Tous les fichés S doivent être considérés comme des terroristes potentiels capables de passer à l’acte. Il n’y a pas d’Etat de droit qui tienne quand l’ennemi s’en sert comme paravent pour couvrir son entreprise de destruction massive et ses crimes de guerre et crimes contre l’humanité. Un Etat de droit n’a pas à mettre des gants pour assurer la sécurité de ses citoyens en temps de guerre si l’on veut en finir avec le terrorisme musulman dont la première des mesures est de procéder à la rétention administrative de tous les fichés S au nom du principe de précaution. Ils tuent sans se poser des questions, ils doivent être enfermés sans autre forme de procès.
Des individus qui ne laissent aucune chance à leurs victimes quand ils mettent en exécution la sentence coranique doivent relever d’une justice d’exception qui n’a pas à s’embarrasser de la présomption d’innocence et des droits de la défense.
Quel droit l’Etat aura à défendre le jour où le pays sera réduit en cendres puisque lui-même aura cessé d’exister ? Anticiper sur le danger en passant outre son propre droit que l’ennemi est le premier à enfreindre, c’est aussi l’Etat de droit qui doit imposer sa loi par tous les moyens au nom de la sauvegarde de ses principes généraux de droit.
L’Etat de droit ne doit pas être prisonnier de lui-même pour devenir un mouton que ses ennemis vont offrir en Holocauste à leur divin.
C’est la guerre et à la guerre comme à la guerre et les règles ne sont pas régies par le droit interne.Il ne suffit pas d’aller faire la guerre à Deach pour faire croire aux Français que l’on va éradiquer la source du péril.
C’est une fuite en avant, un aveu de défaite et un manquement grave et sérieux aux obligations inaliénables de l’Etat de sécuriser son territoire et partant de là son unité et sa viabilité. L’ennemi est chez elle, entre ses murs, de plus en plus visible, il doit être frappé là où il se trouve comme lui-même il massacre les Français chez eux, dans leurs domiciles, salles de spectacles, lieux de vie, leurs églises.
Sous prétexte qu’on va s’attaquer à ses bases arrières pour le neutraliser, on lui laisse le champ libre pour multiplier ses ravages et créer des dégâts psychologiques incommensurables au sein de la population.
La France ne peut pas continuer à se voiler la face. La riposte ne saurait plus attendre. Plus elle tergiverse, plus elle le renforce dans ses desseins mortifères.
L’Etat de droit ne peut pas être un spectateur de l’histoire, un maître des cérémonies funéraires, passer son temps à subir les assauts de l’ennemi et à compter ses morts, il est celui qui prend des mesures fortes et draconiennes sans s’embourber dans son angélisme juridique.