Reportage en Argentine hyper-protectionniste

Aprés avoir fait faillite en 2001, l’Argentine est entrée dans une économie extrêmement encadrée, où on ne peut recevoir que deux paquets venus de l’étranger par an. Conséquences : les prix s’envolent et le marché noir se développe.

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13 Comments

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  • Le triathlète , 4 novembre 2014 @ 15 h 34 min

    Bonne leçon aux socialistes nationaux français qui placent dans le FN tous leurs espoirs.

    On peut voir dans ce document les conséquences directs de l’étatisme et du protectionnisme: l’inflation. Le mal du XX-XXIe siecle.

  • V_Parlier , 4 novembre 2014 @ 17 h 44 min

    La Grèce a été victime des deux (bien que “fainéantise” me semble inappropriée et que je dirais plutôt “économie parallèle du travail non déclaré”, culture du “j’ai droit mais je ne paye pas”). Il en sera de même pour la France. Seulement les préconçus politiques obligent ceux qui les adoptent à systématiquement nier une partie du problème au profit de l’autre.

  • V_Parlier , 4 novembre 2014 @ 17 h 49 min

    L’Argentine qui se rapproche des BRICS et est en brouille avec les US va forcément s’en prendre plein la figure en ce moment. Et ceci quelle que soit la tendance politique du régime, tant qu’il tentera de gagner en indépendance.

  • kanjo , 4 novembre 2014 @ 18 h 39 min

    “seulement” 1% de croissance : la France en rêve, nous qui sommes en récession !
    8% de chômage : le rêve, pour nous qui avons 10.5% !

    En fait, en fermant les frontières, il y a évidement quelques petits désagréments, mais ce n’est rien comparé aux gros inconvénients de la situation “toutes portes ouvertes” avec soumission aux financiers internationaux et concurrence déloyale avec des pays qui ne payent pas de protection sociale.
    On ne peut pas avoir le beurre et l’argent du beurre, mais je vote pour le beurre, au moins, ça se mange !

  • Libre , 4 novembre 2014 @ 21 h 11 min

    Une politique stupide et anti-économique qui ne favorise que les plus favorisés qui peuvent se permettre de payer des conseillers ou utiliser leurs relations pour échapper à ces politiques d’un autre age…La prochaine étape étant la solution cubaine c’est à dire empêcher tout le monde d’émigrer librement ,de censurer massivement ,…Comme jadis la Stasi!Et ce au mépris du droit international…Sans compter le “peso” la monnaie Argentine qui perd sa valeur en raison de la planche à billet à grande échelle…Et dire qu’avant 1914 l’Argentine était un des pays les plus riches du monde, quand il appliquait le libéralisme classique!

  • HuGo , 5 novembre 2014 @ 8 h 51 min

    Est-ce que le but de l’économie n’est pas l’Homme d’abord, l’argent ensuite….et non l’inverse !
    25% de chômage, déficits abyssaux….aujourd’hui, 8 % de chômage et contrôle des déficits.
    Bien sûr, qu’il y a un développement ‘illégal’, une économie parallèle qui se développe, le tout est d’empêcher trop cette dérive (viser un savant dosage entre contrôle strict et libéralisation à outrance)
    Cela me semble une voie intéressante, celle des États-Nations qui se protègent (au mieux) des dérives d’un capitalisme agressif, de multinationales taclant les États et déifiant Mammon !
    Des États-Nations maîtrisent mieux leur destin et sont seuls capables de faire plier coûte que coûte la finance internationale qui, depuis quelques décennies, écrase tout, surtout les secteurs primaires et secondaires pourtant vitaux dans une une économie saine.

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