3.7 millions, c’est la dette de l’Arabie Saoudite auprès des hôpitaux de Paris. Le tweet d’un médecin urgentiste, en l’occurence Patrick Pelloux, publié lundi 3 août a lancé la polémique alors que le roi Salmane quittait la France après des vacances très controversées sur la Côte d’Azur (notamment après la privatisation de la plage publique de Vallauris). Une dette qui n’a pourtant pas été réclamée par l’Assistance Publique – Hôpitaux de Paris (AP-HP). (…) En effet, il s’agit avant tout de ne pas compromettre les bonnes relations de Paris et Riyad car l’Arabie Saoudite est un partenaire commercial de taille, et sa dette de santé est relativement insignifiante comparée aux près de 11 milliards d’euros d’accords passés en juin dernier, comprenant notamment la vente de 23 hélicoptères Airbus.
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