
Sans commentaire les connards sont bien là !! Et on va revoter pour eux les promesses sont que pour ceux qui ne les tiennent pas !
Enoch , 5 janvier 2016 @ 19 h 58 min
Rien de très incendié juste la description de gens désabusés dans un parti qui a perdu son positionnement populaire. Il est dur d’être un militant de “gauche” dans un parti qui n’a vraiment plus rien de gauche.
Pendant longtemps, ils ont cru être les gardiens de la morale républicaine, les défenseurs du opprimes, des damnes de la terre. Ils étaient les chevaliers du progrès, des droits de l’homme et de la paix.
Et voila, que lorsque ce met en place, leurs chimères, tout la réalité du mythe s’effondre sous leurs yeux. L’Europe ne sera jamais sociale. Les damnes de la terre ne sont de “gauche” que pour les aides mais dans le fond ils partagent la même vision du monde que les plus réactionnaires des reac de la droite la plus extreme du moyen orient.
Si ils perdent leurs potentats locaux que leur restent-ils? RIEN
Le parti socialiste, derrière les apparences, est un parti en ruine: morale, idéologique, existentiel. La stratégie de terra nova, avec le grand remplacement, n’a aucune chance de réussite. Lorsqu’ils seront un nombre suffisant, ils voteront pour des partis communautaires et non pour un parti qui ne fut qu’un pion de la contre-colonisation.
Sur le moyen terme, ce parti devra disparaitre pour fusionner avec les républicains aile gauche-centriste. il risque juste de manquer d’électeurs.
est-ce que l’auteur est toujours ami avec Rémi???
padamalgame , 5 janvier 2016 @ 21 h 30 min
Très bon article qui en dit long sur ce parti (comme les autres d’ailleurs : UMPS, gôchos, verts, extrême-gauche, partis du milieu….) c’est la déconfiture. Vu le travail accompli j’espère qu’ils pourriront aux prochaines élections.
Je suis sûr que non, les français sont abonés au plus c..
Voyageur , 6 janvier 2016 @ 12 h 12 min
La démonstration n’est plus à faire qu’un parti qui cherche à rester à flot par tous les moyens, c’est-à-dire en ratissant le plus large finit par perdre tous les électeurs qui s’aperçoivent qu’on leur a tourné le dos par la suite.
Le PS est finit depuis les élections municipales de mars 2014 qui marquent la fin d’un revirement idéologique lent amorcé il y a plus de dix ans lors du congrès extraordinaire de novembre 2005 au Mans qui fut un exercice d’une malhonnêteté intellectuelle tout autant extraordinaire. L’objectif de ce congrès du Mans était de régler les divisions internes apparues avec le referendum sur la constitution européenne. Bien évidemment ce congrès n’a rien réglé du tout. Lorsque les dirigeants d’un parti sont dans le déni de réel à l’intérieur même de leur parti, ils prennent le risque de déclencher des frondes qui minent la cohésion à brève échéance. Le discours sur les “différents courants” du PS alimentant un soi disant débat permanent ne trompe personne lorsqu’il sert de cache-sexe à des oppositions et des dissensions internes radicales. Ce journaliste infiltré chez les socialos vient de nous apporter les preuves que la contamination descend aussi jusqu’au niveau local.
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