En fait, la chapelle de la clinique des Franciscaines n’a pas été vandalisée

Selon nos informations, la chapelle de la clinique des Franciscaines n’a pas été « vandalisée par un individu originaire des pays de l’Est, dans la soirée du mercredi 16 octobre », comme l’affirmait l’hebdomadaire versaillais Toutes les nouvelles du 23 octobre 2013.

En fait, un individu couché sur un banc de la chapelle, une bouteille à ses pieds, a été signalé pour des raisons de sécurité par le personnel de la clinique et la police a été appelée. Manifestement ivre, il s’est débattu et un pot de fleurs a été renversé. C’est tout. La vitre cassée n’est pas celle de la chapelle, qui n’en a pas, mais de la clinique.

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6 Comments

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  • xrayzoulou , 4 novembre 2013 @ 12 h 17 min

    Pauvre type il est allé se mettre à l’abri. Espérons que Dieu l’a inspiré !

  • Marie , 4 novembre 2013 @ 14 h 31 min

    De toute façon, cette clinique, quelle que soit la qualité des soins qu’on y trouve, n’est plus catholique du tout : les gynécologues y proposent des actes en contradiction la plus totale avec la morale et les prescriptions de l’Eglise.
    C’est malheureusement un grave scandale que l’Evêché de Versailles de l’époque du déménagement ait permis une telle dénaturation de cette institution qui permettait un apostolat aussi réel que discret.

  • monhugo , 4 novembre 2013 @ 15 h 31 min

    Beaucoup de bruit pour rien ! Mais il y a tant d’occasions de s’indigner à propos….

  • Antoine , 4 novembre 2013 @ 16 h 22 min

    Attention à bien vérifier les informations parce que ce genre de falsification peut servir à nos adversaires pour dire que nous mentons sur tous les sujets !

  • Gisèle , 5 novembre 2013 @ 17 h 40 min

    Exact ! je crois que c’est une manipulation pour discréditer !
    Ils sont très très tordus ne l’oublions JAMAIS !

  • Joseph , 12 décembre 2013 @ 22 h 44 min

    Je pense que vous ne connaissez pas la Clinique des Franciscaines ou n’avez pas été vous informer suffisamment sur les pratiques (ou non), des gynécologues notamment, pour parler de catégories de spécialistes de matière aussi globale et négative.
    Et l’Évêché n’a aucun mot à dire dans les manœuvres de la congrégation des Franciscaine.

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