Après le pervers et l’excité, la mythomane. L’une des deux militantes qui avait déposé plainte suite à ce qu’elle affirmait être une agression a avoué avoir menti.
Elle prétendait avoir été bousculée le 21 octobre dans le quartier de Bastille, insultée et menacée : “On va te violer, sale Arabe. On sait où t’habites, sale gauchiste”, lui avait lancé son agresseur, avait rapporté un porte-parole du syndicat. Elle est convoqué prochainement en justice pour “dénonciation de délit imaginaire”, affirme Le Monde.
Interrogé lundi midi par notre confrère, un porte-parole de l’UNEF s’est dit surpris de ce mensonge : “On a relayé ses propos car nous n’avions aucune raison de douter de la parole de cette jeune militante”. “Je n’ai pas encore réussi à l’avoir au téléphone, je refuse de la juger avant de lui avoir parlé”, a-t-il déclaré à BFM TV. Autrement dit, l’UNEF ne s’excuse toujours pas !
Selon nos informations, Samuel Lafont avait récemment confié au journaliste de Canal +, Félix Briaud, qui l’avait contacté le 29 octobre, ses doutes sur cette agression, lui rappelant au passage le passif de cette organisation d’extrême-gauche (ce qui ne l’empêche pas d’être parfois débordé par encore plus à gauche…) en matière de violences. Sans succès… “Je n’ai reçu de sa part qu’une réponse gênée et tardive, ce matin. Les médias préfèrent inlassablement ‘gauche victime’ à la vérité !”, regrette ce lundi Samuel Lafont.
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