https://www.youtube.com/watch?v=QTZF8cF-fyo
Comme on le voit sur le reportage consacré à cette invention absurde, l’animal se retrouve les pattes écartées auxquelles ont été greffées quatre hélices. Le moteur et la batterie sont implantés dans le corps, transformé en carlingue de l’Orvillecopter. “Après une période de deuil, j’ai décidé de faire voler mon animal”, a-t-il commenté. “Il aimait tant les oiseaux, j’espère qu’il va bientôt pouvoir parmi eux”. Raison pour laquelle il projette de lui offrir “pour son anniversaire” (sic) un moteur plus puissant qui lui permettra de “voler plus haut et plus longtemps”. L’Orvillecopter fait partie de la collection du KunstRai Art Festival d’Amsterdam.