Je n’ai qu’une remarque à adresser à la très talentueuse Virginia Vota, dont la plupart des vidéos sont des réussites : pour ce qu’elle appelle le ”féminisme de droite”, elle aurait pu trouver un autre nom que ”féminisme”. Ce mot est tellement collé à toutes les ignominies gauchistes qui ont rabaissé la femme depuis 40 ans, à toutes les compromissions avec les misogynies ignobles dont le seul but a été de racoler les femes pour d’autres combats inavoués, comme l’immigration-invasion, le métissage forcé, la banalisation, du viol (on n’entend jamais les féministes de gauche protester contre les ”tournantes”, ni dénoncer QUI viole et prostitue….), et bientôt vous allez voir qu’elles vont mou susurrer qu l’excision, n’est-ce pas, c’est une coutume qu’il faut ”respecter au nom de la diversité, du droit à al différence et patin couffin”…
Donc le mot ”féministe” ne peut pas être édulcoré, il faut le bannir une fois pour toutes de toute vocabulaire de ceux qui souhaitent authentiquement en finir avec les difficultés que rencontrent trop de femmes.
Quand on me parle de ”féminisme de gauche” et de ”féminisme de droite”, ça me fait automatiquement penser à la contrepèterie belge :
”’IL FAIT BEAU ET CHAUD”
Gisèle , 6 août 2017 @ 0 h 30 min
Féminisme = esclavagisme . A méditer ..
Charles , 6 août 2017 @ 19 h 50 min
Nous sommes bien d’accord. le féminisme s’est révélé un gigantesque piège pour les JF.
La conséquence étant une véritable régression de la position des femmes dans la société.
Une des principales féministes anglaises des années 60/70 (Jeannette Kupfermann)
témoigne de la farce du féminisme qui s’est retourné contre les femmes.
Elle'(née en 1942) qui s’était révoltée contre le puritanisme des années 50/60
en Angleterre fait des comparaisons entre sa jeunesse et celles de nos jours.
Elle fait à 75 ans le bilan au moment ou elle tient dans ses bras son premier petit enfant
une petite fille qui fait son émerveillement ( fille de son fils agé de 52 ans et d’une mère agée de 35 ans). Elle s’inquiète pour le futur de sa petite fille compte tenu de ce qu’elle constate dans la société anglaise actuelle.
Elle fait un constat sans appel des dérives actuelles en comparaison des années 50/60…
Je ne connaissais pas cette talentueuse jeune femme ; en l’écoutant je suis conforté dans ma persuasion qu’on ne doit pas désespérer de notre jeunesse qui produit régulièrement de tels talents. Son inventaire des attitudes de la femme de gôche et de celles de droite a le grand mérite de la clarté et de l’exhaustivité.Le féminisme nie la féminité.
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