L’UMPSFN ment! Le Grand remplacement existe et nous l’avons rencontré!

Après le sauvetage in extremis par les instances du FN d’un adepte de Mahomet engagé dans le combat contre les mécréants du pays de ses ancêtres, après la déclaration de Marine Le Pen sur la « vision complotiste » constituée par la notion de grand remplacement, voilà que le nouveau responsable du FNJ, Gaëtan Dussausaye nous en ressert une louche en déclarant « Pour clarification : le « grand remplacement » relève davantage d’un fantasme racialiste que d’une réalité. Il innocente ainsi les politiques », ajoutant que « L’immigration est certes visible, mais pas le « grand remplacement » ».

Je veux bien que du côté des amphis ouatés de la Sorbonne, ce soit encore assez tranquille question remplacement, mais tout de même !

Une commentatrice s’insurge « Dans le bus de St Denis je suis la seule blanche ! », tandis que quelqu’un prend la défense de G. Dussausaye « L’antiraciste ne peut pas voir le Grand Remplacement, il ne voit que des français, juste des Français ». Même son prédécesseur Julien Rochedy s’étrangle : « Vous croyez qu’un jour un indien d’Amérique a dit à son pote qui s’inquiétait de l’arrivée des Wasp « t’es dans le fantasme racialiste mec » ? ».

Philippe Martel, le directeur de cabinet de Marine Le Pen, même s’il est lucide sur ce que tout un chacun peut constater en sortant de chez lui, tente d’expliquer que le remplacement de population ne serait que la résultante de la volonté de millions d’immigrés et n’aurait rien à voir avec des visées politiques. Ainsi, le regroupement familial voulu par Bouygues et mis en place par Giscard et Chirac ne serait rien d’autre qu’un pur hasard, de même sans doute que l’entrée massive d’immigrés sous Sarkozy à raison de 200 000 par an avec en prime l’obligation de nous métisser avec les nouveaux arrivants pour le plus grand bonheur d’Attali et de BHL. Pur hasard encore que ces naturalisations offertes à tour de bras, par millions, pour nous voiler la vue et nous faire croire, chiffres à l’appui, que l’afflux massif d’étrangers ne serait qu’une illusion d’optique et que ces gens sont tous français « comme vous et moi ». Hasard toujours si ces naturalisations permettent avantageusement de faire pencher les élections du côté souhaité par le parti politique désigné pour la prochaine échéance, à coups de promesses de permis de constructions de mosquées par exemple.

Le Front National tente de se dédouaner de tout racisme dont on se demande d’ailleurs ce que celui-ci vient faire là, puisque le ras le bol des Français – et plus largement de l’ensemble des Européens – n’est pas basé sur un rejet de nature racialiste mais de contester un empiètement de territoire un peu trop invasif par des populations que l’on fait entrer dans notre pays en trop grand nombre, avec les conséquences désastreuses qui vont de pair. On peut penser aux Tibétains remplacés chez eux par d’autres Asiatiques et dont tout le monde s’accorde à dire que c’est épouvantable, on peut penser aux Indiens d’Amérique dont l’éradication fait encore frémir, ou aux Aborigènes. Bizarrement, ce remplacement chez nous ne suscite pas la même contestation. Mieux encore, nous devrions, dans un esprit de fraternité et de repentance, l’accepter sans broncher.

Afin de ne plus être considéré comme le mouton noir de la droite, de ne plus être catalogué comme étant d’extrême droite, le Front National tente de se racheter une bonne conduite et une respectabilité aux yeux des médias. A moins que ce ne soit que la peur soudaine du pouvoir approchant qui les pousse à se saborder, à moins encore, à en croire certains, que la petite entreprise Le Pen n’ait jamais eu de réelles volontés de sauver la France mais s’intéresse davantage à la multiplication des adhésions… Le moins qu’on puisse dire c’est que la déstabilisation est assurée, que l’UMPS serait en train de devenir l’UMPSFN.

Dans cette manœuvre de dédiabolisation brouillonne, le FN se sert des Identitaires et autres nationalistes montrés du doigt comme étant, eux, des racistes, faisant mine d’oublier que eux ont comme priorité la survie de leurs racines. Excusez-nous de ne pas vouloir disparaître !

L’hypocrisie est totale dans la déclaration de Dussausaye qui concède la visibilité de l’immigration mais rejette l’idée que cela suffise à nous remplacer. Ainsi, il voit le remplacement de population comme un « fantasme racialiste » et non comme une réalité, n’ayant probablement pas l’habitude de sortir des quartiers encore préservés. Il faudrait que ce jeune garçon nous explique la différence qu’il fait entre une immigration visible et un grand remplacement invisible.

Comment Gaëtan Dussausaye peut-il expliquer ces voiles envahissants dans les rues, ces populations allogènes emplissant les escalators de Châtelet, ces conversations incompréhensibles dans les transports en commun ou dans les magasins où l’on a coutume de faire ses courses ? Comment peut-il justifier que des commerces traditionnels soient peu à peu remplacés par des commerces communautaires aux enseignes parfois écrites en langue arabe ? Quelle explication a t-il à fournir quand une liste de parents d’élèves n’est composée QUE de noms à consonance arabe ou que dans certains quartiers le prénom Mohamed arrive en tête des prénoms les plus donnés aux nouveaux-nés ?

Que pense M. Dussausaye de ces photos de classe ci-dessous prises à un peu plus de quarante ans d’intervalle dans une école parisienne du 18e arrondissement ? Est-ce une hallucination collective, un fantasme, ou la preuve incontestable d’une réalité que certains s’obstinent, avec une malhonnêteté remarquable, à nier.

Dans un rapport sur les migrations de remplacement publié par 
l’Organisation des Nations Unies, accessible à tout un chacun, on peut lire que « le déclin de la population est inévitable, en l’absence de migration de remplacement ». Voilà donc l’aveu d’une réalité, une preuve palpable d’une volonté de remplacement qui nous dépasse. Dans le même temps les jeunes diplômés n’aspirent qu’à quitter un pays qui ne leur offre plus d’avenir viable.

On le voit, le grand remplacement est parfaitement et patiemment organisé en haut lieu par les gouvernements successifs des différents pays européens, et ceux qui le subissent de plein fouet, jusqu’à le payer de leur vie parfois, sont ceux qui n’ont pas les moyens de le fuir ou qui ont au contraire le courage et la volonté de ne pas céder à cette disparition annoncée. Il serait bon que M. Dussausaye et ses inconséquents amis aient la décence de ne pas insulter ces Français-là, par lâcheté ou par ignorance, dans un inconvenant et inacceptable déni.

Lu sur Riposte laïque

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